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Accueil > Editos > Les RER Macron, une idée datée comme le RPR

Les RER Macron, une idée datée comme le RPR

6 décembre 2022

RER
A bord du Darjeeling Limited We Anderson 2017@ Fox Searchlight Pictures

Le 27 novembre 2022, Vulcain ex-Jupiter a annoncé dans une vidéo désinvolte vouloir développer « un transport ferroviaire du quotidien » de type RER dans « dix métropoles françaises ». Ceci évidemment afin de favoriser la transition écologique. De quoi en toute sobriété ébaubir pendant dix secondes le bon peuple inquiet ! Et réjouir les architectes ?

Nul ne doit s’y tromper, il s’agit-là d’une décision d’importance :  pas un, pas deux, pas trois mais bien, d’un coup d’un seul, DIX RER dans DIX MÉTROPOLES. Roulez tambours, sonnez trompettes : un projet national !

Depuis le fiasco des cars Macron, en huit ans de pouvoir, dont deux au ministère de l’Économie, Vulcain ex-Jupiter a d’évidence eu le temps de réfléchir aux transports en commun régionaux, le problème des petites lignes de la SNCF et de leur sous-entretien chronique étant par exemple connus depuis des lustres… Sans parler du métro parisien, dont il vient de confier la direction à son ancien Premier ministre, Jean Castex, un homme dynamique, plein d’idées, un visionnaire campagnard certainement à la hauteur des enjeux parisiens du XXIe siècle !

Bref, nonobstant la méthode méprisante de l’annonce, d’aucuns étaient soudain ravis de découvrir un vrai programme politique, industriel, culturel, un projet pensé, abouti, préparé de longue date en concertation avec les maires, les élus des régions, les parlementaires en commission, avec un budget et un PLAN à court, moyen et long termes puisque nous en sommes à nouveau à la planification.

A bah en fait non, pas du tout, la vidéo du président approximatif n’a rien d’un tutoriel « le développement du territoire pour les nuls ». Rien sur les modalités du projet : avec quels partenaires industriels ? Quelle priorité ? Quels objectifs ? Quel budget ? Quels matériels : français ou étranger ? Quels délais ?

Qui, que, quoi, où, comment ? Rien, pas le début d’une explication, juste une idée lancée à la volée, comme ça : « Dix RER pour DIX Métropoles ». Comment ils traduisent cela en américain les consultants de McKinsey qui s’occupent de réfléchir à la place du président ? Lequel d’évidence ne fait qu’entamer sa réflexion. Il est grand temps pourtant qu’il s’en préoccupe ! C’est à la COP 27 qu’un chef d’Etat progressiste lui a soufflé l’idée ?

Pour expliquer l’effet de surprise, voire de sidération enthousiaste, ressenti par les Français – même ses ministres n’étaient pas au courant, c’est dire si voilà un projet bien ficelé – le président indique être « petit-fils de cheminot », comme si cela justifiait sa science infuse. Son père est médecin, demain sur twitter il nous annonce la construction de DIX CHU pour 10 Métropoles ? Brigitte est ancienne prof de français et de théâtre. Demain, sur Insta, il nous annonce la construction de DIX centres culturels pour 10 métropoles ? Bref, question ambition pour le pays, avec Macron, ce n’est pas compliqué : y a plus qu’à !

@Gérard Meilley

Mais le pire est à venir. En effet, les dix RER en question sont par nature, tout comme ses 14 EPR, de gros machins bien lourdingues qui s’inscrivent avec aisance dans une vision très XIXe siècle du développement territorial à coups d’investissements faramineux d’une efficacité folle dont la SNCF a le secret. Allez les métropoles, voici revenu le temps des grosses Louison, à la vapeur même puisqu’il y aura des coupures d’électricité. Quelqu’un a prévenu le président que la révolution industrielle avait vécu ?

En plus, ce n’est pas comme si les métropoles en question avaient attendu l’imprimatur du chef de l’État pour s’imaginer un futur ferroviaire. Vulcain ex-Jupiter au secours de la victoire ?

Nous pourrions ainsi évoquer la tarification unique, telle qu’expérimentée cet été à l’échelle de toute l’Allemagne et déjà dans quelques agglomérations françaises (Grenoble, Strasbourg), et qui se révèle à chaque fois un véritable succès d’usage. Vulcain n’en dit mot. Ce serait trop simple en effet pour les grands esprits français, l’État actionnaire de la SNCF préférant continuer à encourager un maquis de tarifs tous plus abscons les uns que les autres à la recherche d’une hypothétique rentabilité. C’est dire que même avec des Louison, il y a de la place pour une politique de mobilité qui vaille un peu plus que 30 secondes dans une vidéo. N’est pas Buzz l’Éclair qui veut !

Si la bonne volonté de l’Olympe est de bon augure – ha, l’État aurait un projet ! – le souci est l’impréparation crasse qui prévaut à sa mise en œuvre. Pour ce genre d’entreprise, entre le moment où l’idée est évoquée, même en vidéo, et les premiers passagers, il se passe vingt ans, au moins. Le Grand Paris Express commence à peine à montrer quelques premiers résultats, en retard encore, et Nicolas Sarkozy attend toujours de couper les premiers rubans. Il y a fort à parier que, comme le tramway parisien, ce nouveau réseau sera déjà sous-dimensionné le jour de son inauguration. Mais pour Vulcain ex-Jupiter, il suffit de deux coups de cuillère à pot et en voiture Simone ! Dix d’un coup, mieux que Mickey !

Sans même parler d’un autre détail puisqu’à ce jour, ni les bus Macron ni la SNCF ni la RATP ne disposent aujourd’hui d’un plan solide de formation et de rémunération de tous les chauffeurs et conducteurs dont ces RER auront besoin. Ceux-là manquent déjà par milliers ! Nous sommes pourtant dans un pays où il est désormais aussi facile de devenir du jour au lendemain chauffeur de bus qu’enseignant dans les écoles ou policier ou gardien de prison. Pour un salaire de misère certes, mais il suffit de traverser la rue.

Enfin, vu l’état de déliquescence de notre RER parisien que les usagers sont chaque jour tellement ravis d’emprunter, le modèle mérite évidemment d’être exporté en province – pourquoi les Franciliens seraient-ils les seuls à en baver ? –, les métropoles ravies sans doute de voir l’État se pointer avec son modèle unique comme chez les Soviets. Et si les élus locaux ou les parlementaires ne sont pas contents : le 49,3 !

Certes, un tel projet est une Bonanza pour les architectes. Des dizaines de gares à construire ou à reconstruire, des dizaines de nouveaux écoquartiers mixtes autour de ces gares. C’est le modèle Grand Paris : ‘business is business’ et les promoteurs et constructeurs de commencer dès aujourd’hui à préempter les terrains. Un modèle de RER, un modèle de quartier, un modèle d’immeuble de logement et d’immeuble tertiaire, un modèle de vie… Il y aura du travail pour tout le monde, pour les Majors surtout. Quand le bâtiment va disait-on dans l’ancien temps…

Très bien, mais cela ne va pas vraiment dans le sens de la sobriété que le président nous exhorte à privilégier. Ce d’autant qu’il y a évidemment une alternative à la volonté de développer de nouveaux gros bourrins qui pèsent des tonnes pour transporter les gens.

En 2020 par exemple, les Éditions Recherches publiaient ‘« Petites lignes » ferroviaires, des infrastructures recyclables’, une exploration qui avait le mérite de mettre en lumière l’immense potentiel de ce réseau et l’infinité de réponses originales possibles. L’idée de l’ouvrage était « d’alimenter un débat nécessaire sur cet héritage actualisable dans un nouveau cycle ferroviaire et territorial ». Mais à l’époque, il y a deux ans, Vulcain ex-Jupiter ne mangeait déjà pas de ce pain-là.

En attendant ces nouveaux RER tout beaux tout neufs, il demeure que des centaines de kilomètres de voies ferrées sont sous utilisées, voire carrément désaffectées. Pas étonnant puisque le rapport Spinetta, remis en février 2018 au gouvernement Philippe, préconisait leur suppression pure et simple, expliquant qu’il « [paraissait] impensable de consacrer près de deux milliards d’euros à seulement 2% des voyageurs et le maintien de lignes héritées d’une époque où le transport ferroviaire était l’unique moyen de déplacement doit être revu ».

Aujourd’hui, à l’heure des coupures d’électricité et des prix prohibitifs de l’énergie, à l’heure où sont ou seront bientôt interdits les vols en avion de courte distance, le train pourrait redevenir sinon l’unique mais le meilleur moyen de déplacement. Mais avec quelles machines ? Des Louison ou des innovations bien françaises ?

Nous-mêmes écrivions, en juin 2020, que « l’avantage des voies ferrées, même inexploitées, est qu’elles proposent une infrastructure dédiée, presque parfaitement isolée du réseau routier et des dessertes rurales déjà existantes qui pourraient être facilement accessibles par des navettes autonomes. Se souvenir que 90% de la population vit à moins de 10 km d’une gare ». Plutôt que des bus Macron, des navettes Macron ?

La technologie existe et est même parfaitement maîtrisée. Les lignes automatiques du métro à Paris en sont un exemple et, en modèle plus réduit, quasiment tous les aéroports d’envergure ont leur propre mini-métro automatique. Ces nacelles électriques pourraient être d’une taille standard de quatre places et pourraient s’additionner automatiquement selon la demande, via une application internet. Quant à la gestion de ces nacelles autonomes et automatiques, serait-elle à peine plus difficile que celle des Vélib à Paris ? Ou est-ce un défi trop compliqué pour la start-up nation et McKinsey ?

Voilà pourtant qui, à l’échelle du pays, au service de la sobriété énergétique nationale, aurait la gueule d’un projet industriel global et local – il y a déjà des producteurs français de navettes et nacelles – un projet qui pourrait être décliné de multiples façons partout sur le territoire. L’investissement de l’Etat ne serait pas moindre que pour dix RER mais, pour le dynamisme des territoires et la vertu écologique, mieux vaut 2 000 projets originaux et cohérents en circuits courts que dix projets monumentaux en circuits coûteux, longs, inefficaces et épuisants. Deux mille architectes plutôt qu’un seul ingénieur d’AREP !

Pour info, le prix d’un train régional neuf en Europe se situe autour de 30 000 € la place assise (tarif 2020) ! À ce tarif, il y a de quoi créer des vocations. En tout cas ces nacelles seraient bien moins chères à concevoir, à construire et à exploiter que les gros machins proposés par Alstom, Bombardier ou Siemens. De fait, les TER actuels qui crachent leur diesel sont déjà largement subventionnés. Si en plus est pris en compte le bilan carbone, il n’y a pas photo : il y a mieux à faire que dix RER d’État déjà obsolètes tant est vieillotte l’idée qui les sous-tend.

Douce rêverie ? Elon Musk est capable d’envoyer deux types sur la station spatiale dans une Tesla de 4m² et nous ne pourrions pas transporter les deux mêmes entre Mazamet et Castres à 2 heures du matin sans déplacer des tonnes de ferraille à un coût prohibitif ?

Bah non, évidemment. Alors va pour 10 RER ! 

Christophe Leray

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Editos

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