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Accueil > Réalisations > D’un produit vil, ARTEO fait un usage noble

D’un produit vil, ARTEO fait un usage noble

4 juillet 2017

@ Cécile Septet

Pour voir où en est notre société de consommation, rien ne vaut la visite d’un centre de valorisation des déchets. Nos déchets, 300 kilos par an et par habitant en France, disent de l’architecture, de la politique et de l’écologie plus que mille discours savants. Découverte à Saint-Thibault-des-Vignes (Seine-et-Marne) d’un bâtiment «militant» avec Didier Leneveu et Anne Forgia (ARTEO).

Une précision pour commencer, il s’agit ici d’un centre de valorisation des déchets, pas d’un centre de tri. Pour tout dire, le temps où de pauvres hères triaient à la main et à la chaîne les déchets qui arrivaient en vrac sera bientôt révolu, les machines prenant peu à peu le relais de la main-d’œuvre non qualifiée. Ce n’est pas une bonne nouvelle pour le chômage mais, aujourd’hui, des process élaborés, comme le Trommel (crible rotatif), qui est un immense tambour digne d’un film de James Bond, ou encore le tri optique qui séparent les déchets selon leur qualité – papier, verre, aluminium, plastique transparent ou opaque – et un centre de valorisation est aux déchets ce qu’un aéroport est aux bagages.

Il demeure certes des trieurs mais en nombre bien moindre et leur rôle n’est plus de séparer le bon grain de l’ivraie mais de s’assurer de la conformité du produit fini. Ils étaient trieurs, ils sont aujourd’hui agents de contrôle qualité. Et c’est à l’honneur des responsables du projet que d’avoir prévu pour chacun, homme ou femme affecté(e) à cette chaîne, car cela reste une chaîne, une plate-forme ajustable à sa morphologie.

C’est assez significatif de notre société quand, même pour les déchets, les besoins de main-d’œuvre disparaissent au profit de l’automation des tâches.

@ Cécile Septet

Le SIETREM – Syndicat mIxte pour l’Enlèvement et le Traitement des REsidus Ménagers – est le maître d’ouvrage de ce centre de valorisation destiné aux 31 communes adhérentes. Comme le souligne Patrick Donzel-Bourjade, le directeur général des services du SIETREM, lors de la visite de presse, «tout le monde convient qu’il faut un centre de valorisation mais personne ne le veut sur sa commune».

Résultat des palabres, le SIETREM se porte acquéreur d’une petite parcelle sur la commune de Saint-Thibaut-Les-Vignes, en Seine-et-Marne, dans une zone industrielle existante, juste en face de l’usine d’incinération.

«Le premier bureau d’études nous a dit qu’il était impossible de faire rentrer le programme sur la parcelle, nous avons changé de bureau d’études», explique Patrick Donzel-Bourjade. Puis groupement Generis/Neos, avec les architectes Didier Leneveu et Anne Forgia, ARTEO, lauréats en 2013 du concours conception-réalisation-exploitation lancé par le SIETREM, est venu lui donner raison.

L’agence avait déjà travaillé auparavant sur un programme similaire dans la région de Perpignan, cachant dans les replis d’un talweg une usine d’incinération de 45m de haut et 200m de long.

@ Cécile Septet

«Il y avait sur ce terrain une problématique supplémentaire de gestion des eaux puisque le site est près de la Marne à la limite du Plan de prévention des risques inondation (PPRI)», souligne Anne Forgia. Cette gestion des eaux s’accompagne encore de la nécessité de disposer de bassins de rétention afin de fournir l’eau nécessaire en cas d’incendie. «Il y a souvent des d’incendies dans les centres de tri», explique-t-elle. En cas d’incendie, il faut aussi prévoir la rétention des eaux désormais polluées ayant servi à l’éteindre.

Parler d’un centre de tri, c’est donc parler de l’eau, de la rivière et des pêcheurs et pourquoi pas bientôt d’un transfert des déchets, avant et après valorisation, par péniches à partir de la Marne toute proche. Circuit court et gestion intermodale ?

Parler d’un centre de tri, c’est donc aussi parler du feu. Les pompiers, cela n’étonnera personne, voulaient «une boîte en béton». Le groupement a alors fait réaliser des simulations qui ont démontré que la hauteur maximum de rayonnement d’un incendie était de 4,10m. Les architectes ont alors dessiné un mur en béton noir de 4,20m de haut qu’ils ont surmonté d’une charpente en lamellé-collé et d’une façade en panneaux de polycarbonate alvéolaire. A l’intérieur du centre de tri, la lumière naturelle !

@ Cécile Septet

Au rez-de-chaussée, aucun humain n’est à pied. Il y a des chauffeurs de transpalettes et les camions qui amènent la matière première et repartent avec le produit fini, des balles de déchets certifiées conformes. L’activité humaine est concentrée à huit mètres au-dessus du sol ce qui induit une autre vision de l’espace.

Non seulement les architectes et ingénieurs sont parvenus, en déformant l’enveloppe en plan comme en volume, à faire rentrer dans les 6 000m² SHON de l’ouvrage tous les éléments et la machinerie du process – lequel a changé deux fois au cours des travaux – mais ils ont eu l’obligeance de fabriquer sur le toit un cheminement planté destiné aux visiteurs et au personnel qui peut déjeuner en hauteur, au calme, loin de l’agitation et de la poussière de la zone industrielle. Une terrasse arborée qui, par sa qualité, fait penser à un espace habituellement conçu pour nouveaux riches parisiens.

@ Cécile Septet

Une petite administration, un vestiaire, un réfectoire et chacun des occupants et usagers de se féliciter que ces architectes se soient saisis de ce programme ingrat.

Didier Leneveu et Anne Forgia ont enfin, en ce territoire désuni, développé l’idée d’une urbanité future, ne s’installant pas en limite de propriété pour laisser la place à un espace herboré planté d’arbres. Pari sur l’avenir sans doute. Leur bâtiment, qui ne génère aucune nuisance sinon le passage routier, serait-il le premier élément urbain d’un futur campus industriel, moins brutal et plus durable que la zone industrielle habituelle… ? La nuit, le bâtiment devenu lanterne illuminera cet espoir. «Dans l’esprit de la COP 21», souligne Anne Forgia. Pourquoi pas puisque des architectes y ont pensé ?

@ ARTEO

La COP 21, parlons-en. Patrick Donzel-Bourjade, le directeur général des services du SIETREM, évoque les difficultés nouvelles apparues depuis la conception du projet. L’usine telle qu’elle a été conçue, pour 31 communes, a une capacité de 300 000 tonnes par an. Elle n’est aujourd’hui utilisée qu’à la moitié de ses capacités. Pour plusieurs raisons, la première étant que l’usine est construite dans une optique de développement, afin de pouvoir accueillir le surplus de déchets au fur et à mesure que ces 31 communes de l’est parisien se développeront. Ce serait dommage en effet de se retrouver avec une usine sous-dimensionnée au moment même où elle est livrée. Et la différence de coût entre une usine à 150 000 tonnes ou la même à 300 000 n’est pas énorme.

Anticipation prudente. N’est-ce pas bonne politique ?

Mais voilà que, depuis, dans le cadre du Grand Paris, la puissance publique a créé de nouvelles entités administratives, dont dépendent désormais les centres de tri et de valorisation. Soudain, deux communes importantes du groupement sont censées envoyer leurs déchets ailleurs.

@ SIETREM

Qui plus est, dans son organisation territoriale, l’Etat entend s’appuyer sur un réseau de centres de tri d’une capacité de 600 000 tonnes. Economie d’échelle ? Il y a seulement 80 000 habitants en Lozère, fait remarquer Patrick Donzel-Bourjade. De fait, les 31 communes du SIETREM qui comptent environ 300 000 habitants ne produisent que 150 000 tonnes. Alors pour la Lozère, l’obligation d’exporter ses déchets sur de grandes distances avant d’être triés ? Le centre de tri de Saint-Thibault-les-Vignes a de fait l’avantage d’être au cœur du territoire qu’il dessert.

Pour un centre de tri ou de valorisation, il y a donc un enjeu de proximité. De fait, l’idée du maître d’ouvrage était encore d’offrir ce service à d’autres communes de l’est parisien. Désormais, la perte éventuelle de deux communes partenaires remet en cause l’équilibre économique anticipé avant la création de cette nouvelle entité administrative, le Grand Paris du millefeuille. Déchets picrocholiens comme dirait Rabelais ?

Manque de vision de la puissance publique ? Le nez sur le guidon, le directeur général de l’établissement remarque encore que si son usine valorise proprement les métaux issus des déchets franciliens, ces balles de métal partent vers l’Allemagne et l’Italie car la France n’a pas ou plus l’industrie sidérurgique pour faire usage de cette matière première. Comme quoi la volonté des élus des 31 communes du SIETREM de promouvoir le recyclage se heurte vite à des contraintes macro-politiques et macro-économiques qui les dépassent.

@ Cécile Septet

Les architectes et le maître d’ouvrage ont beau jeu de montrer leur système de récupération de l’énergie des machines, de présenter un bâtiment «un peu militant» sur un terrain a priori trop petit. Même quand sera rétablie une liaison avec la Marne pour un transport doux et multimodal, s’il doit y avoir des économies d’énergies, l’échelle d’intervention territoriale doit-elle être d’initiative locale ou nationale et autoritaire ?

L’Etat a tranché, ce sera 600 000 tonnes et allez vous faire voir avec votre projet et votre savoir-faire à Saint-Thibault-les-Vignes.

En tout cas, les architectes ont apprécié l’exercice ; non seulement ils ont travaillé avec un maître d’ouvrage qui connaît son affaire – au concours, il n’a pas choisi le moins-disant – mais «sur un projet de centre de tri, personne ne te dit quoi faire».

Même les normes sont parfois floues. «Dans le logement et les ERP, la réglementation incendie est précise sont connues. A contrario, il n’y a pas deux centres de tri identiques et, à chaque fois, d’un département à l’autre, il y a de nouvelles discussions avec les pompiers, avec une nouvelle interprétation du risque. Il s’agit alors d’un travail de proposition par rapport aux attentes de la maîtrise d’ouvrage», indiquent Didier Leneveu et Anne Forgia. N’est-ce pas ainsi que naît l’architecture, quand d’un besoin vil naît une fonction noble ?

@ Cécile Septet

Pour finir, les architectes et le maître d’ouvrage sont partis de l’idée d’un site qui se visite. Une volonté pédagogique dont témoigne le 1% artistique signé de l’artiste Eric Fayolle. C’est vrai qu’il a encore fallu intégrer les normes d’un ERP pour que ce soit possible.

Alors, si d’aucuns souhaitent en savoir plus sur notre société de consommation, visiter le centre de tri de Saint-Thibault-les-Vignes. Il est fait pour.

Attention au vertige.

Christophe Leray

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Politique, Réalisations, Urbanisme Mots-clés : Artéo, Centre de tri, Ecologie, Val-de-Marne

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