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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l’architecte – Saison 3 > L’architecte part en flèche : le patrimoine et Notre-Dame, c’est pour les morts

L’architecte part en flèche : le patrimoine et Notre-Dame, c’est pour les morts

1 septembre 2020

Ethel Hazel, psychanalyste rue Labrouste à Paris, a accepté de revoir l’architecte Dubois, qui souhaite poursuivre sa thérapie. Elle se perd en conjectures à son sujet : coupable des six assassinats comptés par Dr. Nut ? Innocent ? Elle ne saurait le dire et ce n’est pas sans appréhension qu’elle l’attend, d’autant qu’elle sent en elle une inquiétude sourde.

***

«Nous étouffons parmi les gens qui pensent avoir absolument raison». Albert Camus

***

Ethel Hazel est préoccupée, cela fait plusieurs semaines qu’elle est sans nouvelle aucune de Dr. Nut, ce qui est tout à fait inhabituel. Même pendant le confinement, puisque son métier lui permettait d’aller et venir à sa guise, il avait passé chez elle au moins une nuit par semaine, parfois plus quand son boulot le lui permettait. Et le seul geste barrière qu’ils utilisaient alors était le préservatif qu’il ne manquait pas de porter avant de la transporter brutalement au 7ème ciel.

Pourtant, Ethel Hazel fantasmait parfois à propos d’un « accident », se demandant ce que cela lui ferait d’avoir un enfant avec l’inspecteur. Mais cette idée remuait en elle des choses profondes qu’elle préférait ne pas investiguer trop loin et trop longtemps. En tout cas, depuis des semaines, rien, absolument rien de Nut. Elle avait osé une fois appeler son bureau mais il lui fut sèchement répondu que « l’inspecteur Nutello était absent ». « Oui on pouvait lui laisser un message ». Elle avait raccroché.

C’est alors que l’architecte avait repris contact avec elle, souhaitant, dit-il, poursuivre sa thérapie. Il n’avait a priori, se dit-elle, aucune raison de savoir à quel point elle était impliquée dans le fiasco de l’arrestation manquée de Madeleine. Aussi, un peu par curiosité – et un peu par vanité, dû-t-elle en convenir – accepta-t-elle de reprendre leurs séances.

Ding dong

L’architecte – il est à l’heure – entre d’un pas alerte. Il arrive masqué, avec un masque noir. Elle est masquée aussi, un masque chirurgical, professionnel. Ethel ne se souvient pas de l’avoir jamais vu en si bonne forme. Qu’il est loin l’homme trop gras qu’elle avait rencontré la première fois, il y a deux ans. A voir la joie qui anime l’architecte à son entrée dans le cabinet, elle se dit que l’analyse lui fait peut-être du bien, peut-être que sa thérapie fonctionne finalement. Ou alors c’est depuis son divorce… De fait, elle aussi se sentait beaucoup mieux en forme depuis qu’elle fréquentait l’inspecteur…

Ethel Hazel – Vous semblez en pleine forme. Le confinement s’est bien passé apparemment…

L’architecte – Tout à fait. Nous avons rendu les deux concours pour lesquels nous étions retenus, nous avons candidaté sur plusieurs projets, Jean-David…

E.H. – Jean-David ?

L’architecte – Le jeune archi qui a rejoint l’agence pour suivre ses chantiers, je vous en ai parlé je crois, bref Jean-David a bien géré le confinement avec les entreprises et les maîtres d’ouvrage, pas le choix de toute façon, et avec Hilda, la stagiaire que je crois avoir mentionnée ici, nous avons réussi à mettre à jour toute la galère administrative. Surtout, pour une fois que nous avions le temps, ce fut l’occasion d’aménager l’agence et mon appartement. C’est vraiment super maintenant, vous devriez venir visiter un jour.

E.H. – Qui sait… Et vous avez pu prendre quelques vacances ?

L’architecte – En effet, pourquoi, cela se voit ? De fait, nous avons fermé la boutique pour deux semaines cet été. Et je me suis retrouvé tout seul. Du coup, j’en ai profité pour faire une escapade et aller pêcher. Oh, pas très loin, je suis resté en France mais j’ai pu pour une fois bien profiter de ma bergerie à la campagne.

E.H. – Tout seul ?

L’architecte – Non, pas cette fois. Une amie m’a accompagné.

E.H. (sur le qui-vive) – Vous avez une amie ?

L’architecte (en riant) – Allez savoir. Le Chasseur français est un magazine plein de ressources et ses petites annonces pleines de surprises mais qui sait si cette relation sera durable…  Mais parlons d’autre chose. Je peux enlever mon masque ?

E.H. (hésitant une seconde) – Oui, si vous le souhaitez.

L’architecte – Vous pouvez enlever le vôtre. Je ne crains rien.

E.H. (après un autre moment d’hésitation – elle a refusé les séances en vidéoconférence) – Très bien. Des nouvelles de vos enfants ?

L’architecte – Oui, Ulysse a préféré rester au Brésil pendant le confinement en France – je le lui ai conseillé d’ailleurs car Dieu sait quand il aurait pu repartir. Il a fini son année Erasmus mais a trouvé facilement du travail dans une agence de design franco-brésilienne – je crois qu’il préfère le design à l’architecture – mais il s’est cependant inscrit en troisième année à l’école d’architecture et d’urbanisme de l’université de Sao Paulo. Apparemment, il a vite appris la langue et semble très bien se débrouiller. Peut-être a-t-il même une petite amie. En tout cas, au vu des évènements récents entre ses parents, il est mieux là-bas qu’ici. Quant à Lili, elle est censée rentrer à l’université mais n’a pas l’air de se préoccuper beaucoup de son avenir. Comme elle est proche de sa mère, j’évite de me mettre sur son chemin même si je n’en pense pas moins.

E.H. – Plus les enfants sont loin, plus vous les aimez en quelque sorte…

L’architecte – Oui, de cette façon, on s’inquiète moins. S’ils étaient avec moi, je ne pourrais pas dormir avant qu’ils soient rentrés mais si Ulysse rentre bourré à Sao Paulo en conduisant dangereusement, je n’en sais rien et n’ai plus aucune inquiétude pour lui.

E.H. – Il boit et conduit dangereusement Ulysse ?

L’architecte – Non, il ne boit pas et n’a même pas son permis, c’était une façon de parler. D’ailleurs, le seul accident qu’il n’ait jamais eu je crois c’était un dimanche, sur le parvis de Notre-Dame… (Rien que d’y penser, l’architecte se soulève d’un coup. Agité). A propos de Notre-Dame, avez-vous suivi l’affaire de la flèche ? Je sais que ce n’est pas votre rayon mais tout le monde en a parlé et tout le monde a un avis.

E.H. (déçue que l’architecte ait soudain changé de sujet) – Oui, j’ai suivi l’affaire dans les journaux. (Sarcastique) Alors Monsieur l’architecte, la flèche, symbole phallique ou pas ?

L’architecte – C’est à vous de me le dire, non ? C’est en tout cas celui de Viollet-le-Duc, l’auteur de cette flèche sortie de nulle part, un homme qui n’hésitait à mettre sa bobine bien en évidence parmi les sculptures, en se prenant pour un apôtre en plus ! Quelle morgue ! Surtout pour un architecte ! Une érection géante, c’est bien ce dont avait besoin l’église et Notre-Dame. En tout cas, ce Viollet-le-Duc était un type peu recommandable, et je m’y connais en types peu recommandables, et il faudrait lui élever un monument, pour la deuxième fois ?

E.H. – Vous n’auriez donc pas reconstruit la flèche à l’identique comme l’a décidé le président de la République ?

L’architecte – Je n’en sais rien mais ce qui m’énerve est cette espèce de consensus mou qui étouffe le moindre débat. Le même jour dans Le Monde, deux tribunes. Une de Jean Nouvel, l’architecte dont nous avons déjà parlé, qui déclare – je le cite de mémoire : « Notre-Dame va retrouver sa flèche et cette décision devrait permettre d’inventer l’avenir que Notre-Dame attend depuis un siècle et demi ». Mais qu’est-ce qu’il dit ? Sans Jean Nouvel, pas d’avenir pour Notre-Dame ? C’est n’importe quoi. Et le même jour, dans le même journal, un autre texte d’un nommé Jean-Paul Philippon, Architecte du patrimoine – parce que oui, en France, on a des architectes du patrimoine, architecte tout court ce serait trop demander – qui déclare tranquillou, je le cite : « Il est heureux qu’on se soit rangé à l’avis des experts ». Des experts comme lui par exemple ? Si cela ne s’appelle pas faire des appels du pied au président en lui léchant les orteils, je ne sais pas ce qu’est la servilité. Quelle mascarade !

E.H. – L’autorité vous énerve ? Et la religion ? (pensant à elle-même et à sa propre enfance) Auriez-vous donc souffert de l’une et/ou de l’autre ?

L’architecte (étonné) – Pas que je sache. Non c’est cette passion du patrimoine élevée au rang de culte qui m’énerve. La preuve par Stéphane Bern, dont je suis sûr que vous avez entendu parler. Son rôle est connu depuis les Mérovingiens, c’est celui de l’idiot utile, le fou du roi. Sauf que Bern est obséquieux, ce qui va à l’encontre même du rôle qu’il est censé jouer. Où est l’ironie, le mordant d’un fou du roi ? Si Bern est utile, c’est seulement parce que l’amour du patrimoine qu’il professe n’est que poudre aux yeux, le repli fœtal, comme vous diriez sans doute, des Français vers un passé supposé prestigieux face au présent et au futur qui les terrorisent. La passion du patrimoine n’est pas réactionnaire, elle est lâche, peureuse, moussue et sent la vieille fille ou le bourgeois frustré. Souvenez-vous de François Fillon et ses désirs de châtelain ou de Giscard qui s’achète une particule ! Parce que c’est quoi le patrimoine ? Ce sont les ruines des Romains, les villages fortifiés, les faux châteaux cathares, Vauban et les vieilles églises, que dis-je, les cathédrales. C’est-à-dire la guerre et l’imbécilité, qui est un autre nom de la religion. Pourquoi pas, pour changer, un mignon de la reine qui soit féru d’architecture contemporaine et qui nous ferait le loto du patrimoine contemporain, pas du XXe siècle, contemporain ? Le patrimoine c’est le royaume des morts. Pourquoi ne pas célébrer les vivants ? Je vous garantis que la France laïque aurait plus fière allure. En France, même les grottes des hommes préhistoriques sont reconstruites à l’identique, comme la grotte Chauvet, et les Français se contentent aujourd’hui de succédanés. Alors évidemment, il devient quasi impossible de construire un ouvrage de son temps qui anticipe le futur. Viollet-le-Duc y est parvenu, mal d’ailleurs puisque sa flèche s’est cassée la gueule, mais non, il faut la refaire, et à l’identique en plus ! Sans parler de la charpente en bois !

E.H. (offusquée) – Mais son patrimoine est la richesse de la France !

L’architecte – De quelle richesse parlez-vous ? Celle qui impressionne le tourisme de masse qui de toute façon n’y connaît rien ? Savent-ils, chacun de ces touristes à selfies, qu’ils sont à peine des êtres humains, comptabilisés qu’ils sont en nuitées et en panier de dépense par jour – mieux un Chinois qu’un plouc de la Creuse car le premier dépense plus et le second n’a pas besoin de sortir de chez lui pour admirer des vieilles pierres. C’est cela la richesse dont vous parlez ? Parce qu’il n’y a pas d’autres richesses à créer, à inventer ?

E.H. – Vous prêchez pour votre paroisse avec mauvaise foi.

L’architecte – Non, je n’ai rien contre le patrimoine et j’y suis très attentif dès que le patrimoine est concerné dans l’un de mes projets mais son instrumentalisation pour nous faire bouffer toujours plus de la même poussière conservatrice m’horripile.

E.H. (pincée) – J’avais noté. Mais votre agitation ne fait peut-être que traduire une frustration plus profonde ?

L’architecte (surpris, radoucit son ton et, à nouveau charmeur) – Ce n’est pas de la frustration. Du moins ce ne l’est plus depuis que je suis reparti avec une petite agence car il est vrai qu’en tant qu’architecte, on veut toujours plus, de plus en plus vite. Plus de concours, plus de projets, plus de réalisations, la première médiathèque, le premier musée, le premier bâtiment à l’étranger. C’est pareil pour tous les corps de métier j’imagine. L’ambition, c’est exaltant ! C’est ce que j’appelle le syndrome du meurtrier en série, il ne peut pas…

DRINNNN, DRINNNN

E.H. (qui n’a pu réprimer un frisson – dépitée) – C’est déjà la fin du temps imparti à la séance….

Mais l’architecte est déjà debout et paye rapidement docteur Hazel, un peu décontenancée – « j’ai un rendez-vous important », dit-il. La psychanalyste a à peine le temps de lui dire au revoir qu’il est déjà parti. Elle l’entend dévaler les escaliers puis faire ronfler le moteur de son scooter.

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

L’architecte – Hello Inspecteur Nutello. Ou dois-je vous appeler Dr. Nut ? Comment allez-vous ?

L’inspecteur, qui était allongé dans le canapé en train de lire un livre sur les Kamikazes japonais durant la seconde guerre mondiale puisé dans la bibliothèque – d’ailleurs plutôt généreuse et intrigante – sursauta violemment, reconnaissant immédiatement la voix de l’architecte, qui semblait venir de plusieurs endroits de l’appartement. « Fils de pute », jura-t-il.

L’architecte – Tss tss tss. Pas de grossièretés voulez-vous ? Je ne le supporte pas et j’aurai tout aussi vite conclu cette conversation si vous ne maîtrisez pas vos nerfs.

L’inspecteur réprima un nouveau juron.

L’architecte – Vous êtes bien installé ? Vous ne manquez de rien ? Normalement les vêtements sont à votre taille mais bon, vous pourriez vous promener tout nu que vous n’embêteriez personne n’est-ce pas ? Hahaha.

Depuis le temps qu’il était coincé là, sans lumière du jour, l’inspecteur avait bien découvert une caméra dans le salon mais il comprit alors que l’architecte pouvait maîtriser à distance les appareils audio de l’appartement. Pourtant il n’a aucune connexion Internet, pas de téléphone évidemment, et pas de télé. Pas de journaux non plus. Est-ce Dubois qui apporte tous les trois jours nourriture et boissons, y compris sa bière favorite – à chaque fois durant son sommeil- ou a-t-il un complice ? En tous les cas, qui que ce soit semble toujours savoir exactement ce dont il a besoin – l’inspecteur en vint à se méfier de son frigidaire – les poubelles étant évacuées par un système pneumatique. De fait, sinon de sa liberté, l’inspecteur ne manque de rien, il y a même un vélo d’appartement et des haltères qui lui permettent de se maintenir en forme. Il a bien pensé mettre le feu au bastringue mais il craignait de tuer des gens dans l’immeuble, voire de mourir asphyxié, tout seul dans son trou à rat. Pour le coup, il tient l’appartement propre, ayant décidé de ne pas vivre dans une porcherie.

Dr. Nut (éructant et ayant bien du mal à se contenir) – Combien de temps vous pensez me garder comme ça ? (Il avait à peine prononcé ces mots qu’il les regrettait déjà). Vous ne vous en tirerez pas comme ça ? (Mais tais-toi donc, se dit-il).

L’architecte – Je vous imaginais plus débonnaire, moins soupe au lait. Qui sait ce que l’avenir vous réserve ? En tout cas, merci, vous entretenez admirablement l’appartement, une vraie Conchita ! Tiens, au fait, j’ai revu aujourd’hui notre amie Ethel…

« NOTRE amie ? », pensa l’inspecteur avec colère. Puis il se força à se calmer sachant qu’il n’avait aucun moyen de savoir si l’architecte disait vrai ou non. L’avait-il vraiment revue ? Et quand ? Aujourd’hui, hier, avant-hier ? Lui-même, dans sa prison, finissait par perdre la notion du temps.

L’architecte – C’était plaisant de la retrouver, utile sûrement. Elle est resplendissante et semblait ravie de me revoir. Mais nous n’avons pas parlé de vous et je suis sûr que ce que nous nous sommes dit ne vous intéresse guère.

Dr. Nut (il ne peut se contenir) – Si vous touchez un cheveu de sa tête, je vous massacre…

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Psychanalyse de l’architecte – Saison 3

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