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Accueil > Politique > Sur l’île Seguin, un projet qui n’a rien de Nouvel

Sur l’île Seguin, un projet qui n’a rien de Nouvel

27 octobre 2020

île Seguin
Vue aérienne du site d’implantation du projet DBS @DBS

Pour qu’un projet d’urbanisme, symbolique et d’envergure, ne se fasse jamais, c’est bien simple, il suffit que la politique s’en mêle. Ou, pour qu’il se fasse, que Jean Nouvel ne s’en mêle pas ?

Prenons par exemple le développement de l’Ile Seguin, à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), projet emblématique en Ile-de-France et dans le Grand Paris s’il en est. Le 2 octobre 2020, à l’issue d’une enquête publique terminée le 2 septembre 2020 relative au projet DBS (Développement Boulogne Seguin), le commissaire enquêteur émettait avec quelques réserves un avis favorable à l’opération de 130 000 m² portée par Hines, Icade et Vinci sur la partie centrale de l’île Seguin. Pour ce lieu emblématique des usines Renault et de la culture ouvrière de Billancourt, enfin un avis favorable ! C’est parti donc ?

Selon le jargon de DBS, le programme proposé « permet la création d’un espace irrigué en permanence par des publics variés et une vie culturelle multiforme, mettant en synergie les nouvelles technologies, l’art, la culture, et les services. Sur l’île, une démarche environnementale globale et volontariste va de pair avec une conception de la ville aussi audacieuse qu’attentive à chacun ». En clair une « pièce urbaine de 350 m de long, 70 m de large, composée d’immeubles de 30 m à 59 m de haut de part et d’autre d’une rue de 15 m accueillant des bureaux et des commerces »*, laquelle rue possède déjà un air de déjà-vu.

 Ile Seguin
Rue Intérieure Jean Nouvel 2011 @AJN

Ile Seguin
Rue Intérieure DBS 2020 @DBS

Maintenant, que DBS espère enfin récupérer sa mise, rien d’étonnant à cela puisque le consortium DBS (Nexity + Hines + Vinci à l’époque) a été créé en 1989, il y a plus de 30 ans ! Pari sur l’avenir ?

Il semblait certes radieux quand en 1992 la production des usines Renault a définitivement cessé sur l’île. En effet sur la friche industrielle vendue en 2000 à DBS, il est alors prévu d’accueillir en 2015 pas moins de 842 000 m² de logements, équipements, bureaux et commerces ; 12 500 habitants et 12 000 emplois y étant attendus. La SAEM est créée en 2003 et sa direction générale est confiée à Jean-Louis Subileau, Grand Prix d’urbanisme en 2001 et par ailleurs ancien directeur de la SAEM Euralille. C’était donc parti pour le Trapèze, aujourd’hui peu ou prou construit sauf un dernier îlot inclus dans le dernier projet de DBS. Une réussite saluée de toute part.

Pour l’île, ce fut plus compliqué dès le début, d’autant que l’industriel français François Pinault confiait à l’architecte japonais Tadao Ando la création d’un écrin destiné à accueillir sa fondation pour l’art contemporain à l’endroit même où étaient encore debout, à l’époque, les anciennes usines. Une passerelle, signée Marc Barani, sera même aménagée spécialement pour lui. Quand François Pinault a finalement décidé, en 2005, de déporter sa fondation à Venise, la passerelle a demeuré.

Le paradoxe est que Tadao Ando est revenu à Paris avec François Pinault, inaugurant en octobre 2020 la rénovation de la Bourse du commerce qui abrite désormais une partie de sa collection. Pendant ce temps-là, en octobre 2020, à Boulogne-Billancourt on s’interroge encore sur le devenir de l’île Seguin. Sans doute que Tadao Ando lui-même a du mal à suivre…

Toujours est-il qu’en 2007, dans le momentum du Trapèze, des projets de prestige qui illustrent la vocation culturelle affichée de l’île sont d’ores et déjà engagés, tels l’Université Américaine, un hôtel 5*, une résidence de chercheurs, une salle de musique, soit 170.000m² : peu de bureaux, beaucoup d’équipements.

Ile Seguin
Projet 2007 @PCB

Sauf que Nicolas Sarkozy, alors président de la République et protecteur des Hauts-de-Seine, suggère de construire sur l’île un musée des « œuvres monumentales ». Un missile dans le jardin de Jean-Pierre Fourcade, maire de Boulogne-Billancourt, qui perd la mairie en 2008 au profit de son rival et ex-adjoint, Pierre-Christophe Baguet, protégé de Sarkozy et qui n’a eu de cesse de dénoncer sur l’île un projet « trop dense ». Il est vrai qu’un musée des « œuvres monumentales », ce n’est pas dense du tout.

A peine élu, Pierre-Christophe Baguet, en toute logique, dénonce tous les contrats de construction sur l’île, alors même que pour certains les travaux avaient déjà commencé. Un manquement à la continuité républicaine qui allait coûter une blinde à la ville. Surtout que l’université américaine par exemple, si elle l’avait mauvaise, a su monnayer sa discrétion puisque l’université sera finalement construite dans le XIIIe arrondissement de Paris par le Studio Jeanne Gang. Et il est permis de penser que les chaînes d’hôtel 5* n’aiment guère non plus se faire balader de la sorte. Mais bon, en 2008, Pierre-Christophe Baguet a les mains libres pour mener à bien son propre projet. C’est parti donc !

Voyons. Son premier geste est de retenir Jean Nouvel le pamphlétaire – celui-là même qui avait dénoncé le projet de Fourcade « C’est Boulogne qui assassine Billancourt », plombant ainsi durablement celui de Bruno Fortier – afin de présager du devenir de l’île. Une réussite puisque, trois ans plus tard, Jean-Christophe Baguet fait voter en conseil municipal (le 16 juin 2011) un changement de PLU pour l’île, autorisant le développement de… 330 000m² de SHON, dont deux-tiers de bureaux.

Ile Seguin
Jean Nouvel 2011 @AJN

Le même qui avait causé la défaite de Fourcade pour son projet « trop dense » autorisait deux fois plus de m² ? Dans le genre Trumpesque, c’est une performance. Il faut dire que pendant ce temps-là, la ville ne perçoit plus de revenus issus de l’activité de Renault sans recevoir encore le moindre fifrelin de qui que ce soit puisque rien n’est construit sur l’île et que l’endettement dû aux dédits des contrats précédents se révèle écrasant, sans compter les honoraires de Jean Nouvel. Il faut donc bien tasser les m².

Le PLU révisé en conséquence autorise donc la construction sur l’Ile Seguin de 310 000 m² avec point haut à 120m – une tour Nouvel – et cinq tours de bureaux. « C’est Jean Nouvel qui assassine Billancourt » s’exclament l’opposition et les associations, locales mais pas seulement – le changement de position à 180°, cela finit par se voir – qui sont vent debout contre le projet.

A tel point que Jean Nouvel est renvoyé à ses études. Il reviendra un an plus tard avec rien moins que trois projets – « trois variantes », dit-il – sur lesquels les Boulonnais seront invités à s’exprimer sous forme de votation, une sorte de référendum où la réponse est oui, soit en l’occurrence le choix entre Nouvel, Nouvel et Nouvel. Compter le temps des études et nous sommes maintenant en 2012. Ce projet retoqué par le tribunal administratif de Cergy-Pontoise et tandis donc que rien ne se passe sur l’île, entretemps, en 2011, Jean Nouvel a livré sur le Trapèze sa tour Horizons qui culmine à 90 m.

L’année 2013 voit le lancement du projet de R4 sur la pointe amont de l’île, un projet porté par Yves Bouvier, patron de Natural Le Coultre, et confié à… Jean Nouvel. Si ce n’est pas la baraka ! En 2016 hélas, les déboires judiciaires d’Yves Bouvier mettent fin à cette nouvelle aventure. Cette année-là, le projet de pointe amont est repris par Emerige : la cité artistique comptera un hôtel 4*, une autre fondation d’art contemporain, un cinéma et des commerces.

Situation Ile Seguin
@DBS

En avril 2017, inauguration de la Seine Musicale conçue par Shigeru Ban, financée par le département. Il n’y a qu’elle depuis.

Enfin, en janvier 2019, signature d’un protocole de conciliation juridictionnelle entre quelques associations et la ville qui valide un PLU où la densité totale des constructions ne devra pas excéder 230 000 m². La hauteur des tours sera limitée à 74 mètres sauf pour l’une d’entre elles (92 m).

Encore raté ! En août de la même année, le consortium DBS exerce son droit de priorité – depuis le temps ! – et achète la partie centrale de l’île.

C’est ce dernier projet de 130.000 m² de bureaux, commerces, restaurants et activités de loisirs, ainsi qu’un parc public, qui vient de recevoir un avis favorable du commissaire enquêteur en octobre 2020. Depuis 1989, pas un coup de pioche ! Mais c’est bon là, c’est parti ?

Rien n’est moins sûr. Les associations non signataires du protocole – elles sont nombreuses, surtout si on considère que le Grand Paris ne serait pas malheureux d’avoir son mot à dire – n’ont en tout cas pas été longues à réagir. Dès le 14 octobre, déjà 18 d’entre elles* signaient La Déclaration de l’Ile Seguin et adressaient une lettre ouverte aux ministres de la Transition Écologique, des Solidarités et de la Santé, les enjoignant de refuser l’autorisation environnementale pour ce projet auquel elles reprochent qu’il soit « néfaste pour la santé publique et pour l’environnement », ce qui est discutable, qu’il « dégraderait irrémédiablement l’un des plus beaux sites de la région parisienne », ce qui est indiscutable, et que sa programmation, s’éloignant du concept initial d’île culturelle, « tourne le dos à l’avenir », ce qui n’est pas faux.

Vue de l’ile depuis Meudon 2020 @DBS
Façade Meudon et Sèvres (Lot 2) @DBS
île Seguin
Vue de l’immeuble C depuis la Seine@DBS
Vue de l’immeuble E depuis la Voie centrale@DBS

Le problème est que ces associations exigent également « que l’île Seguin devienne une île naturelle et arborée sur sa moitié amont », ce qui ne s’impose pas comme une évidence puisque l’île n’est plus ni sauvage ni naturelle depuis au moins les Mérovingiens mais qui, surtout, ne résout pas les problèmes de trésorerie de Pierre-Christophe Baguet, les oies et autres cygnes de passage ne payant ni impôts ni taxes.

Bref, il y aura des recours et pour Pierre-Christophe Baguet, même fort de sa réélection haut la main en mai 2020, au vu de sa réussite depuis vingt ans sur ce projet, ce n’est pas gagné. Le plus drôle est que s’il n’avait touché à rien en arrivant, l’île serait d’ores et déjà développée et il aurait passé son temps à faire des inaugurations en tirant tout le crédit de l’opération.

Parce qu’entretemps, pour citer deux exemples, l’Ile de Nantes, sous la houlette de la SAMOA, s’est quant à elle développée de façon spectaculaire et, plus proche de Boulogne-Billancourt, le développement en cours mené sur l’île Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, par l’agence Philippon-Kalt montre qu’il y a d’autres façons de construire une densité insulaire qu’en alignant les barres et tours de bureaux et de logements.

Christophe Leray

*Pour découvrir la liste des associations signataires de La Déclaration de l’Ile Seguin, d’où est extraite cette citation, et en savoir plus sur le sujet :
www.collectifvuesurileseguin.fr
www.laseinenestpasavendre.com

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Politique Mots-clés : Ile Seguin

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