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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l'architecte - Saison 1 > Psychanalyse de l’architecte – Le plus vieux métier du monde

Psychanalyse de l’architecte – Le plus vieux métier du monde

20 novembre 2018

Episode 11 – L’architecte est à l’heure et semble impatient. Il salue à peine Ethel Hazel, la psychothérapeute, qui ne s’en formalise pas. Il se dirige vers le divan et sans autre préambule il annonce : «Docteur il faut absolument que je vous dise».

«Quand le loup enseigne aux oies leurs prières, il les croque pour ses honoraires». Proverbe allemand

***

L’architecte – Tout va mal, tout va de mal en pis.

E.H. – La police ?

L’architecte – Non, pas la police. Tiens, vous me faites penser que je n’ai pas eu de nouvelles depuis leur visite à l’agence. La victime a dû survivre. Pas de nouvelles, bonnes nouvelles haha.

E.H. – Les procédures sont parfois longues…

L’architecte (qui l’interrompt brusquement) – oui sans doute mais ce n’est pas de ça dont je voulais parler. Tout va mal parce que mon métier part en sucette.

E.H. (qui pense à Géraldine) – Sucette ?

L’architecte (énervé) – Oui parce que le métier d’architecte est peu à peu dévoyé par tout un tas de sangsues, de parasites, d’incompétents qui nous dépossèdent jusqu’à l’os de nos savoir-faire et de nos attributs. Dans la première agence où j’ai fait mes classes, l’architecte faisait tout, l’économie, le calcul des structures, les perspectives, le chantier et j’en passe. L’architecte était un roc, un pilier et c’est comme s’il avait été rongé par les pluies acides. Aujourd’hui, c’est une meute qui se partage les honoraires et le pire est que c’est devenu obligatoire, le conseil en développement durable ou en HQE par exemple haha, quand on pense que même l’homme de Neandertal savait se protéger des courants d’air sans bureau d’études. J’en ai marre, ça me rend fou.

E.H. (surprise que l’architecte semble enfin si sincère) – Mais, enfin, puisque c’est votre métier, vous en connaissez forcément les ficelles. Non ? Qu’est-ce qui alors vous a mis de cette humeur ?

L’architecte – Un promoteur. Il ne l’a pas fait exprès notez bien mais c’est comme s’il m’avait mis un gros coup de bambou derrière la tête. Vous allez voir ce type à son invitation, plein d’espoir pour un projet et vous repartez avec l’envie de vous pendre ou de tirer dans le tas.

E.H. – Et si vous me disiez ce qui s’est passé…

L’architecte – je ne sais pas si vous allez comprendre, c’est un peu compliqué.

E.H. (A part elle : il me prend vraiment pour une conne à nouveau) – Testez ma patience.

L’architecte (inspirant très fort pour contenir sa fureur) – Voilà, ce type, directeur d’une filiale d’un grand groupe immobilier, a entendu parler de notre travail et souhaite nous rencontrer. Pour ce genre de rendez-vous, c’est moi qui me déplace, pas Madeleine. On prend rendez-vous et je le retrouve dans son bureau à La Défense. L’entretien se passe super bien, je lui parle de nos ouvrages bâtis, de nos chantiers et il semble apprécier, en tout cas la conversation est intéressante. Jusqu’à ce qu’il me dise que, en l’occurrence, «je n’ai pas à me tracasser pour le chantier», je le cite, que pour le chantier ils ont leurs propres équipes. Il voit bien que je suis confus. «Mais enfin Monsieur Dubois, me demande-t-il, vous faites donc encore tous vos chantiers ? Y compris pour le logement ?» «Bah oui», je lui réponds, comme un âne. «Et les missions complémentaires ?» il me demande encore. «Tout, on fait tout, on est architecte ou on ne l’est pas», je lui réponds, fièrement. Il est parti d’un grand éclat de rire. «Alors là, Monsieur Dubois, bravo, sincèrement. Votre courage vous honore. Bonne chance». Il était presque chaleureux. J’ai su alors que c’était mort.

E.H. – Ne vient-il donc pas de vous complimenter ?

L’architecte (parlant lentement comme s’il s’adressait à une demeurée) – Ne comprenez-vous donc pas ? Il est en train de me dire que je peux aller me brosser avec ma volonté de construire. Je lui dis que je suis architecte et il ne veut pas me laisser construire ! Or AR CHI TEC TE, depuis 4 000 ans, est l’homme de l’art (et depuis 50 ans, également la femme de l’art) qui conçoit et CONSTRUIT ses bâtiments. C’est encore la définition du Larousse. Les pauvres académiciens qui n’ont rien compris au changement d’ère ! Avant l’architecte construisait, aujourd’hui il fait le beau avec des dessins de bâtiments qu’il ne sait pas construire et que les promoteurs déshabilleront à l’envi au moment du chantier. Je vois tellement de mes confrères qui sont contents d’empocher 3% d’honoraires pour 5 mois d’études et pour eux c’est fini. Même pas ou même plus envie de construire, ça me déglingue. Je me dis que ça va mal, que ça fait mal à la langue quand un architecte ne construit pas.

E.H. – Parce que l’alternative…

L’architecte – Parce que sinon, c’est parti pour des années de chantiers, de rencontres merveilleuses ou maudites avec des entreprises ou des maîtres d’ouvrage, de solutions inventées au fil de prototypes innovants, de pots et d’engueulades avec les équipes mais à chaque fois de revenir et découvrir le bâtiment qui s’élève. Ce sont aussi souvent il est vrai des années de galère où seule la détermination de l’architecte verra un bâtiment conforme à ses souhaits. Et tout ça pour des honoraires dispersés aux quatre vents des bureaux d’études et autres conseils bien intentionnés. Le paradoxe est que l’architecte se casse le derrière au nom de l’intérêt général et du confort d’usagers ou d’habitants qui ne connaîtront même pas son nom.

E.H. – Et cela vous chagrine que l’on ne connaisse pas votre nom ?

L’architecte – Ce n’est pas ce qui me chagrine. Je vais vous dire un truc. Si un réalisateur ou un metteur en scène, Tarantino par exemple, fait un film qui fait un carton, il récupère tous les bénéfices. S’il se plante, il perd ses billes. Si un architecte fait un super bâtiment, avec tout le travail que cela nécessite, il ne sera pas payé plus que celui qui fait une bouse. Et si 50 ans plus tard, c’est un chef-d’œuvre célébré dans le monde entier, l’architecte ne touchera pas un centime de plus, ou de moins si le bâtiment doit être démoli au bout de dix ans. Vous vous rendez compte ? L’architecte est payé pareil qu’il soit bon ou pas, à part bien sûr quelques grandes stars mondiales, mais pour le tout-venant des architectes, comme moi, c’est comme ça que ça se passe. C’est terrible, rien que d’y penser.

E.H. – Mais vous n’êtes pas le tout-venant puisque…

L’architecte (qui ne fait pas attention à elle) – D’ailleurs c’est sur un chantier que j’ai rencontré Géraldine. Elle est ingénieure mais elle et moi on parlait le même langage. C’est après que c’est devenu compliqué, surtout en ce moment avec Madeleine qui envisage le divorce et comme elle est aussi associée de l’agence je ne vous dis pas le bazar.

E.H. – «On parlait le même langage» avec Géraldine. ‘Parlait’, à l’imparfait ?

L’architecte – Je n’en sais rien, là encore je suis à bout, je suis incapable de me décider. Mais en réalité, c’est cette histoire avec le promoteur qui m’a troublé. C’est la mort de notre métier, de mon métier. Des architectes qui ne construisent pas sont-ils encore des architectes ? Je vais vous dire, quand les étudiants arrivent à l’agence pour faire leur HMO…

E.H. – HMO ?

L’architecte – Habilitation à la maîtrise d’œuvre en son nom propre, encore un titre débile à la française, essayez de le traduire en anglais pour voir, sachant qu’à part les architectes, personne en France ne sait ce que ça veut dire…

E.H. – et cela signifie donc ?

L’architecte – c’est une sorte d’examen de passage obligatoire en agence. Bref, quand les étudiants arrivent à l’agence pour faire leur HMO qui fera d’eux des architectes, ils ne savent même pas ce qu’est un casque de chantier ou des chaussures de sécurité ! Ils arrivent au bureau à 9H, sont repartis à 17h. Je me mets à la place des promoteurs : que voulez-vous qu’ils fassent quand ils découvrent que des architectes ne savent pas construire ? Vous imaginez la galère pour eux ? Evidemment qu’ils préfèrent bosser avec leurs propres équipes, sans doute plus obéissantes mais sans doute aussi plus compétentes souvent. Ha les nouveaux métiers de l’architecture ! Une vis ? Un boulon ? Il n’y…

E.H. (ne l’écoute plus et laisse pendant quelques secondes sa pensée vagabonder. Hum, la chaussure de sécurité, je n’y ai jamais pensé, se dit-elle. Elle se verrait bien avec un casque et des chaussures de sécurité, des plans à la main, un pantalon un peu sexy mais de travail, en train de gouverner le plombier polonais ou le maçon portugais. Elle imagine sa tenue assortie. Du coup elle n’entend plus l’architecte mais quand elle revient soudain à elle, il ne s’est rendu compte de rien et elle ne pense pas avoir manqué grand-chose.)

L’architecte (qui ne s’est pas arrêté) -… se fait avoir à tel point que même quand l’architecte ne passe que deux fois sur le chantier durant toute la durée des travaux, pour vérifier la conformité, c’est encore à lui qu’incombe la responsabilité de l’immeuble et qui doit à ce titre payer l’assurance à la MAF. Haha. Si ce n’est pas une autre façon de se faire sucer jusqu’au petit bâton !

E.H. – A la MAAF ?

L’architecte – Non la MAF, Mutuelle des Architectes Français. Une assurance spécialisée obligatoire pour les architectes. D’ailleurs quand je suis allé me renseigner auprès d’eux pour cette histoire de scooter, que je leur ai demandé l’assistance juridique, ils m’ont demandé si j’étais sur le chemin du travail. J’ai dit non bien sûr – je n’allais pas leur dire que je sortais de chez vous car sinon, dans l’heure, toute la profession était au courant – et ils m’ont envoyé bouler. Du coup, j’ai pris une avocate spécialisée, au cas où. Je dois la recontacter si j’entends parler de quelque chose à ce sujet. Mais quand je lui ai demandé des conseils par rapport à l’agence, en cas de divorce avec un associé par exemple – je ne suis pas rentré dans les détails vous vous en doutez bien – elle m’a répondu qu’elle était avocate spécialisée dans les accidents de la circulation et m’a recommandé d’aller voir un de ses confrères pour cette histoire de divorce à l’agence mais du coup je ne sais pas si je dois aller voir un avocat spécialisé dans les affaires commerciales ou un autre spécialisé dans les affaires de cœur…

E.H. – Si c’est un conseil que vous me demandez, je ne peux rien pour vous. Que vous conseilleriez-vous vous-même ?

L’architecte (dans un cri) – D’aller au diable. Si parce que j’essaye de bien faire mon métier, que j’aime construire, et construire bien, cela me pénalise, si les architectes ne seront plus bientôt que des designers, si l’os dont je parlais tout à l’heure finit lui-même en poussière, pourquoi cela devrait-il m’importer autant ? Ce n’est pas un crime d’aimer son métier mais là, pour le coup, j’ai des envies de me tirer, de disparaître et de les laisser tous se démerder avec leurs architectes en herbe et leurs avocats arrogants et leurs trottinettes et leurs toitures végétalisées !

E.H. (inquiète) – Cela fait-il longtemps que vous êtes sur les nerfs à ce point ? Je peux vous prescrire quelque chose vous savez ?

L’architecte (agité) – Non, ce n’est pas la peine, pas de médocs. Ne manquerait plus que ça. En vérité il y a quelques jours, alors que je rentrais chez moi, l’ascenseur était en panne, comme souvent. On ne peut donc pas faire un ascenseur qui marche dans ce pays quoi merde ? A La Défense, les ascenseurs marchent, dans le logement ils tombent en panne ! J’aimerais bien que quelqu’un m’explique ! Bref, j’arrive avec les courses – Madeleine m’envoie la liste des courses par texto – et je commence à monter les escaliers. Soudain mon téléphone sonne. Je pose mes sacs sur le palier, vois que c’est le promote de La Défense qui m’appelle. Je n’attendais plus rien de lui alors je suis surpris. J’ai le cœur qui bat car vraiment ce projet tomberait vraiment bien pour l’agence. Je décroche. «Monsieur Dubois. Je tenais à vous appeler personnellement. J’ai beaucoup apprécié notre entretien mais je voulais vous dire moi-même que si nous ne pouvons pas vous retenir sur ce projet-là, nous avons ce qu’il nous faut en interne et…» A ce moment-là, sans m’en rendre compte, je me retourne et renverse l’un de mes sacs et je vois mes courses qui tombent et s’éparpillent dans l’escalier en rebondissant, le beurre, les clémentines, les légumes façon puzzle. Du coup J’en oublie où je suis. Merde ! Merde ! Merde ! Je crie. Quand j’entends dans le téléphone : «Monsieur Dubois, pardonnez-moi mais vous n’avez pas besoin d’être grossier, et moi qui pensais vous proposer autre chose. Au revoir Monsieur». De rage je lui ai raccroché au nez puis j’ai crié un bon coup. Juste après, j’en aurais pleuré, à quatre pattes dans l’escalier à ramasser mes courses et les remettre dans le sac ! Et c’est à ce moment-là que la voisine aux bagouses est arrivée au-dessus de moi dans l’escalier. Elle a ricané – «il n’y a pas que les balcons d’architecte qui tombent bien bas à ce que je vois», me dit-elle. C’est alors que j’ai….

DRINNNN, DRINNNN.

L’architecte – Mais, mais, j’allais vous dire…

E.H. – tss tss tss. La séance est terminée. Vous connaissez la règle. Nous reprendrons cette conversation la prochaine fois. Vous êtes sûr de ne pas vouloir quelques comprimés, pour vous calmer ?

L’architecte – Non, non, merci.

E.H. – Et bien en ce cas, au revoir.

La thérapeute venait à peine de taper ‘chaussures de sécurité femme élégance’ dans le moteur de recherche de son ordinateur qu’elle entendait ronfler le moteur du scooter de l’architecte. «Voyons», se dit-elle en se penchant sur l’écran.

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

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Par La rédaction Rubrique(s) : Psychanalyse de l'architecte - Saison 1

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