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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l'architecte - Saison 2 > La compta, un livre pour régler ses comptes

La compta, un livre pour régler ses comptes

15 octobre 2019

Compta

L’architecte était à l’heure et apparemment plus alerte que jamais. Il semblait même avoir perdu du poids. «Il doit voir quelqu’un», se dit Ethel Hazel, la psychanalyste, en le faisant entrer. Quand il eut enlevé son blouson et posé son casque, elle vit qu’il portait des vêtements neufs et qu’il était passé chez le coiffeur.

***
«Le malheur de l’homme est qu’il a une âme de comptable» Zoé Oldenbourg
***

 

Ethel Hazel – Belle journée d’automne, n’est-ce pas ?

L’architecte (Chantonnant) – Et chaque fois les feuilles mortes / Te rappellent à mon souvenir / Jour après jour les amours mortes / N’en finissent pas de mourir

E.H. – Vous avez l’air bien guilleret.

L’architecte – Non, pas vraiment, à l’agence, c’est fini, je suis parti.

E.H. – Comment ça vous êtes parti.

L’architecte – Ben je suis parti, pas comme j’aurais voulu mais je suis parti. Un jour je suis venu à l’agence avec la voiture et Madeleine m’a vu emporter plusieurs années de comptabilité. Madeleine, je ne sais pas pourquoi mais ça l’a rendue folle. «Qu’est-ce que tu fais ?» «Ben tu vois, j’emporte la compta pour vérifier des bricoles». «Et qu’est-ce que tu as à vérifier dans la comptabilité», siffla-t-elle. Un vrai venin. Alors j’ai su que c’était mon dernier jour à l’agence, ce n’était plus possible. Et quand j’ai suggéré d’organiser un pot de départ, elle s’est mise à hurler «Comment toi un criminel, peut-être même un criminel endurci, c’est la police qui le dit sinon pourquoi ils seraient toujours là à rôder autour de l’agence ? Et donc c’est ce criminel qui nous a mis dans la mouise, qui a détruit le travail d’une vie qui veut organiser un pot de départ ? Et puis quoi encore, le cul de la fermière ? Parce que le cul, ça te connaît». Elle éructait et tout le monde à l’agence était dans ses petits souliers. Ils ont été plusieurs à sortir pour fumer une clope. Puis tout le monde les a rejoints. Il n’y avait plus que Madeleine et moi à l’intérieur. «Tu ne crois pas que tu exagères, tout ça à propos d’un accident de trottinette ?», je lui ai dit, aussi calmement que possible. Et là j’ai vu quelque chose dans ses yeux qui, pour tout vous dire, m‘a fichu les jetons. Je savais que c’était fini. Alors je suis parti avec ma pile de dossiers.

E.H. – Vous en aviez le droit ?

L’architecte – Le droit ? Le droit de quoi ? De prendre les dossiers ? Et comment ! C’est quand même moi qui l’ai montée cette boîte.

E.H. – D’aucuns pourraient penser que vous voulez soustraire des informations ou preuves embarrassantes…

L’architecte – Vous n’y êtes pas. C’est l’inverse, j’ai passé des jours entiers plongés dans les livres de compte.

E.H. – Vous avez donc trouvé un logement ?

L’architecte – Non, je me suis installé pour l’instant dans un appart-hôtel du côté de Ménilmontant. Ce n’est pas trop cher, c’est pratique et surtout celui-ci est grand, parce que je dois accélérer mes plans.

E.H. – Je croyais que vous m’aviez dit vouloir prendre le temps de régler quelques affaires avant de relancer une agence.

L’architecte – Oui, c’est ce que je vous ai dit mais tout s’est soudain accéléré. Non seulement je m’occupe de mes chantiers en cours mais me voilà retenu dans au moins deux concours, un à Paris, un autre en province, des projets très différents, et peut-être un troisième.

E.H. – Il faut que vous m’expliquiez.

L’architecte – En fait c’est assez simple, j’aurais dû moi-même m’en douter et an-ti-ci-per… La raison est liée aux élections municipales de l’an prochain. Au 20 novembre prochain, les maires auront perdu leur pouvoir de signature, alors soudain c’est la course aux concours afin qu’ils puissent montrer quelque chose d’innovant pendant la campagne et faire moult promesses, blablablabla. Ca ne leur coûte pas grand-chose et tout le monde sait que si la couleur politique de la commune change à cette occasion, tout ce qu’aura fait le prédécesseur sera de toute façon jeté aux orties, c’est la continuité républicaine à la française hahaha. Pour le coup, ce sont des concours sans risque et une fois que l’on est retenu, on peut se lâcher. Mais bon, même ceux-là, c’est mieux de les gagner quand même.

E.H. – C’est à cela que tiendrait votre nouvelle bonne fortune ? Vous exagérez sans doute…

L’architecte – Pas du tout. Si les Français se rendaient compte des piètres qualités morales et éthiques de leurs supposées élites, le pays serait à feu et à sang. Toujours est-il que dans cette panique, l’agence Dupont&Dubois, qui avait plutôt bonne réputation, a été sollicitée. Je ne sais pas ce qu’a raconté Madeleine mais si j’ai bien compris, elle n’avait pas le temps de s’en occuper, que l’agence était en pleine restructuration et que je n’étais plus associé. Comme ils étaient quelques maîtres d’ouvrage à me connaître personnellement, ils m’ont appelé en direct et je leur ai dit qu’ils pouvaient compter sur moi. Et voilà comment, d’un coup, la vie s’est accélérée.

E.H. – Parce que vous manquiez de distractions ?

L’architecte (Souriant) – C’est sûr que pour la pêche, ça va devoir attendre. Le problème c’est que les délais sont super courts. En plus, dans le dossier de concours, on est obligé de mettre l’accent sur la ‘concertation’, le ‘participatif’. Est-ce que le médecin demande à son patient quelle maladie il préférerait avoir, dans la mesure du possible et en fonction des règles d’incubation et de contagion admises ? Non. Et qu’est-ce qu’il en sait de l’architecture le boucher ou le pharmacien ou le dentiste du coin de la rue ? Rien. Alors, pour le coup, je vais trancher dans la chair de la concertation avec une lame bien affûtée et m’employer à faire le bien des gens sans qu’ils s’en aperçoivent. De toute façon, ce n’est pas difficile de savoir ce que veulent les gens, ils veulent toujours PLUS, PLUS, et PLUS, et PLUS encore… PLUS, PLUS, PLUS… C’est sans fin. Alors, vu qu’ils n’y comprennent pas grand-chose, je vais leur proposer mon avis éclairé. De toute façon, les maires n’ont pas beaucoup de temps pour se décider, alors autant leur apporter les éléments de langage hahaha.

E.H. – Mais comment allez-vous tenir la charge de travail ?

L’architecte – Il me faut créer une nouvelle société et ça c’est une galère de temps et de paperasse alors en attendant de trouver quelqu’un pour s’occuper de tout ça, je vais bosser en libéral, je m’arrangerais plus tard pour tout remettre au clair. Il y a du travail, je ne vais pas le refuser quand même ? Et pour m’aider j’ai appelé un ancien pote d’école d’archi. La dernière fois que je l’ai croisé, à la fête de Chroniques d’architecture, il m’a dit qu’il s’emmerdait dans le Val-de-Marne, loin de tout. Il n’avait quasiment pas entendu parler de mon affaire, seulement du divorce, ce qui ne l’a pas étonné plus que ça, le divorce à 50 ans est une maladie chronique chez les architectes. Alors je lui ai proposé de venir me donner un coup de main. Il avait l’air enchanté de mon appel. Il arrive demain, je lui ai loué un autre appart dans le même hôtel. Et j’ai fait passer une annonce à la recherche de stagiaires et de jeunes archis. On va bien voir. Et puis, miracle, un gentil petit gars, un bon jeune archi, qui bosse à l’agence depuis un peu plus d’un an, 18 mois peut-être, un garçon timide, m’a demandé s’il pouvait se joindre à moi, à cause de l’ambiance à l’agence m’a-t-il dit mais aussi parce que je partais avec son projet et qu’il souhaitait le mener à bien. Du coup, avec moi, il se retrouve avec bien plus de boulot qu’il n’en espérait. Il va bosser de chez lui en attendant.

E.H. – Pour quelqu’un avec une phobie administrative, vous ne perdez pas de temps…

L’architecte – parce que travailler c’est facile, c’est mon métier. C’est toute l’administration en amont et en aval qui m’essouffle rien que d’y penser.

E.H. – Avez-vous décidé d’un nom pour votre agence ?

L’architecte (Souriant à nouveau) – Oui mais je ne sais pas si je vais oser.

E.H. – Ha bon, pourquoi ?

L’architecte – parce que pour le nom de ma nouvelle agence, j’ai pensé à l’appeler Dubois&Moi. & Moi, comme émoi, émotion, vous comprenez ? Ou M.O.I comme Main-d’œuvre immigrée, comme on disait chez les FTP, un signe subtil de résistance. Dubois&M.o.i, cela aurait le mérite de la clarté puisque Dubois, c’est moi. N’est-ce pas ?

E.H. – (Effarée : souffrirait-il d’un dédoublement de la personnalité ? Non pensa-t-elle, c’est juste de l’orgueil, moi, moi, moi) – Ce n’est pas discret comme nom, c’est sûr…

L’architecte – Mais je n’ai rien à cacher et il n’y aura pas de confusion possible avec Dupont&Dubois.

E.H. – Madeleine conservera-t-elle le nom original ?

L’architecte – Je n’en sais rien. Après notre mariage, elle n’a jamais voulu porter mon nom. Et c’est tout juste que les enfants ne s’appellent pas Dupont-Dubois, juste Dubois, parce qu’on s’était dit qu’Ulysse ou Elisa Dupont-Dubois – j’imagine : «Dupont T, Dubois S» – c’était lourd à porter, alors pour eux c’est juste Dubois. Mais je ne serais pas étonné que Madeleine renomme l’agence Dupont&Dupont puisqu’elle se vante de savoir tout faire toute seule hahahaha.

E.H. – Et comment réagissent les enfants ?

L’architecte – Pas de souci de ce côté-là. Ulysse est en troisième année d’archi et fait son Erasmus au Brésil. Donc il est loin de tout ça. D’ailleurs je me dis que, passées les fêtes, j’irai bien lui rendre visite. Je ne connais pas le Brésil. Quant à Elisa, depuis qu’elle a commencé son école de cinéma, on ne la voit quasiment plus, elle est tout le temps avec ses copains hippies, elle est de tous les happenings, de tous les vernissages, elle était encore hier à manifester avec les zozos d’Extinction Rébellion au Châtelet. Au moins elle a de la suite dans les idées et je ne la vois pas beaucoup préoccupée par les bisbilles entre papa et maman, elle a l’habitude sans doute. Donc pour eux, ça va.

E.H. (Qui ne peut s’empêcher de penser, au regard des conflits larvés qui semblent avoir accompagné l’architecte avec sa femme et associée tout au long de leur carrière, que l’énergie relâchée après tant d’années de tension doit en effet être dévastatrice. Repensant à Madeleine) – Vous semblez n’avoir que mots acerbes pour celle avec qui vous avez pourtant passé toutes ces années, avec qui vous avez eu deux enfants.

L’architecte – Certes, mais maintenant que le doute s’est introduit dans mon esprit, je ne peux m’empêcher de la considérer avec un sentiment d’horreur. Pourquoi tant de méchanceté de sa part ? Comment peut-elle me croire capable de ce dont elle m’accuse ?

E.H. – Mais c’est exactement ce qu’elle doit se dire à votre sujet… (Ethel regretta immédiatement d’en avoir trop dit)

L’architecte – Mais je ne l’accuse de rien. N’empêche… D’ailleurs, pour en revenir à la comptabilité. En fouillant, j’ai découvert des trucs bizarres, des allers-retours à Grenoble, juste quand j’allais sur le chantier et rejoindre Géraldine. Mais qu’est-ce que Madeleine pouvait bien aller foutre – passez-moi l’expression – à Grenoble pendant que j’y étais ? On ne l’a jamais vue sur le chantier.

E.H. (Qui s’en veut un peu de poursuivre sa propre investigation) – Madeleine était jalouse ?

L’architecte – Ça vous pouvez le dire, tellement d’ailleurs qu’au bout d’un moment, je me suis dit que si je devais me voir condamné de toute façon, autant en ce cas commettre le crime, non ? Hahaha. Mais je suis longtemps resté fidèle à me faire engueuler avant de commettre le «crime», avec Géraldine.

E.H. – Parce qu’avant…

L’architecte (Etonné) – Avant j’étais bien trop occupé, le boulot, une famille, de jeunes enfants, comment aurais-je eu le temps ?

E.H. – Et Madeleine n’avait rien à faire à Grenoble ?

L’architecte – Pas que je sache mais c’est difficile à dire, il y a une école d’archi à Grenoble et peut-être allait-elle à une conférence ou un ‘work shop’ ou peut-être rencontrer un adjoint de la ville pour ceci ou cela, je crois me rappeler qu’elle l’avait évoqué avec moi mais je n’avais pas fait attention.

E.H. – En quoi cela doit-il vous alarmer alors ?

L’architecte – C’est une sacrée coïncidence quand même, avec Géraldine qui disparaît de la circulation. J’ai aussi découvert des courriers peu amènes, et ce n’est rien de le dire, entre Madeleine et la voisine acariâtre, tout ça à propos des travaux de la copropriété que Madeleine refusait carrément de payer ou alors elle mégotait sur la moindre dépense, ‘en tant qu’architecte’, c’était sa phrase favorite. Je me mets à la place de la vieille… Pas étonnant qu’elle me faisait la gueule sauf que je n’étais pas au courant de tout ça et c’est un aspect de la personnalité de Madeleine que je découvre.

E.H. – Vous suggérez donc que…

DRINNNNNN DRINNNNNNN

L’architecte était pressé et déjà reparti d’un pas volontaire. Ethel Hazel était bien embêtée. Elle avait revu l’inspecteur et ils avaient noué une liaison romantique, enfin, romantique, c’est-à-dire qu’ils avaient passé une nuit ensemble, dans le «pied-à-terre parisien d’un collègue» près de Pigalle qui, aux yeux de la psychanalyste, ressemblait fort à une garçonnière. Elle avait été surprise par la brutalité maladroite de Dr Nut et il l’avait bien secouée, ce qui était une première pour elle. Elle s’était finalement abandonnée à la masse de muscle. Pour le reste, il s’était montré d’une tendresse touchante. Ils avaient peu parlé de l’affaire. De toute façon, dès qu’elle croyait découvrir quelque chose, il était déjà au courant. Aussi, puisqu’ils se revoyaient ce soir – tiens juste après mon rendez-vous avec l’architecte, se dit-elle – elle décida de ne rien lui dire des soupçons qui la préoccupaient désormais.

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Psychanalyse de l'architecte - Saison 2

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