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Accueil > Editos > A l’Atelier parisien d’urbanisme (APUR), un travail profond tant il est creux

A l’Atelier parisien d’urbanisme (APUR), un travail profond tant il est creux

31 août 2021

Lumière APUR
Eclairage nocturne. L’éclairage nocturne, en jaune brillant, suit exactement le réseau des rues de la capitale, les Champs-Elysées mieux éclairés que la rue du Liban à Belleville. @APUR

Dans un article dithyrambique, Le Monde (14/08/21) présente le formidable labeur documentaire mené par l’Atelier parisien d’urbanisme (APUR), lequel présente les documents composant le diagnostic territorial produit dans le cadre de la révision du plan local d’urbanisme (PLU) de Paris, d’ici à 2024, et du projet d’aménagement et de développement durable (PADD).

Nouveauté, la plateforme est interactive et chacun peut accéder à l’ensemble des données les plus récentes sous forme de cartographies et de textes d’analyse. Autre nouveauté, voici enfin en action la science des ‘open data’ et ces cartes par centaines sont bien l’illustration de la taille phénoménale du champ d’exploration.

Il suffit en effet de cliquer sur un arrondissement, zoomable à volonté jusqu’au cœur d’îlot, pour en découvrir le diagnostic (le mot n’est pas de moi mais de l’APUR. Paris serait-elle malade ?), ce diagnostic étant découpé en cinq ordonnances (données générales, approche socio-démographique, vie locale, approche environnementale, cadre urbain). Souriez, vous êtes ‘open datés’ !

Il s’agit bien d’un travail remarquable, d’une précision inouïe (avec des remerciements appuyés à Google). Par exemple, dans le XXe arrondissement de Paris : « on trouve 64 parcs et jardins ouverts au public totalisant une superficie de 27,7 ha et trois cimetières pour une superficie totale de 45,3 ha. Parmi ces parcs et jardins, le cimetière du Père-Lachaise, le parc de Belleville et le square Emmanuel-Fleury sont les réservoirs urbains de biodiversité à forte fonctionnalité écologique de l’arrondissement. Ils sont accompagnés de six réservoirs urbains de biodiversité de fonctionnalité écologique modérée, le square Séverine, le jardin de la Gare-de-Charonne, le cimetière de Belleville, le réservoir d’eau de Ménilmontant, le square Léon-Frapié et le jardin de l’hospice Debrousse ». Mieux que Wikipédia !

Bref une source, pédagogique de surcroît, d’une incroyable richesse.

Un travail monumental qui hélas, à part son inspiration Wiki justement et l’aspect ludique de l’exercice, ne sert à rien. En effet, qu’y apprend-on ? Tiens, par exemple, qu’il fait plus frais en été sous une allée d’arbres du jardin du Palais Royal qu’en plein cagnard place des Victoires. Également qu’il fait plus frais au bord de l’eau. Une découverte ! Avant l’air conditionné, les gens mettaient les guinguettes au bord de l’eau, on se demande bien pourquoi.

De fait « l’indice de canopée » des cartes indique là où sont les arbres, ce à quoi d’aucuns s’attendent un peu, d’autant que les arbres sont par essence assez immobiles. Un secret de chercheur : l’indice de canopée le plus élevé est au bois de Boulogne, pas aux Halles.

Indice de canopée à l’ouest de Paris. En rouge, là où sont les arbres, comme au bois de Boulogne par exemple @APUR

On apprend encore que le périphérique embouteillé est la zone la plus chaude de Paris en été, tout le temps en fait. Alors quoi, supprimer les voitures et planter des arbres sur le périphérique ? La « modélisation des effets d’îlots de chaleur urbains » dont se targue l’étude ne fait que démontrer l’évidence d’un phénomène parfaitement connu. D’ailleurs, sans modélisation aucune, sinon celles de Météo France, tous les Parisiens, et tous les Français, savent qu’il fait plus frais de deux, trois, voire quatre degrés à l’extérieur de Paris. Une solution s’il fait trop chaud et si l’on veut déjà gagner deux ou trois degrés en attendant que poussent les arbres place des Victoires ? aller à la campagne.

Heureusement, les ‘open data’ certifient que « les paysages du XXe arrondissement sont marqués par leur histoire urbaine ». Un concept abyssal : quels paysages urbains ne seraient pas marqués par leur histoire urbaine ? Ou, encore, noter avec enthousiasme que l’éclairage nocturne suit exactement le réseau des rues de la capitale, les Champs-Elysées mieux éclairés que la rue du Liban à Belleville. Une illumination !

Vraiment, faut-il des milliards de millions d’’open data’, dont les serveurs sont parfaitement écolos, pour parvenir à tirer de telles conclusions ? En plus, pas un mot à propos de l’esthétique chère à Emmanuel Grégoire, premier adjoint à l’urbanisme de la ville de Paris, c’est ballot…

Modélisation du bruit dans le VIIIe à Paris. Et voilà, il y a le plus de bruit, en violet, sur les rues fréquentées, comme les Champs-Elysées, et moins à l’intérieur des parcelles, en vert. @APUR

Le tout est à l’avenant. Autre exemple, à l’opposé du XXe, dans le XIVe arrondissement, une autre zone « à forte fonctionnalité écologique » : le Bois de Boulogne, où vivent des animaux sauvages poil de carotte, soit « renard roux, fouine, écureuil roux, hérisson d’Europe et campagnol roussâtre », dont on ne sait comment ils sont ‘open datés’ mais ils le sont d’évidence. D’ailleurs nous est désormais expliqué qu’il faut adapter la ville à la faune sauvage. Certes, si des faucons voraces pouvaient nous débarrasser des pigeons parisiens dégénérés… Pas d’’open data’ sinon concernant les tonnes de merde de pigeon, guano de son nom scientifique, pourtant un engrais reconnu qui pourrait se révéler parfait pour l’agriculture urbaine.

A charge pour l’APUR de trouver, peut-être, les « environ 500 tonnes par an de fruits et légumes, champignons, fleurs, engrais, miel, bière, poissons… » promises par le concours Parisculteurs en 2016, sur une trentaine de sites. Se souvenir qu’Anne Hidalgo promettait en 2018 que le seuil de 33 hectares cultivables à Paris serait atteint en 2020, soit la multiplication par dix de la surface existante à l’époque. Ces 33 hectares de terres promises sont peut-être là dans les cartes de l’APUR mais, si c’est le cas, elles le sont façon puzzle de 10 000 pièces.

Plus fondamentalement, si cet excellent travail de recherche ne sert à rien, ou si peu, c’est qu’il a été réalisé intramuros, stricto sensu. Alors oui, l’APUR nous explique carte à l’appui que le XXe arrondissement « est le site le plus élevé de Paris. Le relief y est contrasté. Les rues qui dévalent ces pentes, notamment la rue de Ménilmontant, la rue Pelleport et la terrasse située en haut du parc de Belleville constituent des belvédères privilégiés pour admirer ce panorama parisien ». Mieux que Wiki, Paris Tourisme ! Ca va docteur ?

En revanche, pour la commune de Bagnolet, juste à côté, de l’autre côté du périphérique, il n’y a rien à cliquer. Ils ne sont pas encore ‘open datés’ les Bagnoletais ? (Encore le sont-ils déjà sans doute plus qu’ils ne s’en rendent compte. NdE) En tout cas ils sont en gris sur la carte. Comme la banlieue ?

Modélisation de l’îlot de chaleur urbain dans le XXe arrondissement. En bleu, dans les parcs, il fait frais, en rouge, sur le périphérique par exemple, il fait chaud @APUR

Toujours est-il qu’effectuer ces recherches immenses dans les limites précises du périphérique revient à regarder le doigt du sage – en observant savamment chaque aspérité du derme – sans même s’apercevoir de la présence de la lune. Dit autrement, comme les évènements météo de l’été 2021 le démontrent amplement du nord au sud, le dérèglement climatique est planétaire et, dans ce domaine, de tels exercices à vocation scientifique menés à l’échelle de Paris reviennent à dépenser beaucoup de temps, d’argent et, apparemment, de bonne volonté pour se regarder le nombril.

Certes, vous pouvez toujours zoomer sur votre rue à Paris, puis devant chez vous, et découvrir qu’il fait cinq degrés de plus sur votre façade sud au soleil que sur votre façade nord à l’ombre, ce n’est pas comme si vous ne l’aviez pas compris tout seul.

Certes, la première responsabilité d’Anne Hidalgo en tant que maire est vis-à-vis de ses administrés et qu’importent les questions d’échelle ; faire au niveau local en circuit court ce qu’on peut avec ce qu’on a, les petits ruisseaux, tout ça… Bonjour l’ambition pour la capitale de la France mais bon, pourquoi pas.

En ce cas, quitte à rester intramuros, si, au lieu de nous expliquer tout ce que tout le monde sait déjà, l’APUR nous racontait ce que l’on ne sait pas encore mais que l’on subodore cependant ? Par exemple, que se passerait-il s’il pleut pendant deux jours comme il a plu en Allemagne au début de l’été, une goutte froide francilienne juste en amont de la capitale ? Pour le coup, le Parisien ne serait pas malheureux de zoomer sur son cœur d’îlot pour anticiper les dégâts. Voilà qui devrait intéresser les agents d’assurance.

Ou, en cas de canicule extraordinaire – le fameux dôme de chaleur qui échauffe les esprits – quelles sont les rues qui dépasseront les 50° quand d’autres seront encore à une température confortable de 35° ? Voilà qui devrait intéresser les agents immobiliers et rebattre les cartes du logement parisien. Toujours est-il qu’il y fera toujours plus frais en façade nord. Est-ce donc là que le futur PLU parisien doit imposer la situation des pièces de vie et des terrasses ? Et imposer au sud des façades aveugles peintes en blanc ?

Et si, à cause du dérèglement climatique, le Gulf Stream disparaît ou change de direction et qu’il se met à faire en hiver à Paris aussi froid qu’à Chicago, quelles sont les canalisations de mon quartier, de ma rue, de chez moi, qui risquent de geler, d’exploser puis d’inonder le voisin au redoux ? Voilà une recherche de l’APUR qui devrait intéresser les fonctionnaires responsables du réseau d’eau potable de la ville. Bref, confondre dérèglement et réchauffement climatiques est un pari osé.

En attendant, les Parisiens sont prévenus : leur prochain PLU sera sur mesure, jusqu’en cœur d’îlot, et après eux le déluge.

Christophe Leray

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Editos

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