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Accueil > Chroniques > Archigraphie 2018 : C’est grave docteur ?

Archigraphie 2018 : C’est grave docteur ?

27 novembre 2018

D’après l’étude Archigraphie 2018 menée par le Conseil National de l’Ordre des Architectes (CNOA) d’avril à mai 2018, la profession s’inquiète de la place de l’architecte au sein de la maîtrise d’œuvre. Complexification des processus de construction, nouvelles techniques de production, poids des réglementations… Que signifient ces transformations ? Dit autrement : quel avenir pour l’architecte ?

Qu’en était-il il y a 20 ans et qu’en sera-t-il dans 20 ans ? Pour répondre à ces questions, entretien avec les architectes de trois agences très différentes : Patrick Rubin, fondateur en 1982 de l’atelier d’architecture CANAL ; Olivier Arene, associé fondateur en 2000 d’Ateliers 2/3/4/ (qui réunissait trois ateliers nés au début des années 80) accompagné de Laure Mériaud, architecte associée qui représente la jeune génération de l’agence ; Nicola Delon, architecte fondateur avec Julien Choppin en 2001 du collectif Encore Heureux.

Une époque bénie

S’il fut une époque prodigieuse, que les moins de cinquante ne peuvent pas connaître, les architectes dressent aujourd’hui un portrait austère de leur profession. Le marché a muté, la commande publique s’est effondrée. Selon l’étude Archigraphie, le montant des travaux réalisés par des architectes pour la commande publique a diminué de 17% entre 2014 et 2016 alors que celui des travaux pour la commande privée a augmenté de 7%.

Il y a 20 ans, les jeunes diplômés pouvaient accéder plus facilement à la commande. «Dans les années 1980, en France, la commande d’architecture était majoritairement fondée sur les appels à concours publics», souligne Patrick Rubin. Aujourd’hui, il faut s’adapter à une nouvelle clientèle.

«L’architecture est une discipline magnifique et j’ai pu exercer à une époque bénie de la France, durant laquelle la commande publique était extrêmement porteuse», se souvient, nostalgique, Olivier Arene, avant de prendre un ton plus acéré : «Je considère qu’aujourd’hui, c’est un métier misérable. L’Etat s’est désengagé de la commande. L’architecte est dépossédé de toutes ses missions historiques et, de plus en plus, de la conception même», dit-il.

«Il faut savoir quels étaient les héros historiques», poursuit Patrick Rubin. «Aalto, Kahn, Wright, Scarpa, des architectes érudits, savants, magnifiques, presque religieux. Leurs architectures exprimaient la lumière, la matière, la structure, l’homme de l’art pensait et dessinait les détails. Je fais attention à ne pas parler comme un vétéran mais je crois qu’il y a une perte de la nature du métier. Bien évidemment, il y a mutation du métier, soit la perte d’une certaine forme d’engagement en réponse aux urgences d’une société qui se précipite et se fragilise. Ce côté religieux de l’architecture a, pour partie, échappé aux dernières générations, comme se sont éteintes les dernières idéologies du XXe siècle», dit-il.

«Le temps où des maîtres d’ouvrage, éclairés ou opportunistes, achetaient une marque en affichant des stars architectes, est dépassé. Une génération succède déjà à la précédente. Les architectes ne sont plus des seigneurs isolés, ils travaillent en agrégeant des partenaires de formations plurielles. Une agence d’architecture constituée que par des architectes, est aujourd’hui suspecte. L’accès à la commande est majoritairement détenu par le privé, les préoccupations de jeunes architectes sont ailleurs, un nouveau modèle émerge dans une agora contradictoire à la fois libérale, compétitive, mais aussi préoccupée de l’avenir de la planète», poursuit Patrick Rubin.

«Un des écueils de la modernité était de penser qu’on pouvait trouver la formule parfaite. Encore plus qu’à d’autres époques, la situation contemporaine dans laquelle nous sommes est complexe, due à un empilement d’interactions entre les différents champs», concours Nicola Delon.

Pour tuer le juste prix, on dit qu’il a la rage

«Qui plus est, l’architecte est éjecté par les Majors du BTP, qui sont dans une logique d’économie excessive. Derrière des ambitions pseudo-culturelle, ils n’ont que des projets financiers et décrochent des affaires à des prix déraisonnables. Ils ont tué la notion de juste prix», s’énerve Olivier Arene

«Face à cela, l’architecte ne peut se montrer docile et nous devons être solidaires les uns par rapport aux autres. Nous ne pouvons faire du dumping et s’abaisser à 4% d’honoraires. C’est impensable» acquiesce Laure Mériaud. «D’ailleurs je suis contre les honoraires au pourcentage des travaux, qui n’affectent que les architectes et certainement pas la promotion. Nous devons mener un combat pour faire reconnaître la valeur de notre travail. L’avenir des architectes passe par la reconnaissance de ce métier, notamment auprès des privés et des particuliers», dit-elle.

«L’architecte devient un designer de façade, à qui l’on impose des plans types. Tout le monde prétend faire de l’architecture sans architecte. Ce qui sauve encore notre profession, c’est le monopole du permis de construire», souligne Olivier Arene. «Le côté positif est qu’une partie de la promotion privée commence à comprendre l’intérêt de l’architecte et à en faire une valeur marchande», précise-t-il.

Partenaires vs associés

Historiquement, les architectes possédaient au sein de leurs agences l’ensemble des compétences techniques et économiques. 52% des professionnels interrogés pour l’étude d’Archigraphie citent la diversification des métiers de l’architecte comme un défi.

«Les missions se sont complexifiées ces 15 dernières années. Il faut être capable de répondre à de plus en plus de demandes et se faufiler au travers d’un tissu d’acteurs toujours plus nombreux et spécialisés. Dans cet ensemble, il est urgent de retrouver notre rôle de chef d’orchestre, une expression peut être galvaudée, mais tout de même…», souligne Laure Mériaud.

«Selon moi, l’architecte a quelque chose à jouer dans la complexité du métier, de par ses compétences. Alors que croît la spécialisation des compétences, chez Encore Heureux, nous aimons la notion d’un architecte plutôt généraliste. L’architecte doit retrouver ses missions de coordination et, dans le même temps, doit d’autant plus savoir s’entourer et s’ouvrir au partenariat», indique Nicola Delon

Une idée de collaboration que confirme Patrick Rubin : «Je crois que le temps des têtes d’affiche comme Nouvel, Wilmotte, Portzamparc où le maître d’ouvrage achète une marque, s’épuise. Ceux qui ont la commande aujourd’hui ne seront pas ceux qui auront la commande demain. Une génération va partir», indique-t-il.

De fait, dans son étude, Archigraphie met en avant de nouveaux modes de collaboration, ils sont notamment 69% des architectes interrogés à penser à des regroupements avec d’autres professionnels de la maîtrise d’œuvre. Mais, dans l’idéal, ils sont même 71 % à considérer que la solution la plus à même de relever les défis auxquels ils sont confrontés se trouve dans l’intégration d’autres professions dans l’agence et dans la mise en place de partenariats avec des métiers étrangers à la maîtrise d’œuvre permettant de répondre notamment à des programmations atypiques, à l’image de Réinventer Paris.

Selon Patrick Rubin, «un des acquis de Réinventer Paris, malgré ses difficultés et ses décalages, est d’avoir fait se rencontrer des cultures différentes : promoteurs, notaires, avocats, banquiers, architectes, artistes, jardiniers … Tous ont lâché prise sur leurs modèles uniques».

Si Ateliers 2/3/4 était pionnière, aujourd’hui, pour des projets complexes ou de grosses commandes, les agences d’architecture n’hésitent plus à se regrouper. Citons par exemple le projet de rénovation de la tour Montparnasse, pour lequel les agences Chartier-Dalix, Franklin Azzi et Hardel – Le Bihan ont remporté le concours ensemble.

Et demain, l’architecte mobile ?

Parmi les évolutions possibles des agences, celle d’un architecte plus mobile est régulièrement évoquée. «Aujourd’hui, les certitudes vacillent, une entreprise d’architecture doit additionner plusieurs compétences, de différentes formations, elle doit être en mesure de se déplacer géographiquement sur son terrain d’action, sur différents territoires, de récolter des sources au lointain du monde. Demain, émergeront des ateliers mobiles. Ces nouveaux groupements initieront des programmes partagés, testeront des solutions grandeurs nature, participeront à la fabrication des composants avec les entreprises. J’imagine un projet, en Lorraine par exemple, où le responsable de projet se déplacerait six semaines avec une équipe pluridisciplinaire en médiation avec les représentants de la commande», entrevoit Patrick Rubin.

Une hypothèse que valide Nicola Delon. «A l’inverse d’une architecture générique, il faut rapprocher l’architecte de son champ d’action. L’architecte doit se re-territorialiser. Il doit retrouver des liens entre son projet et l’application qu’il en fait sur le terrain. C’est parce qu’il est en lien avec le territoire que l’architecte peut avoir une approche juste. Le projet du Lido à Venise que nous réalisons actuellement dans le cadre de la biennale, n’est possible que parce qu’il y a une équipe sur place, une permanence architecturale», dit-il.

Révolution numérique

Les collaborations qui peuvent prendre plusieurs formes, comme l’utilisation de plateformes d’échange, le coworking, les réseaux sociaux ou encore le BIM, souligne Elizabeth Gossart, conseillère nationale de l’Ordre des architectes et auteur de l’introduction d’Archigraphie 2018. De fait, 63% des sondés citent l’impact du numérique comme défi à relever pour les années à venir.

Un autre sujet d’évolution concerne la fabrication des projets. «Depuis le Crystal palace, on convoque l’industrialisation pour optimiser les constructions, comme dans le secteur automobile, sujet à perpétuel débat face au cruel échec des expériences de Jean Prouvé dans les années 1960. Depuis un demi-siècle, sinon dans le domaine thermique et celui de la sécurité des travailleurs, peu d’avancées ont été capitalisées, au regard des puissantes technologies développées par les ingénieurs du TGV et d’AIRBUS. Cependant, à l’égal des ateliers d’architectures mobiles, se développe un courant de construction «hors sol» , souvent hybride, c’est-à-dire une pensée de conception et d’assemblages «hors site». Soit des équipements acheminés par mobilité vers les lieux de destination, ce qui devrait favoriser des initiatives audacieuses et un rapprochement entre créateurs et industriels. On retrouve Archigram», raconte Patrick Rubin.

Ce qui laisse libre cours à l’imagination. «Scarpa serait certainement sceptique, mais l’avenir, avec la maquette numérique, nous invite, sur écran, à intégrer une icône répertoriée, par exemple au projet de logement (bloc sanitaires), image validée par transfert au client. Après quoi le clic, puis le robot d’Amazon qui saisit le modèle sélectionné, le dépose sur le transpalette pour être livré sur site, par drone évidemment, puis assemblé 24 heures plus tard sur le chantier. Le bloc sanitaire est économiquement fabriqué en Chine, accordé à une dispendieuse licence de la firme Japonaise Toto. A peine sélectionnée (et non dessinée) l’icône grandeur nature est déjà livrée», s’amuse le fondateur de l’Atelier Canal.

Une idée pourtant pas si excentrique sachant que les composants d’un TGV ou d’un avion se mettent en place peu ou prou de cette façon.

Amélie Luquain

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Par Amélie Luquain Rubrique(s) : Chroniques Mots-clés : 2/3/4/, BIM, CANAL Architecture, Encore Heureux, Nouvelles technologies

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