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Accueil > Chroniques > Chroniqueurs > Chroniques du Mékong > Retour au pays du Re (bis)

Retour au pays du Re (bis)

21 mai 2024

Chronique du Mékong
@Giuseppe de Francesco

Avec l’impression d’une répétition synchrone, mon trajet se déroule immuablement de la même manière en venant de Saïgon entre l’élégant aéroport Charles-de-Gaulle et le centre de Paris. Chronique du Mékong.

Mes capteurs sensoriels se mettent en éveil après une demi-journée passée dans les vibrations d’avion. D’abord le silence d’une route nette, dessinée ou le sifflement scandé du RER…

Puis la périphérie rouillée comme une vision d’inachevé, au visiteur étranger qui perçoit des arrangements incertains, des friches mal arrangées le long des voies en se questionnant sur ces abandons de territoires mal entretenus ou délaissés. Il est interpellé par la dissimulation de tentes tissées de plastiques bordant le périphérique, douve contemporaine formée par huit voies d’asphalte infranchissables…

Passé les portes de la ville, l’absence de bruit le surprend, une impression d’alchimie, un « précipité », la cristallisation d’une ville où l’activité semble calme, endormie, énigmatique. La pierre sculptée des immeubles haussmanniens et les garde-corps de fonte semblent moulés à jamais, dans une immanence saisissante, un choc visuel et sensoriel pour le visiteur d’Asie du Sud-Est.

Pays du Re (bis) Chronique du Mékong
Porte dorée @O.S.

Ensuite je constate le peu de monde dans les rues. Une propreté parfaite règne, et des alignements d’arbres magnifiques révèlent des saisons auxquelles le visiteur des tropiques n’est pas habitué.
L’air est frais !

Les mobiliers urbains sous les marronniers sont parfaitement agencés, l’absence de larges publicités criardes sur les boutiques questionne le regard.
Cette absence de signes apaise.
Ces instants précieux de redécouverte de la ville s’impriment dans les mémoires avec toujours l’exacte température de couleur renvoyée par les reflets sur les sols.

Quand on grandit, on s’étonne moins…, il nous devient précieux de s’émouvoir ou de s’emporter devant une œuvre, de ressentir la raison cachée des émotions des espaces et des lieux, d’une architecture poétique qui ait du sens.
Notre exigence d’architecte s’affine et on s’étonne naturellement moins, notre sens critique a tendance à se développer.

Mes allers-retours entre une Asie du Sud-Est résiliente et le vieux continent m’amènent à établir des constats que j’ai du mal à accorder.
L’Asie comme beaucoup de pays émergents se positionne dans une nouvelle économie de marché, les dragons et les tigres asiatiques avancent dans le sens opposé de nos prises de position politiques et économiques ; il est permis de critiquer le manque d’alternative qu’offre le marché mondial mais c’est ainsi !
Alors que la crise climatique alarme en France, elle est bien moins évoquée en Asie.
Les récentes canicules en Birmanie, au Laos, au Cambodge et au Vietnam de cette année interrogent peu sur les fondements de ces catastrophes. Il est ainsi difficile de freiner un pays qui aspire à consommer comme nous ; donner des leçons n’est pas de mise.
Mais l’économie mondiale tousse, la conséquence est que Vietnam sursaute, tressaille.

La période actuelle de la construction est difficile, le parti au pouvoir s’est lancé dans une chasse à la corruption avec la volonté de réduire la bulle immobilière. Cela a fait fondre immédiatement les commandes urbaines et architecturales et, depuis l’après-Covid, tout le monde attend une reprise qui n’arrive pas…

Dans ce contexte, le débat architectural existe peu. Il faut dire que l’absence d’une maîtrise d’ouvrage publique avertie et cultivée sur le sujet n’encourage pas…
Les interrogations sur l’artificialisation des sols ou la décarbonation sont aussi réservées à un public initié et averti.

À Paris, avec un bon sens fataliste sur la crise climatique, la frugalité heureuse semble régner, sa légitimité tient à sa consistance républicaine de ne pas trop s’exposer.
L’état du monde pousse au tout durable et, forcement tout le monde s’accorde sur cette épiphore.
Qui peut être pour le délabrement planifié de la planète ?

Amplifiant la frugalité heureuse du moment, le travail des photographes d’architecture conforte l’ambiance, c’est la compétition aux photos aux couleurs fades de bâtiments fades, dans des cieux au blanc le plus laiteux. Cette esthétique du camaïeu et de l’absence semble officielle, elle emplit les pages des revues !!!
Preuve à l’appui ; les photos de la livraison du village olympique sont l’éloge d’une répétition banale aux couleurs fadasses, résultat d’un compromis qui satisfait certainement la demande.

C’est une évidence ; en revenant dans l’Hexagone, la pratique du métier d’architecte est de plus en plus complexe, constat partagé par tous mes confrères architectes.
Avec le recul du temps et de l’espace, chaque discussion réengagée me le confirme ; l’unanimité d’une profession qui semble irrémédiablement lâcher prise…
Les derniers architectes résistants sont noyés, ils ont la tête maintenue sous l’eau par des armées de conseillers, de formateurs BIM (Building Information Modeling), d’AMO, de nouveaux consultants en renaturation et en bilans décarbonés devenus les légitimes chefs d’orchestre.

Les nouveaux conseillers de l’écologie me semblent être mes ennemis désignés, alors que ce qu’ils défendent sont les raisons principales de mon engagement depuis toujours.
À quoi bon être architecte si on ne veut pas un tantinet se rebeller et changer son environnement !

Il ne faut pas être dupe, nos honoraires d’architectes rognés après l’invention géniale du BIM par les bureaux d’études techniques sont bouffés par une nouvelle armée de jeunes ingénieurs barbus en chaussures Timberland et pardessus K-way. Ces nouveaux bergers, gardiens de l’environnement font désormais la loi pour choisir couleurs et matériaux au prétexte du suffisant coefficient de cycle de vie des matériaux et de l’albédo de la couleur. Associés aux services techniques des maîtres d’ouvrage qui partagent avec eux un langage accessible, ils ont les pleins pouvoirs et les évidences toutes écrites : ni les architectes, ni les maires ou les clients ne savent leur résister !
On s’arrache les cheveux ! La couleur d’un revêtement et la texture d’un rideau passent obligatoirement par l’obtention des points requis de l’ACV (Analyse du Cycle de Vie).

Plus besoin d’expliquer notre perception de l’espace, de la lumière, de l’atmosphère, le tableau du cycle de vie dynamique s’en charge, bientôt géré par l’intelligence artificielle incontrôlable.
La moyenne de la note finale DPE (Diagnostic de Performance Energétique), du CBS (Le Coefficient de Biotope par Surface) et l’obtention du BDF Or (Bâtiment Durable Francilien) comblera d’aise les services techniques de nos interlocuteurs maîtres d’ouvrage.
Justifier par les abaques du cycle de vie les qualités d’un matériau est tellement plus simple et aisé que d’en expliquer sa vibration, son contenu, son reflet, son assemblage dans une composition juste et dans l’ordre savant d’une façade constituée.

À chacun son boulot, me direz-vous, l’essentiel étant que notre environnement soit vertueux ! La planète brûle et les priorités sont dans la réduction de l’empreinte carbone, c’est justement une cause légitime !
Alors, dans ce courant général de bonnes pensées partagées, il devient complexe de critiquer les travers de l’écologie, on en devient paria.
Les consultants de l’écologie, sont les maîtres du choix des matériaux et des couleurs, ils associent à leur avis sans concession les résultats des logiciels de préfiguration des atmosphères (Acoustique, Ventilation, Éclairage). Leurs conclusions sans appel nous imposent le positionnement et le nombre exact de luminaires pour que la lumière fadasse minimum requise dans les programmes techniques compulsés par les AMO soit bien la même partout.
Les températures de couleurs ne sont pas au chapitre et personne ne critique le coût global des luminaires plastiques embarqués par cargo de Chine. (Cela n’entre pas dans les grilles d’analyses des ACV).

Au cas où l’architecte mal intentionné souhaiterait varier la lumière… ; que nenni… honte à lui. Le programme lui ordonne l’uniformité, pas besoin de s’encombrer d’ombres, de mailles, d’effets savants ou de reflets irisés pour dynamiser l’espace !
Les bergers de l’écologie embusqués sont là pour nous le rappeler !

Illustration par de petites histoires vécues…

De la couleur genrée pour convaincre !

Chronique du Mékong

Alors que je visitais en région parisienne un chantier d’école, une discussion animée sur le choix des couleurs s’engageait mal avec les services techniques de la mairie… Soucieux d’éviter tout conflit, le graphiste de l’équipe vint à la rescousse des architectes.

Ce créatif féru de discussions sur la politique des couleurs savait bien parler. Après une heure trente de discussions interminables à justifier la palette des couleurs : le bleu ne passant pas, le rouge étant trop agressif, le jaune pas assez visible, le vert fadasse, le violet proposé par l’architecte ne passait pas non plus. Sentant que la conversation allait durer encore une bonne demi-heure, le graphiste eut le dernier mot en expliquant que la couleur violette choisie était non genrée et qu’elle conviendrait parfaitement aux jugements des professeurs des écoles…
Point final de la discussion et des échanges !
La couleur non genrée violette mit tout le monde définitivement et unanimement d’accord.

Le maître d’ouvrage conforté d’avoir un choix légitime de sa couleur de la signalétique acquiesça avec soulagement. Nous continuâmes tous rassérénés, d’un commun accord, la visite du chantier.

Proverbe Vietnamien : « Lời nói không mất tiền mua, lựa lời mà nói cho vừa lòng nhau » (Les paroles ne vous coûtent rien ; choisissez-les bien afin de faire plaisir à vos interlocuteurs)

De la pisse au programme !

Récemment, depuis Saïgon, la lecture d’un article sur la récupération des urines dans les équipements parisiens a retenu toute mon attention et ravivé ma curiosité du débat parisien.

Le CAUE de Paris et la Passerelle Transition Écologique de la Ville de Paris ont organisé une matinée d’échanges et d’information sur le sujet de la récupération des urines dans les bâtiments publics. Cette invitation m’a questionné sur les priorités parisiennes…

L’armement croissant du monde et l’émergence d’économies de guerre, les signes d’un repli généralisé, la crise climatique et le déséquilibre des richesses pointent du doigt des priorités différentes…
Je n’ai absolument rien contre le fait de récupérer nos urines pour en faire des engrais (et je suis même sûr que c’est justifié), mais je me questionne sur les priorités du débat.

Peut-être qu’il n’y a plus rien à dire sur des sujets aussi importants qu’abandonnés par les gouvernements successifs que la transformation des banlieues, l’entrée des villes, le ravage continu de l’étalement urbain autour de Disney.
Tout le monde s’en balance mais la récupération des urines, voilà un titre de Webinaire sexy qui interpelle !
Vu de l’Asie du Sud-Est et de ses inondations puantes ou des canicules récurrentes, cela reste une préoccupation assez chauvine…

En revenant à Paris je redécouvre comment se comporter en ville avec un animal

Je dois avouer que les choses ont évolué… Plus aucun chien ne vaque sans laisse, la muselière est de rigueur dans les transports, la promenade s’effectue sous contrôle. Les brigades canines sont aux aguets à l’image du flicage des voitures scanners de vérification des stationnements.

Pays du Re (bis)
Paris onzième arrondissement @O.S.

Mes chiens m’ont appris à déceler le peu de « vrais sols », à repérer rapidement les poches de terres perméables, éviter l’asphalte en juillet qui brûle les coussinets, les effets venturi aux coins des rues les jours de pluies de mars, les anfractuosités insoupçonnées de l’espace public. La re-naturation récente des villes est une aubaine : je me disais que mon chien pourrait certainement contribuer à l’amélioration de nouveaux biotopes urbains !

Le débat ne fait que commencer !

Du scotch partout !

Le règne du BEPOS (Bâtiment à Énergie POSitive) et des certificats PEB (Performance Énergétique des Bâtiments) pousse à obtenir l’étanchéité à l’air totale des projets de construction.
La construction bois bas carbone a le vent en poupe !

J’adhère à la construction avec des matériaux naturels, le bois en fait partie. Nous assemblons en bois pour juste vingt ou trente ans, juste le temps que les scotchs qui retiennent les milliers de mètres carrés de pare-vapeur et des membranes des murs composites ne se désagrègent en poussières, que les millions de kilomètres de scotch ne se décollent des parois intérieures.

Je me pose la question de savoir si la foultitude de ces couches de plastique (entre la livraison et la mise en place des ossatures bois) que l’on pose ne va pas se draper, s’écrouler ?

Un jour que je visitais sur un chantier BDF classé or, construction bois et matériaux filière courte, matériaux organiques d’origines certifiées, économie circulaire et main-d’œuvre locale (la totale !), je questionnais les équipes de conception, le contrôleur technique, l’entreprise, le client sur la présence inconsidérée de plastique sur le chantier. En réponse à ma question pas une mouche ne vola et je n’obtins pas de réponse, ni des constructeurs soumis aux lobbys, ni des architectes, des ingénieurs charpentiers et encore moins des AMO, bergers dont aucun ne semble intégrer les paramètres du gigantesque gaspillage de plastique épais de la filière bois.

Sachant que les températures vont grimper, que va-t-il se passer quand des millions de mètres carrés de façade en plastiques composites compressées et de colles en tous genres vont se disloquer ?

En pays tropical moins on colle, plus on assemble, mieux on se porte, l’échauffement et l’humidité ne font pas bon ménage !

À ce jour ma question reste posée…

Olivier Souquet

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