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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l'architecte - Saison 1 > Psychanalyse de l’architecte – Un accident pas comme les autres

Psychanalyse de l’architecte – Un accident pas comme les autres

30 octobre 2018

Episode 8 – Quand Ethel Hazel ouvre la lourde porte de son cabinet, elle trouve l’architecte la mine déconfite. L’homme de l’art se rend machinalement à sa place, dans un silence ectoplasmique inhabituel. Il est calme mais semble transporter avec lui une terrible nouvelle. La psychanalyste espère que rien de grave ne s’est produit.

«L’usage exige qu’un sadique reconnaisse le meurtre mais non pas le plaisir». Karl Krauss

Ethel Hazel – Monsieur l’architecte, Je ne vous sens pas dans votre assiette. Quelque chose d’important serait-il arrivé ?

L’architecte (après un silence, la voix blanche) – Effectivement, et vous savez pourtant à quel point ce qu’il y a dans mon assiette m’intéresse au plus haut point.

E.H. (Son teint oscille entre le vert et le gris, ses lèvres ont presque disparu et l’humour de son patient tombe visiblement à plat) – Dites-moi ?

L’architecte (prenant son courage à deux mains) – Docteur, vous souvenez-vous, il y a quelques semaines déjà, je sortais de votre cabinet. Nous venions d’avoir une discussion à propos des trottinettes.

E.H. (ne voyant pas bien le rapport avec leur séance de ce jour. D’autant que lors de sa dernière visite, il ne lui avait fait part d’aucun événement particulier. Elle cherche rapidement dans ses notes, fait le tour des pages blanches des semaines précédentes… Rien, absolument rien d’extraordinaire ne semblait avoir eu lieu) – Je m’en souviens parfaitement, vous en aviez après les usagers des mobilités douces

L’architecte (sarcastique) – Mobilités douces ! Ah, vous aussi vous êtes adepte de la novlangue ?

E.H. – ???

L’architecte – Excusez-moi. Et bien sachez que, en sortant de notre rendez-vous, j’ai malheureusement percuté l’un de ces engins avec mon scooter et, forcément, il y avait un type, ni jeune ni vieux, dessus. Au moment de la collision, ce monsieur a été projeté de quelques centimètres en avant. Heureusement pour lui, il portait un casque, qui ne protège pas des secousses émotionnelles.

E.H. – J’imagine que vous vous êtes arrêté ?

L’architecte – Oh oui oui, immédiatement, il n’avait pas encore atterri sur le trottoir. Les pompiers sont arrivés et, comme il se plaignait – il avait pourtant la force de m’invectiver – ils l’ont emmené à l’hôpital. J’ai fait un constat avec les policiers venus sur place… Je leur ai laissé ma carte car je n’avais pas le temps pour ces péripéties et, de toute façon, d’après moi, la victime avait l’air de se porter très bien. Qu’elle voit avec son assurance et on se rappelle hein !

E.H. (ne voyant toujours pas bien en quoi l’événement avait été à ce point traumatisant) – Quel est alors le rapport avec ce qui vous angoisse tant ?

L’architecte – Ce matin, des policiers m’attendaient à l’agence. Ils souhaitaient discuter de l’accident avec moi car il s’agirait, selon le ‘hipster’, d’une tentative d’homicide ! Rendez-vous compte Docteur ! Une tentative de meurtre ? Une seconde d’inattention et c’est votre vie qui s’effondre ! Heureusement que Madeleine, mon épouse, était invitée aujourd’hui à l’université de Gand.

E.H. – Y a-t-il un quelconque doute quant aux circonstances de l’accident ?

L’architecte – Ben non, Docteur. C’était un accident bête, comme tous les accidents de la route. C’est ce que j’ai répété aux policiers. Je ne l’ai pas vu débouler sur le boulevard, j’ai freiné trop tard. Depuis que j’ai mon Bespa trois roues, je me sens moins vulnérable. Du coup, je fais sans doute moins attention. Elisa ma fille ne veut d’ailleurs plus monter derrière moi. Sinon, je ne conduis pas si mal vous savez. Enfin, comme un Parisien, sans tergiverser ! En revanche, je me faisais justement la réflexion que les autres alors ! Que des bonnes femmes provinciales sur la route. Enfin, sauf votre respect Docteur !

E.H. (C’est fou comme les hommes et les femmes deviennent beaufs dès qu’ils sont les patrons du véhicule. Ethel Hazel au moins a résolu le problème, elle ne commande que de grosses berlines avec chauffeurs. Un petit luxe pour avoir la paix) – Ce n’est pas grave. Continuez.

L’architecte – Oui, à cet endroit, le carrefour est très mal foutu. Les bus changent de voies tous les 500 mètres. Les pistes cyclables aussi. Au milieu de tout ce bazar, les trots’ font ce qu’elles veulent. Et vlan que je te déboule derrière le bus sans s’occuper de rien ! Je vous assure, même en faisant attention, on ne les voit pas toujours arriver.

E.H. (c’est donc aussi la faute de la chaussée) – mmh mmh intéressant, continuez.

L’architecte (il se demande comment il avait pu être intéressant mais, pour le coup, il se sent plus enclin à la confidence) – Sans compter qu’il faut aussi jongler avec les bandes PMR-aveugle-sourd-abrutis du portable. C’est casse-gueule, ça ripe sous les pneus, j’ai l’impression d’être une brosse à dents électrique. Je crois que l’urbanisme sert parfois à nous les briser menues si vous voulez mon avis.

E.H. (les urbanistes qui prennent, qui sera le prochain ?) – …

L’architecte – En plus j’avais le soleil dans les yeux. Est-ce bien normal qu’il fasse 30 degrés en octobre en plein Paris ? Si ce n’est pas aussi une preuve flagrante du réchauffement climatique ! Les femmes dans la rue qui sont encore en robes légères, moi ça me déconcentre un peu aussi.

E.H. – Si je résume, les raisons de votre accident sont dues à une multitude de facteurs indépendants de votre volonté ?

L’architecte (regrettant illico l’allusion sexiste) – Mince je ne devrais pas dire ça en ce moment. Ne me collez pas un #MeeToo dans votre carnet de notes en plus, vraiment ma lourdeur ne le mérite pas ! Evidemment qu’en l’occurrence il s’agit de facteurs indépendants de ma volonté. Nous sommes trop nombreux sur la route en effet. Il faut en plus faire attention aux personnes âgées comme il est politiquement correct d’appeler les petits vieux qui traversent au rouge. Ils me font penser à ma voisine aux bagouses. Un jour, celle-là… En ce moment, la copropriété à quelques problèmes de fuites. Bon, notre immeuble se transforme en piscine à débordements dès qu’il pleut trois gouttes. Et voilà qu’elle vient me sonner comme si j’allais colmater tout ça d’un coup d’un seul. Madame de la Bagouse (énervé), sachez que je construis des médiathèques et que je ne suis ni plombier ni architecte de copropriété !

E.H. – C’est ce que vous lui avez dit ?

L’architecte – Non et je regrette de ne pas avoir eu la présence d’esprit de le lui dire. Mais comme en ce moment je suis débordé, elle me colle des pulsions criminelles alors j’évite de trop lui adresser la parole.

E.H. – Très bien mais alors pourquoi les policiers sont-ils venus ?

L’architecte – Le trotteux leur a dit que je l’avais fait exprès. Que j’avais accéléré APRES l’avoir aperçu alors que c’est lui qui m’a grillé la priorité en se jetant sous mes roues. Parole contre parole, je ne vais pas me laisser faire !

E.H. (se remémorant le jour de l’accident où il avait été particulièrement agressif et tendu, elle se demande si, à tout hasard, l’accidenté ne pouvait pas avoir vu juste) – Vous avez freiné à temps ?

L’architecte (essayant de se souvenir…) – Oui ! Enfin juste à temps en tout cas. (Doutant un peu…) Il avait le temps de tourner plus serré vous savez. Tout ça, c’est très flou. Ce que je vous dis est couvert par le secret professionnel n’est-ce pas ?

E.H. (La psychanalyste commence à trouver le discours de l’architecte confus, ce qui n’est jamais bon signe. N’avait-il pas évoqué des macchabées sur le macadam et des patinettes pliées en trois ce jour-là ? Ne l’avait-elle pas entendu éructer comme un personnage de BD après un trottinettiste en sortant justement de son cabinet à elle ?) – Oui, bien sûr, vous pouvez tout me dire.

L’architecte (gêné) – Et bien, je me souviens en revanche très distinctement du bruit de la trottinette qui pliait sous mes roues. Une vraie mélodie du bonheur… que j’ai ressenti dans mon corps entier au moment de rouler dessus. Dommage que les trottinettistes ne se déplacent pas en meute, j’adorerais faire un ‘strike’. Haha, c’est une façon de parler docteur, de l’humour. Ce qui m’inquiète un peu, c’est que je crois me souvenir lui avoir dit, avant l’arrivée des pompiers, «que ça te serve de leçon mon gaillard !».

E.H. – Vous croyez vous souvenir ou vous vous souvenez …

DRINNNN, DRINNNN.

L’architecte – C’est déjà fini pour aujourd’hui ?

E.H. (un peu choquée par les dernières révélations de son patient, le raccompagne à la porte et, d’une voix peu assurée,…) – Vous êtes sûr qu’il n’y a pas de témoin ?

L’architecte (souriant jaune) – Oui ! sans témoin, cela aurait pu être le meurtre parfait ! Haha.

Dans l’ascenseur, l’architecte repense à ce qu’il vient de révéler malgré lui à son médecin. Même lui ne l’avait pas vu venir ! Il se souvient désormais du plaisir qu’il a ressenti au moment de l’impact, de sa perception que personne ne pouvait voir ce qui allait se passer, de son impatience, presque, dès qu’il sut le choc inéluctable. Et si, en réalité, il l’avait fait exprès ?

Bon, maintenant, se dit-il, il va falloir être fin et subtil. Il va falloir en effet qu’il trouve une raison valable à sa présence dans ce quartier un mardi midi car Madeleine va forcément être mise au courant de la visite des poulets. Un peu chafouin, l’architecte se dit que, tant pis pour son nouveau régime à l’Aloé véra, ce midi, c’est barbaque à volonté, tant d’émotions méritant réconfort.

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

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Par La rédaction Rubrique(s) : Psychanalyse de l'architecte - Saison 1

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