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Accueil > Chroniques > Peut-on être innocent lorsqu’on aime un coupable ?

Peut-on être innocent lorsqu’on aime un coupable ?

12 novembre 2019

engagement

Ethel Hazel est en train de se régaler dans le Parigot des histoires de la campagne des municipales à Paris – de par sa profession, elle trouve le personnage de Cédric Villani, Brutus parmi les Brutus, assez extraordinaire, au sens halluciné du terme, et n’est pas sans affection pour la résilience de la maire actuelle – quand elle se fait surprendre par la sonnette. L’architecte est à l’heure. En déposant son casque et sa pelisse, il note le journal ouvert.

 

***
«Les dossiers sont une chose. Les êtres humains une autre». Stieg Larsson
***

 

L’architecte (En s’installant) – Vous vous intéressez à la politique ?

Ethel Hazel – Pourquoi pas ? Je suis une citoyenne comme les autres. J’ai le droit de vote, vous savez…

L’architecte – C’est sûr qu’en tant que psychanalyste, avec la politique, vous devez vous régalez avec les noirs dessins des hommes.

E.H. – Certains sont portés par l’ambition légitime de changer le monde…

L’architecte – Des noms ! Des noms ! Non, ne dîtes rien, nous pourrions nous fâcher. Il est vrai cependant que je caresse parfois l’idée de m’impliquer en politique.

E.H. – Comment ça ?

L’architecte – C’est-à-dire que quand, justement, je vois ce qui se passe à Paris, et toutes les conneries que l’on peut entendre, je me demande si je ne devrais pas m’impliquer dans la campagne. Après tout la parole d’un architecte peut toujours être utile, quel que soit le camp, les politiques ont besoin de gens autour d’eux qui connaissent ces dossiers.

E.H. – Ils ont sans doute des conseillers…

L’architecte – Certes mais rares sont les architectes à s’engager en politique. La plupart des adjoints à l’urbanisme, ils sont dentiste ou notaire, très rarement architecte, urbaniste ou paysagiste à la rigueur, d’où les tombereaux d’idioties dès qu’ils parlent de la ville du futur. N’est pas Haussmann qui veut !

E.H. – Pourquoi les architectes ne s’engagent pas selon vous ?

L’architecte – Parce que l’architecture est une maîtresse impérieuse. Etre architecte, c’est construire, on ne pense qu’à ça. Ca ne veut pas dire faire des charrettes tous les jours, bien que ce soit le cas pour moi en ce moment, mais certainement on y pense tous les jours. Quand on est architecte, il me semble difficile de faire autre chose. Mais bon, cela dit, il y en a qui s’engagent dans la politique et qui ne construiront jamais, d’autres qui tentent au-delà de l’agence de poursuivre d’autres engagements, associatifs ou syndicaux. Et puis c’est vrai, il y a aussi ceux qui en font un métier de l’engagement et que ça dispense ainsi de construire. Bref, je m’enflamme et je ne suis pas sûr de savoir pourquoi il y a si peu d’architectes élus. Un architecte devenu maire et donc maître d’ouvrage, ça vaudrait le coup de vérifier ce que ça donne hahaha.

E.H. – Il n’y a pas forcément conflit d’intérêts. On peut être architecte et faire de la politique.

L’architecte – Faire de la politique est déjà un conflit d’intérêts.

E.H. – Et vous imaginez vraiment vous lancer dans la campagne ? Comme ça ?

L’architecte (En rigolant) – Maintenant que je repars à zéro – puisqu’ayant déjà tout perdu, je n’ai plus rien à perdre disons – alors peut-être le moment est-il venu pour moi de m’engager. Je ne me suis jamais engagé vraiment, à part mes dix balles par mois aux Restos du Cœur. J’ai même raté l’armée. Pour moi, pas de grandes chambrées viriles arrosées au petit jaune après une course-orientation de 20 km en pleine nuit d’hiver à poil à travers les ronces… D’emblée, j’ai envie de dire, j’étais sous la coupe de l’adjudant-chef Madeleine et elle était mon seul engagement hahaha.

E.H. (Elle hésite. La professionnelle en elle sait qu’elle devrait rebondir sur cette histoire d’armée que l’architecte vient d’évoquer, ou alors rebondir sur ces engagements auxquels il pense, pour une fois qu’il parle de lui mais, sachant que les filets du Dr. Nut se resserrent autour de Madeleine, la curiosité l’emporte) – Justement, Madeleine, comment va-t-elle ?

L’architecte (sourcils froncés) – Hum… Comment dire. Je ne l’ai pas vue depuis un moment mais j’ai des échos qu’elle serait désormais beaucoup plus détendue, ce qui semble-t-il a le don de rendre tout le monde nerveux à l’agence. Ou peut-être est-ce tout simplement parce que pour les fêtes c’est réglé. Ulysse n’a pas prévu de revenir du Brésil et Elisa a prévu de passer les fêtes en Allemagne avec ses copains écolos. Peut-être ont-ils senti que c’était le moment de se tenir à distance, toujours est-il que ça tombe bien parce que, à part ça, personne ne se bouscule aux invitations hahaha. Encore que, je n’en sais rien pour elle, je parle pour moi, mais je pense qu’elle aussi préfère ne pas avoir les enfants en ce moment.

E.H. – Et pourquoi une Madeleine détendue rendrait-elle les gens nerveux à l’agence ?

L’architecte – Je ne sais pas si elle est si détendue que ça, pas avec moi en tout cas, et parce que j’ai appris qu’une collaboratrice de l’agence était partie, assez soudainement d’ailleurs.

E.H. – Vous la connaissiez ?

L’architecte – Evidemment, c’est même moi qui l’avait recrutée. Son truc à elle, Brigitte, c’est une Brigitte, c’est les concours. Il y a des gens qui sont bons à un truc, elle, son truc, ce sont les concours. Moi, à l’agence, j’aimais penser, surtout au début, qu’il était bon pour chacun d’être polyvalent, de connaître toutes les ficelles du métier. Alors Brigitte j’ai voulu la mettre sur les chantiers ou autre chose mais ça ne l’intéressait pas. J’ai fini par l’accepter pour ce qu’elle est. J’ai compris que cela ne sert à rien de lui demander quelque chose qu’elle ne veut pas faire, le dépassement de fonction, c’est loin d’elle. Mais sur les concours, elle carbure, c’est ce qu’elle aime, le concept, toute la place laissée à l’imagination, elle ne le sait pas mais si ça se trouve elle est la fille illégitime de Jean Nouvel.

E.H. – Que voulez-vous dire ?

L’architecte – Comme je vous l’ai dit, elle ne sait pas construire hahaha. Cela dit, cette capacité à ne se concentrer que sur un sujet mais à fond est une compétence rare. Cette fille-là, je crois qu’elle était atteinte d’une forme d’autisme. Mais la spécialiste c’est vous alors je n’en sais rien mais je n’ai jamais vu une autre fille à ce point mono focus si je peux m’exprimer ainsi.

E.H. – Pourquoi en parlez-vous à l’imparfait ?

L’architecte – J’en parle à l’imparfait ? C’est peut-être que je me fais du souci pour elle.

E.H. – Vous voulez dire que vous l’aimiez bien ?

L’architecte – Tout à fait, c’est moi qui l’ai formée et une fois que je l’ai comprise, j’ai cessé de l’emmerder avec la polyvalence et les grandes idées. Un concours ? J’avais juste à lui agiter le prospect sous le nez et elle était à fond dedans. C’est un personnage particulier. Avec des habitudes très strictes, toujours les mêmes. Ca m’étonne qu’elle soit partie, c’est le genre à faire toute sa carrière en faisant toujours la même chose au même endroit au même poste même si là, en l’occurrence, chaque concours est un nouveau projet. Elle est brillante mais bizarre.

E.H. – Vous sauriez la décrire ?

L’architecte (Réfléchissant longuement) – Vous connaissez Lisbeth Salander, l’héroïne complètement frappée de Millénium ?

E.H. (Qui se souvient vaguement en avoir entendu parler mais qui est plus adepte de faits divers dans le Parigot que de polars scandinaves) – Ca me dit quelque chose…

L’architecte (rêveur) – Peu importe, elle est une Lisbeth Salander.

E.H. – Et donc…

L’architecte – Et donc, si mes infos sont correctes, elle aurait quitté l’agence et même si ça ne me concerne plus, je me mets à la place de Madeleine, une Lisbeth Salander qui te laisse tomber et te voilà soudain aveugle.

E.H. (Pas beaucoup avancée et pour tout dire un peu perdue) – Que voulez-vous dire ?

L’architecte (Après une longue réflexion) – C’est Philippe Madec, un architecte que vous ne connaissez sans doute pas, un apôtre de l’architecture frugale, qui raconte cette histoire. Un oisillon s’envole de son nid pour s’écraser dans une bouse de vaches à longues cornes, comme celles du Texas. Arrivé dans la merde notre oisillon s’offusque et, sortant la tête, «Je suis dans la merde» crie-t-il à qui veut l’entendre. «JE SUIS DANS LA MERDE !» Tout le monde s’en fout, Darwin et tout ça, sauf un renard qui entend les cris. Attiré sans erreur par les cris, il ne fait bientôt qu’une bouchée de l’oiseau bavard.

E.H. – Et la morale de l’histoire…

L’architecte – En fait, j’ai revu Brigitte il y a quelques semaines. C’est moi qui ai cherché à la joindre. Je lui ai alors proposé de me rejoindre, vous vous souvenez, j’ai eu deux concours d’un coup, elle ne m’a rien dit tout de suite mais, la connaissant, je me suis dit qu’il lui faudrait un peu de temps pour se décider, avec ses habitudes et tout ça. Je lui ai dit qu’elle n’aurait pas à s’inquiéter avec moi. Depuis, plus de nouvelles et maintenant la voilà qui disparaît à son tour.

E.H. – Et qu’avez-vous fait ?

L’architecte – J’ai essayé de la joindre, sans succès, elle ne répond pas à mes messages. Je me suis dit que si elle avait choisi de me rejoindre, qui sait ce qu’aurait fait Madeleine en l’apprenant ? Alors j’ai décidé d’appeler Madeleine, pour lui proposer mon aide même si je ne sais pas trop, étant donné les circonstances, ce que je pourrais bien faire pour elle. Mais je pourrais j’en suis sûr faire quelque chose si au moins elle m’en parlait.

E.H. – Qu’a-t-elle dit ?

L’architecte – Elle a ricané. «Qu’est-ce qui te fait croire que j’ai besoin d’aide ?», me demanda-t-elle, la bouche pleine de fiel. Je n’allais pas lui répondre «parce qu’il faut que tous ces meurtres s’arrêtent !». C’est ce que j’aurais dû lui répondre mais je ne l’ai pas fait. Je peux le dire devant vous, mais je n’ai pas osé devant elle, même au téléphone. De toute façon, en moins de trente secondes on s’engueulait et c’était fini.

E.H. (Qui pense enfin toucher au but) – Vous voulez donc que ça s’arrête ?

L’architecte (qui se cache d’abord le visage avec ses mains puis se frotte longuement les yeux avant de répondre) – Oui, il faut que tout cela s’arrête, pour Madeleine, pour les enfants, pour son agence, pour tout le monde.

E.H. – Il vous suffit d’appeler la police.

L’architecte (Dans un cri) – Jamais ! Jamais ! Je ne vais pas la dénoncer quand même. Je n’ai jamais dénoncé un confrère indélicat, ce n’est pas pour dénoncer ma femme, ex-femme ! Et puis je n’en sais rien, je ne suis sûr de rien. Je ne sais pas quoi faire … Pourquoi ne s’enfuit-elle pas ?

E.H. – C’est à vous de me le dire…

L’architecte (Pensif) – Parce qu’elle est persuadée d’être la plus smart, d’avoir toujours raison et d’ailleurs…

DRINNNNNN DRINNNNNNN

A la grande surprise d’Ethel Hazel, l’architecte eut une sorte d’éruption : «MERDE, MERDE, MERDE», cria-t-il en serrant les poings. Il ferma les yeux, pris une profonde inspiration. «Bon, il faut que j’y aille», dit-il les dents serrées et, comme ça, il était parti. La psychanalyste éprouve alors un fort sentiment de culpabilité, elle ne se sent pas trop glorieuse car la fin de leur entretien n’avait plus rien à voir avec une psychanalyse. «C’est comme s’il s’agissait d’une discussion de comptoir à propos de la culpabilité de l’héroïne d’une série télévisée», pense-t-elle amèrement, dépitée. Entre l’architecte et Dr. Nut, elle a perdu tous ses repères professionnels. Et cela affecte même sa capacité d’écoute envers ses autres clients : soit elle pense à l’architecte ou à Dr. Nut, soit elle s’ennuie. Il est temps, pense-t-elle, que Dr. Nut mette un terme à toute cette histoire, qu’elle puisse retrouver son calme.

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

*Titre emprunté à La mort d’Agrippine, de Savinien Cyrano de Bergerac qui inspira le héros d’Edmond Dantès

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