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Accueil > Chroniques > Chroniqueurs > Chroniques d'Alain Sarfati > La terrasse, objet du désir

La terrasse, objet du désir

19 janvier 2021

Terrasse

Que c’est triste une ville sans terrasses, une ville sans personne à la terrasse ! Les terrasses ne nous ont jamais autant manqué, à croire qu’une ville sans terrasse n’est pas une ville, une ville avec ses lenteurs et ses accélérations, une ville à vivre et à contempler, une ville où la solitude est possible et la socialisation facile.

Pour assurer la continuité urbaine et culturelle, tous les projets d’urbanisme devraient en tenir compte. Il y a à la fois de la terre, du ciel et de l’air dans la terrasse. Pas étonnant que l’architecture contemporaine ait tenté d’en faire le prolongement naturel du logement, son ouverture sur l’extérieur.

La terrasse est le prolongement du café, du restaurant, elle se déploie sur l’espace public, elle transforme la vitesse en lenteur, elle est le lien entre l’immeuble et la ville, elle ouvre la ville sur le paysage.

La terrasse fait rêver, surtout aujourd’hui ! A sa seule évocation, on pense à toutes les places de Paris, au cours Mirabeau à Aix-en-Provence, à celle de Nancy, partout dans le monde depuis la piazza Navona à Rome à la place Djemaa el Fna à Marrakech d’où l’on domine la foule. Les terrasses sont des balises, des amers, parfois suspendus dans le ciel. Elles sont partout dans ce qu’il est convenu d’appeler la ville, elle est consubstantielle du château, comme à Versailles, à Saint-Germain-en-Laye, aux Tuileries. De façon plus exotique, on peut penser aux terrasses du Machu Pichu ou aux rizières en terrasses, au Vietnam. Les terrasses font rêver d’urbanité, de ruralité, parfois de paysages lointains.

La terrasse est partout. La terrasse urbaine a été un peu oubliée dans les projets d’aménagement contemporains, pourtant c’est elle qui est le lien, qui permet les pratiques quotidiennes, c’est un support d’urbanité essentiel. L’urbanisme moderne n’a pas fait de la flânerie une fonction !

Reste l’autre terrasse, celle qui est devenue la cinquième façade. Sa destination évolue et fait perdurer l’espoir d’y retrouver une activité collective.

Comment oublier le film d’Ettore Scola Une journée particulière où Sophia Loren ramasse le linge qui a séché sur la terrasse*. On sent l’odeur de lessive, la chaleur sur le bac à linge en fer étamé. Etendage et jeux entre les draps disent le sens de la terrasse avec son sol magnifique, l’envie d’y danser, une envie d’intimité, de sociabilité et un brin de nostalgie pour ces beautés perdues.  

La terrasse est là, en l’air comme une deuxième terre, on imagine le rôle qu’elle peut jouer sous ce climat méditerranéen. Cet accès à la terrasse individuelle est l’espoir de trouver un peu de fraîcheur pour la famille, l’espoir d’en faire un lieu convivial.

Objet de désir, prolongement individuel du logement, la terrasse est devenue aujourd’hui un lieu de différenciation, un privilège. Un appartement se vend mieux avec une terrasse et c’est compréhensible ! Alors comment construire des logements sans oublier la dimension qualitative apportée par une terrasse, par un large balcon ? 

Objet collectif de désir individuel, la terrasse ne se conçoit que sur un bâtiment ou au sol. C’est son paradoxe. S’il y a une norme à proposer, dans la perspective de l’amélioration du logement, ce serait que chaque logement bénéficie de 20% de sa surface en prolongement extérieur. Il aura fallu la crise sanitaire pour prendre conscience de l’importance du prolongement du logement collectif sur l’extérieur. Nous avons besoin de l’intérieur et de l’extérieur. La taille moyenne du logement est de 60m² et son prolongement extérieur devrait être de l’ordre de 12m², il permettrait le balcon/terrasse. Agrandir la taille du logement semble être le souhait de beaucoup d’acteurs de la construction.

La toiture a cédé la place à la terrasse, devenue « un élément » constitutif de l’architecture et largement mise en valeur par le mouvement moderne. La terrasse n’a pas toujours été à la hauteur des espoirs qu’elle a suscités. Aujourd’hui, le rêve se verdit en jardins partagés dont les limites sont tracées par les gaines de la VMC et autres édicules, antennes et trappes indispensables à la vie du bâtiment. La terrasse, transposée dans les immeubles collectifs, n’est plus ce qu’elle était. Il faut la réinventer, il faut sortir de la notion de « toiture terrasse » qui véhicule toutes les ambiguïtés. Nous y sommes aujourd’hui invités par l’évolution climatique qui modifie complètement le régime des orages.

Je rêve de terrasses à tous les étages, de « terrasses suspendues » qui permettent l’appropriation du logement. Des terrasses à tous les étages et une toiture sur au top. Il existe une modernité de la toiture, en ardoise, en bardeaux de bois, en tuiles, en zinc, en tôles, en panneaux photovoltaïques, avec des débords au nord et à l’ouest… c’est une manière de promouvoir une véritable architecture bioclimatique, régionale, attachée aux contextes. L’architecture tire sa modernité de sa capacité à inventer localement, sans mimétisme.

Aujourd’hui, il suffit de se laisser guider raisonnablement par le climat, l’économie circulaire, les matériaux biosourcés mais aussi par de bonnes intentions, celles de proposer une architecture paysage à parcourir du regard !  

Dans cette promenade de ville, de nature et d’architecture, je propose de revenir sur le sol de la ville, celui de la continuité qui permet l’implantation des terrasses d’où l’on peut explorer le ciel riche de toutes les interventions architecturales, de toutes les appropriations.

Dans ces rues, le flâneur cherche toujours à découvrir une aspérité, une bizarrerie, qu’il n’avait pas vue la veille. Mies Van Der Rohe disait : « Dieu est dans les détails », formule que je préfère à celle plus courante qui insinue que le diable s’y loge.

Redonner à la terrasse son sens étymologique est s’intéresser au bien commun, au partage. S’il est difficile d’en profiter au sommet d’un immeuble, la terrasse prend une autre dimension lorsqu’elle atterrit.

Dans les années 90, le projet « Laser » devait libérer Paris du transit automobile. Se posait alors la question de la réutilisation de l’espace libéré par l’automobile. Après le plan vigie pirate, qui a réduit le stationnement urbain devant les équipements publics, la pandémie actuelle a mis presque tout le monde d’accord sur un point : l’agrandissement du domaine des cafés. L’extension est plébiscitée.

Dans de nombreuses rues de la capitale, la chaussée est devenue terrasse et laisse tout juste le passage aux véhicules. Il faut croire que les terrasses étaient un besoin non exprimé. Lorsqu’ils étaient encore ouverts, après le confinement, les bistrots se sont empressés de prendre la place laissée vacante de peur que quelques édiles aient la mauvaise idée de transformer la voirie en piste cyclable ou en chemin forestier. Les terrasses sont venues au secours de l’urbanité. Rarement avons-nous assisté à un tel débordement d’initiatives pour prendre possession de la rue : praticables, estrades, pergolas, barrières de toutes natures, récupération de palettes ou parasols en tout genre sortis d’on ne sait où. Un vernaculaire dans tous ses états, parfois élégant, d’autres fois sans attrait. La terrasse bientôt définitive !

C’est la pandémie qui a apporté la réponse définitive à la question. La terrasse, qui était née avec le café, affirme définitivement sa place dans la ville, devient lieu de lenteur. Lorsque l’on dit « bistrot », on pense tout de suite à Paris, à la vie parisienne, à l’ambiance populaire qui régnait dans certains coins de la capitale. Etymologiquement (vierge de toute racine), le mot Bistro ou bistrot a des hypothèses plus ou moins farfelues. Mie-café, mie-restaurant, mie-bar, le mot désigne un petit café où l’on peut boire un verre, grignoter, ou manger des petits plats traditionnels français dans un cadre très simple. D’autres se réfèrent à l’époque de l’occupation de Paris par l’armée russe du tsar Alexandre I (1814) dont les membres avaient l’habitude de crier « bistro, bistro » (« vite, vite » en russe) pour demander qu’on leur serve rapidement à boire.

Aujourd’hui, la terrasse renvoie à la lenteur, à l’inverse de la vitesse !

A la question : Qu’est-ce qui vous a le plus manqué pendant ces longues semaines de confinement ? La réponse est unanime : la terrasse. Terrasse privative ? Non, celle qui vous ramène dans le monde du vivant, celui où l’on voit passer les gens, où l’on parle avec ses voisins.

Pas étonnant que les bistrots parisiens s’en soient emparés dès le déconfinement. Toutes sortes de constructions spontanées, rapides, diverses, ont vu le jour comme une compensation au plaisir confisqué. La richesse de la vie, la diversité de la ville, tout sauf la tristesse et l’austérité. La chaussée s’est jonchée de palettes récupérées, de barrières, de morceaux de clôtures, et même de véritables projets joliment dessinés. De façon précipitée, un gentil désordre s’est installé, pour le moment figé.

Boire un verre à la terrasse d’un café, un art de vivre typiquement parisien qui s’est remis en scène (même si d’une courte durée).

Nous serons probablement de plus en plus conduits à vivre à l’extérieur et l’architecture aussi sera soumise à l’évidence du réchauffement climatique. Combien de terrasses ensoleillées dans les beaux projets en cours ? Question d’orientation, de localisation, d’intention, de culture urbaine. La terrasse est un bon indicateur de la nature de la ville que nous voulons, parfois il faudrait la susciter, l’inventer pour que vive la ville.

La terrasse c’est, d’un côté un rapport à la terre au sol, de l’autre un rapport au ciel, c’est dire son importance. C’est toute l’architecture de la rue qui se joue : sans terrasse, l’architecture perd son âme.

Au cours du vingtième siècle, nous avons peu créé ce « bien commun » significatif, peu de places, de cours, d’avenues, d’esplanade, donc de terrasses, tout juste quelques jardins. L’arrivée de l’automobile avait bouleversé la gestion de l’espace public. Il fallait se déplacer vite, stationner, les trottoirs sont devenus de plus en plus étroits, la ville prise de vitesse a fait la place aux voies express, aux tunnels, aux sens uniques et peu de voix se sont élevées.

Aujourd’hui, au titre de la qualité de l’air et des nuisances induites par la circulation, tout est remis en question. Je rêve d’un Baron Haussmann, d’un jardinier Le Nôtre pour porter un grand projet global qui ne soit pas uniquement de l’utilité immédiate mais le fruit d’une vision claire de la ville. Un projet, un espace de centralité multifonctionnel qui ne serait ni un musée ni un stade mais un lieu qui répare, qui relie ce qui est désormais épars.

Le monde moderne a fait l’impasse sur la terrasse, le balcon, le promenoir, les arcades… tout ce qui permet de flâner. Après un siècle de course de vitesse, le besoin de lenteur se fait de plus en plus sentir, nous voulons redevenir des badauds, redonner une autre dimension à la vie et du sens à la ville. Ce dont nous manquons le plus, dans nos projets urbains, dans tous nos projets de cœur de ville, ce sont ces terrasses qui renforcent l’identité urbaine, à l’instar du théâtre grec.

Des centaines de projets de terrasses urbaines devraient voir le jour désormais dans le traitement des entrées de villes. Une perspective sécuritaire, paysagère, urbaine qui va redonner du sens à la mixité et à une nouvelle urbanité. La terrasse, sous toutes ses formes, éloge de la lenteur, de la promenade mais aussi synonyme de nouvelle urbanité, de tension entre le centre historique et la ville étalée, une possible réconciliation en perspective.

Alain Sarfati
Retrouvez toutes les Chroniques d’Alain Sarfati

*Du même cinéaste, voir ou revoir également La terrasse (Note du claviste)

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Par Alain Sarfati Rubrique(s) : Chroniques d'Alain Sarfati

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