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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l'architecte - Saison 7 > L'affaire Dubois vue par la police > L’affaire Dubois l’architecte vue par la police – Diffusion de la peur

L’affaire Dubois l’architecte vue par la police – Diffusion de la peur

15 avril 2025

AIDA_VUE PAR LA POLICE CHA VIII Diffusion de la peur

Comment Dubois, tueur en série de blondes aux yeux bleus, s’y prend-il pour échapper à la police ? D’ailleurs, est-ce bien lui l’assassin ? Pour autant, les victimes ne manquent pas, ni en France ni au Brésil, tandis que la peur se diffuse ici et là. (Cha. VIII).

Retrouver les personnages à l’œuvre

***
« Jamais, dans une cité, les lois n’auraient la force qui convient, si elles n’étaient pas maintenues par la peur ».
Sophocle
***

Chapitre VIII

Jeudi 8 février, 19h07, dans le bureau de Dr. Nut à Paris

Dr. Nut a eu une nouvelle discussion avec le chef après l’article paru au Brésil qui faisait un nouveau lien entre Dubois et de nouveaux cadavres. Dr. Nut a rapporté au chef ce qu’il savait de ces deux nouveaux corps apparus dans l’entourage immédiat de Dubois au Brésil. La police locale ne semble pas, pas encore, faire cas de Dubois, mais ce n’est qu’une question de temps. D’autant que le journaliste Italien de La Stampa, qui enquête sur la disparition de Gina Rossi et Anna Rizzo, fait des progrès.

Le problème avec les réseaux sociaux et les infos en continu est de diffuser la peur en donnant l’impression d’une inondation. La presse locale, parfois prompte à monter en épingle une affaire, surtout si les politiques s’en mêlent, pour autant fait son travail d’information. C’est son rôle d’informer la population locale, à Bourges par exemple, qu’un violeur en série rôde en ville. Les habitants auront peur, à juste titre, et se calfeutreront et ne laisseront plus sortir leurs filles, jusqu’à ce que le criminel soit arrêté et alors toute la ville pousse un ouf de soulagement et reprend ses habitudes. Auparavant, il n’y a pas si longtemps, quand les habitants de Bourges s’inquiétaient, ceux de Strasbourg, Marseille, Lille et Nantes etc. n’avaient eux aucune raison de s’affoler, ils n’étaient même pas au courant la plupart du temps de ce qui se passait à Bourges. Et pourquoi d’ailleurs s’inquiéteraient-ils d’un violeur rôdant à 800 km de chez eux ? La peur était donc alors localisée et éphémère car, un jour c’était aux Marseillais d’avoir peur puis de reprendre leurs habitudes, etc.

Aujourd’hui hélas, les réseaux sociaux et les chaînes d’infos s’emparent du moindre fait divers sordide pour faire leur beurre du business de la peur et cela finit par donner l’impression à tout le monde qu’un violeur en série rôde près de chez eux et c’est toute la France, et pas que la France se dit Dr. Nut, qui s’abîme dans la crainte imbécile qui fait la fortune des marchands d’armes. C’est exactement ce qui les tracasse, le chef et lui, que la presse se mette à annoncer qu’un tueur en série, un vrai pour le coup sous la forme de l’architecte Dubois, se promène en ville depuis des décennies avec plus d’une dizaine de meurtres (quasi) confirmés à son actif. L’article paru dans La Stampa mardi dernier, mais dont il n’a reçu la traduction que cet après-midi, les a perturbés. Intitulé Rebondissement dans l’affaire Gina Rossi, une autre architecte manque à l’appel, l’article, au-delà de Gina, mentionne également Anna Rizzo, qui, le policier en est sûr, est également l’une des victimes de Dubois.

Surtout, il est irrité que le journaliste, Lorenzo Antonetti, celui qui l’avait déjà appelé, n’ait pas pris cette peine cette fois. Il en est certain, celui-ci ne lâchera pas l’affaire. Que découvrira-t-on demain dans La Stampa ? Tout aussi énervants, ces articles au Brésil, signés d’une Bianca Bertoldi qui a par hasard établi un lien entre Dubois et de mystérieux meurtres autour de lui. Au moins cette Bianca n’a pas encore remonté tout le chemin jusqu’à moi, se dit Dr. Nut. Il espérait qu’elle passe à autre chose mais l’article paru la veille l’a refroidi. « D’un autre côté, je ne suis plus tout seul à traquer Dubois », se dit-il, mais cette perspective n’est pas faite pour le rassurer.

***

Jeudi 8 février, 14h12 (heure de São Paulo), 19h12 (heure de Paris)

De : aidaash@le22.gouv.fr
Patron,

Voici un débrief complet de la situation. Après vous avoir appelé l’autre soir depuis l’Igreja das Sombras, j’ai contacté Thiago. Je lui ai expliqué la situation – la jeune femme blonde et nue morte au milieu des bougies au milieu de la jungle – et je l’ai laissé gérer les autorités locales pour éviter que cette histoire ne nous échappe. En attendant, Paulo et moi avons entamé notre périple de retour au village.

C’est en descendant que les choses sont devenues encore plus étranges. Alors qu’on approchait du village, nous sommes tombés sur un grand groupe de personnes qui montaient justement vers l’église, en rigolant et chantant, pour… un vernissage ! Oui, vous avez bien lu, une exposition d’art contemporain se préparait, et la scène macabre à laquelle nous avions assisté était en réalité une performance artistique, la répétition d’une performance artistique plus exactement. J’ai eu du mal à y croire au début, mais tout s’est éclairci. La jeune femme que j’avais prise pour une victime n’était qu’une actrice, et l’autel, une partie d’une œuvre intitulée « L’Immortalité des Ombres », en référence au nom de l’église délabrée. La performance était montée par un collectif d’artistes locaux qui utilise ce lieu pour ses installations. Selon eux, le but de l’œuvre était de « réveiller les mythes autour de l’église en jouant sur les interprétations de l’esprit », avec une dose de vaudou pour exciter les esprits justement. Je n’ai tellement pas voulu toucher à la « scène de crime » que je n’ai même pas pris le pouls de la jeune femme qui, nous entendant arriver, a cru que le vernissage avait commencé plus tôt que prévu. Pour l’effet, c’était réussi, j’ai eu la peur de ma vie.

Bref c’était une coïncidence totale que nous sommes tombés dessus avant l’heure prévue. On a eu une discussion avec l’artiste principal, et il s’est excusé pour la confusion et le choc que ça a causé. Ils n’ont jamais eu l’intention d’effrayer qui que ce soit. Ce devait devenir un film évènement sur Internet ou quelque chose comme ça.

J’ai donc rappelé Thiago pour faire le point et il s’est débrouillé avec les autorités locales pour expliquer notre émoi. On en a profité pour faire un état des lieux et il m’a indiqué qu’il y avait des infos de son côté : à Paraty, la police a finalement attrapé le mari d’Isabella da Rocinha – lors d’un contrôle routier. Reconnu et interrogé, il a finalement avoué son crime. Cela écarte définitivement Dubois de cette affaire. Quant à Maria Aparecida Silva, ses enfants sont arrivés de Rio et favorisent eux aussi la piste d’un suicide, comme nous l’avions envisagé. A priori donc, Dubois n’est pas lié à ces deux affaires. Devons-nous penser qu’il s’agit juste de coïncidences ?

Évidemment, Aïda n’a pas dormi de la nuit. Le choc, l’incompréhension… tout cela l’a tenue éveillée pendant des heures. Elle n’a cessé de ressasser la découverte à l’église, les corps de ces femmes, ces victimes, celles de Dubois, toutes les autres. Pourquoi lui apparaissent-elles, à elle ? Elle a passé la nuit devant son ordinateur tentant de démêler le fil de l’histoire. C’est en relisant ses notes et en analysant les faits sous un autre angle qu’elle a fini par réaliser quelque chose d’important. Une piste peut-être.

Chef, j’ai peut-être trouvé une clef pour comprendre pourquoi on accumule des cadavres autour de Dubois durant son voyage architectural brésilien. La découverte du corps de Léonie Meunier à Florianopolis, qui m’a fait venir jusqu’à lui, n’est peut-être également qu’une coïncidence. Dubois n’est peut-être pas responsable de sa mort. Mais en étant désormais à ses trousses, j’ai commencé à voir les choses de manière biaisée et systématique : désormais, chaque corps de femme blonde que je découvre, je l’associe instinctivement à lui. C’est devenu presque automatique, et j’ai l’impression que tout ou presque l’accuse… Sans preuve.

Ce que je veux dire est que, durant mon insomnie, j’ai fait les comptes : les chiffres sont alarmants. En France, selon le ministère de l’Intérieur, plus de 40 000 personnes disparaissent chaque année dont environ 30 000 sont retrouvées. Il reste cependant environ 10 000 disparitions non élucidées par an. Parmi ces disparus, en retirant les mineurs, il reste environ 9 000 cas d’adultes. Ensuite, en prenant en compte la parité hommes-femmes, il reste 4 500 femmes disparues par an. Si l’on considère que 20 % des femmes françaises sont blondes – comme celles que Dubois semble affectionner – cela représente environ 900 blondes disparues chaque année, soit trois par jour. Un chiffre impressionnant et déroutant ! Et c’est uniquement en France ! Trois par jour !!!

Au Brésil, où la surveillance est moins stricte et la délinquance plus forte, ces chiffres pourraient être encore bien plus élevés. Certes, il y a moins de femmes blondes qu’en France mais beaucoup sont aussi décolorées. C’est là que réside le problème : en cherchant des cadavres de blondes autour de Dubois, on finit par en trouver ! Que ce soit en France ou ailleurs, il y a toujours des disparitions non résolues. Et Dubois se retrouverait ainsi suspecté simplement parce qu’il est au mauvais endroit au mauvais moment. Pour expliquer ce que je veux dire : est-ce que je regarde si des femmes brunes sont décédées ou ont disparu dans les parages ? Non. Et des hommes ? Ou bien des enfants ? Non. Je ne cherche que des blondes et, si on cherche, on trouve.

C’est ce qui expliquerait la raison pour laquelle ni nous, ni Thiago n’arrivons à le coincer. Les preuves manquent parce qu’il ne serait pas responsable de toutes ces morts. Profite-t-il simplement de ces circonstances pour s’inventer une histoire ?

Bref, je continue mes recherches et mes hypothèses mais je vais essayer de dé-zoomer. Je vais pour commencer essayer de remettre la main sur Dubois et Gloria qui ont disparu des radars depuis maintenant près de quatre jours… Dès qu’on a des infos sur sa localisation, on se retrouve avec Thiago.

Aïda hésite un instant avant de terminer son email. Est-ce qu’elle aurait perdu la tête ? Est-il possible de se faire mener en bateau de cette manière depuis des semaines ? Et si sa théorie ne tenait pas du tout la route et que Dubois avait tout manigancé ? J’ai besoin de dormir, se dit-elle. Envoie cet email.

A +
Aïda
(À suivre)

Secrétariat du 22

Retrouvez tous les épisodes de la série L’affaire Dubois l’architecte vue par la police

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : L'affaire Dubois vue par la police

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