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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l’architecte – Saison 3 > Dans l’enseignement de l’architecture, la loi du trop grand nombre

Dans l’enseignement de l’architecture, la loi du trop grand nombre

29 septembre 2020

Hazel Enseignement

L’architecte, en tant que praticien, est inquiet pour le devenir de la profession. Ethel Hazel, en tant que psychanalyste, est inquiète quant à la pertinence de ses actes. Dr. Nut est le seul à être tranquille.

***

« La définition de la folie est de faire exactement la même chose en espérant un résultat différent » Albert Einstein

***

Ding Dong. Ethel Hazel, plongée dans les faits divers du Parisien, sursaute. C’est l’architecte, il est à l’heure mais comment se fait-il qu’elle ne l’ait pas entendu s’approcher de l’entrée ? Elle n’a pas non plus entendu le scooter. Elle porte une tenue de demi-saison et des chaussures souples aux couleurs de l’automne. Comme elle l’invite à entrer, elle est surprise de retrouver Dubois si fringant dans une veste neuve. Après qu’il a enlevé son casque, elle découvre qu’il ne porte pas de masque mais arbore élégamment autour du cou un bandana coloré. L’architecte note le regard de la psychanalyste et se couvre le nez avec son foulard, comme un cowboy ou un gangster. « Et voilà », dit-il. Elle rit. Il rit. Il a aux pieds une paire de boots en daim, « aux couleurs de l’automne », se dit-elle.

Ethel Hazel (qui pour sa part a décidé de ne plus porter de masque avec ses clients, encore amusée) – Vous avez vu trop de films de John Wayne quand vous étiez petit…

L’architecte – Plutôt Bonnie & Clyde. Tiens, puisqu’il est question de shériff, je vous ai déjà raconté mon arrestation n’est-ce pas ?

E.H. (sur le qui-vive, elle se souvient parfaitement. Va-t-il lui parler de Nutello ?) – Je me souviens.

L’architecte – J’ai une bonne nouvelle à ce sujet. L’affaire est apparemment classée et voilà soudain Madeleine – mon ex-femme et ex-associée – totalement absoute et il ne lui est plus rien reproché. Et comme elle a eu tout ce qu’elle voulait lors du divorce, il faut lui rendre grâce, c’est une maîtresse femme. Comme quoi… La vie est étrange. Même moi, j’avais fini par douter d’elle. Mais bon Ethel (c’est la première fois qu’il l’appelle par son prénom), vous qui êtes psychanalyste, vous savez bien que pour accepter sa propre folie, il faut accepter la folie des autres.

E.H. (avec ce qu’elle soupçonne de l’architecte, elle en est maintenant moins sûre ; les cours en amphi c’est une chose, avec l’architecte… De quelle folie parle-t-on ? Qu’elle est sa limite ?) – Certes…

L’architecte – C’est plus facile à dire qu’à faire, accepter la folie des autres je veux dire. Voyez, par exemple, vous et moi qui habitons Paris, nous croisons un fou tous les trois jours. Un vrai fou je veux dire, un type qui vous découpe en morceaux, la tête, le torse, le bassin et le reste. Les faits divers, je sais que vous aimez ça.

E.H. (alarmée : comment le sait-il ?) – Il ne faut pas exagérer, si tant de fous furieux étaient parmi nous, le monde serait invivable.

L’architecte – Détrompez-vous. Entre les fous dangereux et les imbéciles, la vie est hasardeuse et, en réalité, on ne sait jamais vraiment à qui on affaire.

E.H. (je suis bien placée pour le savoir, se dit-elle) – Certes, les apparences sont souvent trompeuses.

L’architecte – Exactement. C’est par exemple le cas avec les architectes. Qu’est-ce qu’un architecte aujourd’hui ?

E.H. – Je ne vous suis pas. On est architecte ou on ne l’est pas ? Non ?

L’architecte (qui soupire) – Bah non justement, c’est cela la difficulté car il y a toutes sortes d’architectes aujourd’hui, les architectes chercheurs par exemple, les architectes philosophes, les architectes critiques, etc., ceux-ci et ceux-là étant d’ailleurs en train de prendre le pouvoir dans les écoles.

E.H. (qui ne comprend pas) – Parce ce que recherche et architecture sont antinomiques ?

L’architecte – Non mais je vais vous donner un exemple. L’autre jour je tombe sur une enseignante chercheuse, elle pourrait être ma fille… Elle se présente : machin machine, architecte. Ha bon ? Et elle enseigne le projet ? Ah non, elle est chercheuse et critique d’architecture et enseigne je ne sais pas trop quoi, me dit-elle. Certes, je lui dis, mais depuis 4 000 ans au moins, un architecte est celui qui conçoit ET construit un bâtiment. « Mais la Profession a besoin de gens qui réfléchissent à l’architecture et blabla ci et blabla ça », me dit-elle, et échauffée avec ça… Je lui dis : « je comprends bien mais l’architecte, c’est encore in fine celui ou celle qui conçoit et construit un bâtiment, pas quelqu’un qui fait des études d’architecture ».

E.H. (qui ne voit pas où il veut en venir) – parce que ce n’est pas le cas ?

L’architecte – Non justement. Il y a 30 000 architectes inscrits à l’Ordre mais combien sont-ils à se ‘croire’ architectes ? Je vais vous donner un autre exemple. Je me souviens d’une ex-directrice de la DAPA, une institution gouvernementale liée à l’architecture, qui se présentait toujours comme « architecte ». Et quand elle recevait Zaha Hadid – une grande architecte anglaise, aujourd’hui décédée – cette bureaucrate avait l’impression de lui parler d’égale à égale. Mais c’est faux, l’une est architecte, l‘anglaise, l’autre, la française, n’est qu’une haut-fonctionnaire payée par nos impôts. Et être haut-fonctionnaire, ou historien ou sociologue ou journaliste, ce n’est pas être architecte.

E.H. – Votre mère était enseignante n’est-ce pas ?

L’architecte – Oui, en lettres mais quand on lui demandait ce qu’elle faisait, elle répondait « professeure », pas « écrivain ». Ce n’est pas la honte d’être enseignant, même à un si jeune âge, même en architecture, mais si tu ne construis rien d’autre que des discours, tu n’es pas architecte, un intellectuel sans doute, peut-être, mais pas architecte. Quand il a fallu se cogner un maître d’ouvrage, un budget, la réglementation, les normes, les recours, les voisins mauvais coucheurs et construire quand même quelque chose, alors on est architecte, bon ou mauvais mais architecte. Mais à enseigner l’histoire de l’architecture – c’est un exemple, je n’ai rien contre l’histoire de l’architecture, au contraire – si on vous demande votre métier, l’honnêteté oblige à répondre « enseignant(e) » ou « historien(ne) » ou « fonctionnaire au ministère de la Culture » car à la vérité, n’est pas architecte qui veut.

E.H. – Vous avez une vision bien étroite de votre métier…

L’architecte – Mais c’est la définition du Larousse ! Les mots ont un sens. De fait, après quinze ans de pratique, je vous garantis qu’un architecte qui vaut sa poignée de sel saura enseigner la sociologie du projet à de jeunes chercheurs, que ça leur ferait du bien, surtout en ces temps du tout collaboratif. Mais non, c’est tout juste si ces chercheurs enseignants, tous architectes de quelque chose, ne font pas la leçon aux praticiens. Je vous parlais d’histoire de l’architecture, il y a ce type à Paris, Philippe Prost, dont j’aime beaucoup le travail. Il est architecte et ne se la pète pas plus que ça mais là encore je vous garantis qu’on peut le mettre derrière un pupitre, devant moult de ces jeunes architectes-enseignants-historiens-chercheurs, et ils repartiront tous et toutes un peu moins sots et sottes qu’ils ne l’étaient en arrivant !

E.H. (pensant à ses propres études) – Mais la recherche, c’est la règle à l’université.

L’architecte – Justement, les écoles d’architecture sont de plus en plus universitaires. De mon temps, elles étaient un foyer de révolution, de débats, d’ateliers qui se tiraient la bourre. Aujourd’hui, il n’y a plus que des gentils étudiants et des gentils professeurs-chercheurs salariés ! Quelle tristesse, pas un poster, pas un tag dans ces écoles, pas un esprit rebelle et un fonctionnement quasi scolaire. Mais la vocation d’une école d’architecture, même si elle doit plus largement former aux métiers de l’architecture, doit être quand même, à la fin, de préparer au métier d’architecte, c’est-à-dire concevoir et construire, et cela ne s’apprend pas en grand amphi. Vous ne pensez pas ?

E.H. – Je n’en sais rien. Je vois en revanche que cela semble vous préoccuper, c’est rare de vous voir inquiet.

L’architecte – On sent les prémices d’une guerre sourde entre les praticiens et des chercheurs de plus en plus envahissants. Déjà que les diverses chapelles de praticiens se regardent en chiens de faïence, voilà que les chercheurs sont de plus en plus parasités par les ayatollahs du genre et de l’air du temps et ces derniers font de l’entrisme dans les écoles comme au bon vieux temps des Soviets.

E.H. – De nouveau vous exagérez.

L’architecte – Pas du tout. Vous savez, l’architecture ne représente jamais que la société dans laquelle elle est construite. Je vois que les liens qui unissaient cette profession sont de plus en plus tendus, à coups de pétitions et de réponses outrées, et ses acteurs désormais emprunts de méfiance les uns vis-à-vis des autres. Et quand l’invective, le dogme et l’idiotie prennent le pas sur le débat et l’intelligence, cela en dit long sur notre société. Qui fait la ville de demain ? J’ai vu une présentation de jury ainsi rédigée : le jury « est exclusivement constitué d’architectes puisqu’elles et ils sont critiques, journalistes d’architecture, enseignants, chercheurs ou historiens, appartenant ou non à la rédaction ». En une phrase, tout est dit de la confusion qui règne. Car, que je sache, j’insiste, l’architecte est celui qui construit, les autres ne font que tenter de jouir du prestige supposé de la profession.

E.H. – Il est normal que les choses évoluent…

L’architecte – Certes, mais nous parlions de la folie et qu’accepter la sienne est accepter celle des autres. Il nous faut quand même bien admettre que plus ces « architectes » sont nombreux, plus le risque est grand de voir affectée la façon même d’exercer notre métier. Imaginez que quiconque s’improvise psychanalyste, que les astrologues, les devins et autres cartomanciennes arguent qu’ils sont eux aussi psychologues à leur façon, cela ne vous rendrait-il pas folle ?

E.H. (elle ne l’écoute plus. Accepter sa propre folie ? Accepter celle de l‘architecte ? Ethel se sent soudain prise de vertige : à rencontrer régulièrement ce type, n’est-ce pas elle qui est peut-être complètement folle ? Et quand elle s’est fiée à la police, c’est un nouveau cauchemar qui a commencé avec la disparition brutale de Dr. Nut. En un instant elle se sent si perdue et solitaire qu’il lui faut quelques secondes pour retrouver ses esprits) – …

L’architecte – Ethel, ça va Ethel ?

E.H. (qui ne veut rien montrer de l’effort que lui réclame de retrouver son calme) –  Ca va aller, merci.  Non ne vous levez pas. Ne me touchez pas.

L’architecte (en se rallongeant lentement) – C’est la folie qui vous effraie ?

E.H. (presque avec hargne) – Car la vôtre ne vous fait pas peur ?

L’architecte (il réfléchit) – Non, pas vraiment. A vrai dire, elle m’impressionne. Comme dirait l’autre, « la folie séduit plus que la raison » et il y a des jours comme ça quand j’ai l’impression d’être un champion du…

DRINNNN, DRINNNN

Quelques minutes plus tard, Ethel Hazel est contente qu’il soit parti.

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

Retrouvez tous les épisodes de la saison 3

***

L’emploi du temps de l’inspecteur, qui dans sa prison fait consciemment des efforts pour ne pas parler tout seul, ne sachant jamais si l’architecte l’écoute ou pas ni quand il va débouler, est évidemment au fil du temps tombé dans une routine. Nutello lit une grande partie du temps afin de garder sa santé mentale ou il griffonne des notes à n’en plus finir, parfois en écrivant, voire en dessinant, sur les murs les ‘soirs’ où il se bourre la gueule avec l’alcool disponible à foison pour pouvoir enfin sombrer dans le sommeil. Il n’a jamais autant lu de sa vie. D’ailleurs c’est bien simple, avant d’être enfermé par l’architecte, maintenant qu’il y pense, il ne faisait que bosser. Pourquoi ne lisait-il rien d’autre que des rapports de police ou d’auditions et des SMS ? Il se surprend désormais avec ses lectures à se laisser emporter loin de sa geôle. Il a serré les dents en lisant Le choix de Sophie, de William Styron, et découvert avec stupeur du même auteur Les confessions de Nat Turner, l’histoire de ce noir qui a conduit la révolte d’un groupe d’esclaves. Nat Turner : dangereux psychopathe ou héros de la lutte contre l’esclavage ? Chantre mystique ou fou illuminé ? Dr. Nut ne parvenait pas à se faire une religion et ne pouvait s’empêcher d’une forme d’admiration pour ce héros sanguinaire. Et cela le ramenait aux contradictions du monde d’aujourd’hui, et à l’architecte.

Il avait bien vu, dès le début, les rayons avec les livres d’architecture mais il s’en était jusqu’à présent tenu éloigné, privilégiant tout le reste. Mais dans tout le reste, il était tombé sur Les villes invisibles, d’Italo Calvino, et presque à son corps – et cœur – défendant, avait commencé à feuilleter les livres d’architecture de l’architecte, se disant que cela l’aiderait peut-être à le coincer. Pour l’heure, il était dans sa position préférée, allongé sur le sofa avec un roman.

L’architecte (joyeux) – Hello inspecteur ? Comment va la gueule de bois ?

Dr. Nut (sans lever les yeux de son livre) – Tiens je pensais à vous.

L’architecte (ravi) – Et que me vaut l’honneur ?

Dr. Nut – J’ai trouvé ce livre. Boris Vian, Et on tuera tous les affreux. Il m’a fait penser à vous, avec votre idée fixe de la beauté qui se résume, si je ne m’abuse, à un type bien précis : blonde, yeux bleus. On ne peut pas dire que vous ayez beaucoup d’imagination.

L’architecte – Je me souviens parfaitement de cette histoire. Dans un monde dictatorial où tous les affreux ont été éliminés, les affreuses plutôt, ce sont à la fin les femmes les plus moches qui finissent par devenir les plus désirables pour les puissants. Quand on mange du homard tous les jours, on finit par adorer les rillettes.

Dr. Nut – Exactement. Et quand vous en serez aux rillettes, que vous finirez par tuer des premières venues, votre vraie nature se révélera alors. Il n’y a aucun souci d’esthétisme dans votre série meurtrière, bien que vous aimiez à le penser. Quand vous en serez à tuer des moches, vous serez nu, juste un assassin de base, violent et bas de plafond.

L’architecte (moqueur) – Bas de plafond ? Ne m’en voulez pas mais je n’ai pas pu avoir une plus grande hauteur de plafond dans votre appartement. Mais je vois que vous ne perdez pas la tête, que vous continuez à réfléchir. Je ne pense pas que votre analyse soit la bonne – avouez que la vieille comtesse ne pouvait prétendre à aucun critère de beauté – mais elle se tient. Il faudra que j’en parle à Ethel. Du même auteur je vous invite à lire L’automne à Pékin puisque vous voilà le premier habitant de mon Exopotamie.

Dr. Nut (masquant son ironie) – Tant qu’à faire, je peux peut-être vous commander des livres, puisqu’il semble qu’Amazon ne livre pas jusqu’ici ?

L’architecte (curieux et enchanté) – Tout à fait, qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?

Dr. Nut (il sourit et, se replongeant dans sa lecture, lui fait un doigt d’honneur) – …

L’architecte (vexé) – La vulgarité c’est une habitude chez vous.

Dr. Nut – C’est possible. (Il se lève, détendu : tant que l’architecte lui parle d’Ethel, c’est qu’elle est vivante) Je vais aux toilettes. Vous m’accompagnez ?

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Psychanalyse de l’architecte – Saison 3

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