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Accueil > Editos > Pritzker 2024 : Riken Yamamoto. Passage obligé ?

Pritzker 2024 : Riken Yamamoto. Passage obligé ?

12 mars 2024

Jian Wai Soho Riken Yamamoto
Jian Wai Soho, Pékin – Riken Yamamoto @Aurélien Chen

L’architecte Riken Yamamoto est le lauréat 2024 du Pritzker Prize, le 9ème japonais, a annoncé le 5 mars la Fondation basée à Chicago (IL. USA) qui délivre ce prix communément comparé « au Nobel de l’architecture ». Que dire ?

À chaque Pritzker, le plus souvent, le monde de découvrir un architecte dont en vérité on connaît peu le travail, ses bâtiments jamais visités ni même jamais vus sinon en photos, peut-être. D’où les hagiographies issues du dossier de presse qui font le tour des médias mondialisés. Il s’agit pourtant d’un détour annuel obligé pour le journaliste d’architecture. En de telles circonstances, sauf si elle est artificielle ou particulièrement bien informée, difficile de faire montre en quelques jours d’intelligence particulière et, sans une quelconque prétention à un regard critique, que raconter ?

C’est plus facile évidemment quand le lauréat et le journaliste sont du même pays. Qu’en pensent donc les journalistes japonais qui en sont à leur neuvième titre en 53 éditions, record du monde ? Est-ce à chaque fois pour eux un nouveau moment de fierté indescriptible ? Sont-ils blasés ? Si l’architecte français installé au pays du Soleil levant Manuel Tardits (agence Minkan) devait gagner le Pritzker, cela leur ferait une sacrée surprise ! Le Japon va-t-il bientôt devoir construire un ‘’Hall of Fame’’ pour héberger ses Pritzker ?

Pour autant, leur longévité est-elle le secret des architectes japonais puisque Riken Yamamoto est sacré à 79 ans ?

En tout cas, le jury du Prizker 2024* semble être revenu à sa tradition des vieux hommes. De fait, depuis Zaha Hadid en 2004, le jury n’a pas trouvé une seule femme à récompenser en son nom propre. Dans cet aréopage testostéroné, en 53 ans d’histoire et de distribution de bons points, ne compter en effet, outre Zaha Hadid, que Kazuyo Sejima mais avec Ryue Nishizawa (2010), Carme Pigem** mais bien entourée par Rafael Aranda et Ramon Vilalta (2017) et Anne Lacaton avec Jean-Philippe Vassal (2021). Exception faite, qui confirme la règle, avec une illumination du jury 2020 qui récompense deux femmes d’un coup avec le Pritzker pour Yvonne Farrell et Shelley McNamara.

Sinon, toujours pas à ce jour, dans le MONDE ENTIER, une femme architecte en son nom propre pour retenir à nouveau l’attention du jury ? D’ailleurs des chercheurs de l’Université de la Baleine Blanche sur la planète Zorg, à l’étude minutieuse des lauréats du Pritzker, en ont déduit que les habitants de la planète Terre étaient à 95 % des hommes, le plus souvent le visage pâle. Ils s’interrogent encore sur leur mode de reproduction…

Que faut-il pour Madame de gagner le Pritzker sans Monsieur ? Comme le remarque l’architecte Tania Concko,*** « hormis [feu] Zaha Hadid, aucune femme ne construit des bâtiments institutionnels parce que cela touche à la représentation et au pouvoir. Dès lors que l’on commence à toucher à des projets qui symbolisent le pouvoir, en architecture des projets institutionnels, en urbanisme des projets de grande envergure, on entend des choses étonnantes, désobligeantes, même si ce n’est jamais formulé directement ».

Bref il y a encore du chemin pour les impétrantes avant de briser le plafond de béton armé. Casque obligatoire !

Quant à l’âge du capitaine, Christian de Portzamparc fut longtemps le plus jeune des lauréats, Pritzker en 1994 à 50 ans, jusqu’à l’architecte chilien Alejandro Aravena qui avait 49 ans en recevant le Pritzker en 2016.

À partir du premier, entre 1994 et 2005, une décade d’optimisme et d’opulence, la guerre froide est finie, l’Europe réunifiée avec bientôt une nouvelle monnaie, le libéralisme de Clinton est paternaliste, la Russie encore dans les choux, la Chine pas encore menaçante. La confiance et l’audace sont au goût du jour et c’est ainsi quasiment le même jury qui pendant presque dix ans porte aux nues de jeunes architectes qui affirment une posture tournée vers l’avenir, de Christian de Portzamparc à Rem Koolhaas, en passant par Renzo Piano et Norman Foster. En une décade, dix architectes de dix pays différents !

Avec un jury renouvelé de moitié, Zaha Hadid en 2004 (première femme primée, elle avait 54 ans) et Thom Mayne en 2005 incarnent encore la geste triomphante. À partir de 2016, avec Alejandro Aravena, s’impose désormais, au moins en apparence, la prise de conscience environnementale et sociale, le global – le monde est un village – retrouvant le sens du local – le village est un village. Francis Kéré, Pritker 2022, personnifie cette approche sensible.

Mais bon, en témoigne le Pritzker 2024, les habitudes ont la vie dure et récompenser ‘Sa vie Son œuvre’, comme pour un vieil acteur sur le retour, est une tentation récurrente, surtout quand le besoin s’en fait sentir, avant qu’il ne soit trop tard : Pritzker 1988, Gordon Bunshaft (79 ans) ; 1989 Oscar Niemeyer (82 ans – personne sauf lui ne le savait mais il avait encore bien le temps) ; 2015 Frei Otto (90 ans), ou plus récemment Balkrishna Doshi qui avait 91 ans en 2018 et David Chipperfield, un jeunot de 70 ans en 2023.

Riken Yamamoto donc, 79 ans.

L’architecture, la ville et la pratique elle-même de chaque architecte évoluent à grande vitesse au fil du temps. Un architecte ne travaille pas de la même façon à 30, 50 ou 70 ans car le monde change en même temps que lui. En commençant ses études, Riken Yamamoto ne savait pas épeler ordinateur. Si le jury voulait vraiment récompenser l’architecture de son temps au moment où le prix est décerné, il ne choisirait que des architectes – hommes et femmes – de moins de quarante ans qui portent une montre connectée. L’impact de leurs œuvres, de leur pensée, de leur savoir-faire serait après ce prix autrement plus significatif que celui d’architectes vieillissants dont l’architecture est issue d’un temps que les architectes de moins de soixante ans ne peuvent pas connaître.

De fait, après le tremblement de terre et le tsunami de Tōhoku qui ont dévasté le Japon en 2011, Riken Yamamoto a créé le ‘’Local Area Republic Labo’’, un institut dédié aux activités communautaires à travers la conception architecturale. Cet institut délivre depuis 2018 le ‘’Local Republic Award’’ afin « d’honorer les jeunes architectes qui agissent avec courage et idéaux vers l’avenir ». Se souvenir par exemple que Paul Andreu n’avait que 29 ans quand lui fut confiée la construction du Terminal 1 de Roissy. Pourquoi ne pas chercher et récompenser les élèves qui dépassent le maître ? Si l’un des siens avait été ainsi honoré, Riken Yamamoto en aurait peut-être tiré une aussi grande fierté que de recevoir le prix lui-même.

Pour autant, l’essentiel du travail de Riken Yamamoto, y compris son plus récent, à le découvrir au fil du dossier de presse, respire encore de fraîcheur d’esprit. C’est une bonne surprise !

« L’approche actuelle de l’architecture met l’accent sur la vie privée en niant la nécessité des relations sociales. Nous pouvons pourtant continuer de respecter la liberté de chaque individu tout en vivant ensemble dans un espace architectural, comme une République qui forge de l’harmonie entre les cultures et les étapes de la vie », explique Riken Yamamoto, confiant. La sociabilité, un autre secret des architectes nippons ?

Que ne sait-il pas de la société occidentale contemporaine dans le reste du monde quand la nécessité des relations sociales est plus niée que jamais, les étapes de la vie sectionnées en cellules autonomes tandis que la vie privée est désormais assaillie de tous côtés et n’a plus de privée que l’adjectif.

C’est après une série de voyages à travers le monde, en Irak, en Inde et au Népal notamment, que Riken Yamamoto a déterminé qu’un « seuil » entre espaces publics et privés est une idée universelle. « Le système architectural du passé était destiné à nous permettre de retrouver notre culture… Les villages étaient différents dans leur apparence, mais leurs mondes [étaient] très similaires », explique-t-il. Au fil de sa pratique, il n’a cessé de reconsidérer avec générosité « les frontières » entre les domaines public et privé « comme des opportunités sociétales ».

Son héritage ? Les seuils sont de plus en plus nombreux et de plus en plus difficiles à franchir, quand ce n’est pas d’abord une grille de résidentialisation puis un premier interphone puis un autre, l’espace public lui-même de plus en plus sectorisé en fonction des usages et bientôt du genre de chacun chacune et autres. Et des murs qui se construisent partout dans une ambiance de forteresse assiégée ! Des seuils peu sociables à n’en plus pouvoir !

La définition même de ce qui est universel est changeante selon les différents génies, bons et mauvais, des lieux. Par exemple, qu’en pensent-ils en Russie de l’universalité et du Pritzker ? En 53 éditions, pas un architecte Russe n’a été primé. Politique l’architecture ? Évidemment !

Le Pritzker Prize, prix occidental s’il en est, même si inventé par un exotique marchand de nuitées, procède d’un sens très américain de la géopolitique : il y a eu des architectes Pritzker chinois et indien – Wang Shu et Balkrishna Doshi – quand le monde occidental croyait encore ces deux pays engagés sur la voie inexorable de la démocratie pour le premier, du nirvana pour le second. Mais Xi Jinping président à vie en Chine et le Premier ministre nationaliste indien Narendra Modi ont montré faire peu de cas des récompenses occidentales. Le jury du Pritzker, courageux, a peut-être senti le moment venu de rassurer ses partenaires indéfectibles, n’allant quand même pas, peu téméraire, jusqu’à primer une architecte Taïwanaise ou Ukrainienne ce qui serait à coup sûr interprété comme une provocation.

Si donc les Russes ne sont pas près d’en avoir un de Pritzker, idem les Turcs d’Erdogan qui peuvent toujours attendre, en comptant les Chinois et les Indiens déjà servis et désormais peu accommodants et autres tribus hostiles, cela réduit singulièrement le champ de la nationalité des aspirants. Est-ce là le dernier secret des Japonais ?

« Si d’innombrables colloques sur l’aménagement des villes sont organisés, ils relèvent trop souvent de la communication politique. On n’a pas eu beaucoup d’idées qui permettent clairement d’avancer », relevait Christian de Portzamparc à réception de son Pritzker, cité par Le Monde (3/05/1994).

Le nombre de colloques n’a pas diminué depuis.

Et voilà pour le passage obligé !

Christophe Leray

Tout découvrir du Pritzker 2024 et de celles et ceux qui l’ont précédé

* Jury Members :
– Alejandro Aravena (Chair), Architect, Educator and 2016 Pritzker Laureate, Santiago, Chile
– Barry Bergdoll, Architecture Historian, Educator, Curator and Author, New York, New York
– Deborah Berke, Architect and Dean, Yale School of Architecture, New York, New York
– Stephen Breyer, U.S. Supreme Court Justice, Washington, DC
– André Aranha Corrêa do Lago, Architecture Critic and Secretary for Climate, Energy and Environment, Ministry of Foreign Affairs, Government of Brazil, Brasília, Brazil
– Kazuyo Sejima, Architect and 2010 Pritzker Laureate, Tokyo, Japan
– Wang Shu, Architect, Educator and 2012 Pritzker Laureate, Hangzhou, China
– Manuela Lucá-Dazio (Executive Director), Venice, Italy

** Lire notre article Pritzker Prize 2017 : la fin des starchitectes
*** Lire notre article Femme architecte : un handicap ? Entretien avec Tania Concko

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Au fil de l’eau, Editos Mots-clés : Prix Pritzker, Riken Yamamoto

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