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Accueil > Politique > Piscines : à Bourgoin, maîtrise d’ouvrage et maîtrise d’œuvre se sont jetées à l’eau

Piscines : à Bourgoin, maîtrise d’ouvrage et maîtrise d’œuvre se sont jetées à l’eau

13 septembre 2022

Piscine Alice Milliat Bourgoin Po&Po
@Jean-Luc Calligaro

A l’heure des dérèglements climatiques de l’été 2022, il ne faut pas désespérer de la politique. Aujourd’hui, l’année 2014 paraît si loin, avant le Covid, avant la guerre en Ukraine. Un temps d’abondance et d’insouciance ? Pas pour tout le monde en tout cas. En témoigne la piscine Alice Milliat, conçue par Po&Po (Bruno Palisson, Jean-Luc Calligaro) qui sera inaugurée cet automne à Bourgoin-Jallieu (Isère).

 « A mon sens, la conviction liée au développement durable n’est pas politique au sens des partis », explique Jean Papadopulo, président de la Communauté d’agglomération Porte de l’Isère (CAPI), un territoire composé de 22 communes, situé au cœur de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et 2ème pôle urbain et économique de l’Isère (100 000 habitants). En guise de démonstration, l’édile (Société civile) est, parmi d’autres bâtiments, maître d’ouvrage d’une piscine intercommunale qui ouvre ses portes au moment même où d’autres par dizaines partout dans le pays doivent fermer les leurs. Paradoxe ?

Retour arrière. Mettons que l’histoire débute en 2008 quand le même, au sein de la communauté de communes naissante autour de Bourgoin-Jallieu était « l’écolo de service », doté d’une délégation « verte » un peu fourre-tout, de quoi cependant renforcer les convictions du biologiste de formation, aujourd’hui encore vétérinaire.

Vice-président puis président de la CAPI depuis 2014 donc, Jean Papadopulo n’a pas de solutions toutes faites – ni alors, ni aujourd’hui, ce n’est pas un dogmatique – mais il a déjà une vision cohérente et globale de ce que peut signifier « développement durable » pour sa communauté de communes. Il met en place un « projet de territoire ». Un visionnaire ? Un prescient ?

Avance rapide. A l’automne 2022, à l’heure où les piscines publiques doivent fermer à cause de l’explosion des coûts de l’énergie, la CAPI livre la première, de mémoire d’homme, piscine labellisée NF HQE Equipements Sportifs et BEPOS ! Ce qui n’est pas rien ! Intrigant en tout cas.

Disons-le tout de suite. BEPOS signifie ordinairement bâtiment à énergie positive, c’est-à-dire un bâtiment qui produit plus d’énergie qu’il n’en consomme. Ce n’est pas le cas ici. A l’impossible nul n’est tenu et les bureaux de contrôle et de certification ont dû, en l’occurrence, en convenir. De fait, une piscine est un gouffre énergétique et il n’y avait jusqu’à aujourd’hui ni label officiel ni certification quelconque permettant de qualifier les performances d’une piscine. Les auteurs de la piscine Alice Milliat de Bourgoin-Jallieu sont cependant parvenus à obtenir une équivalence qui en fait aujourd’hui un établissement particulièrement innovant et unique en termes de consommations énergétiques.

Retour arrière. « Depuis 2014 il y a une volonté forte d’être un territoire d’innovation, à énergie positive et la CAPI a décidé de monter les curseurs sur plusieurs projets, dont la piscine, qui est ainsi devenue un projet exemplaire. Dès 2014, la CAPI a mis en place un service construction durable avec pour objectif de rendre les bâtiments existants et les bâtiments du futur moins énergivores. Alors BEPOS, pour une piscine, c’était un défi ! », souligne Jérôme Lovato, chef de projets chez ELEGIA qui a suivi le projet de bout en bout

Lors du concours en 2017, Jean Papadopulo n’a que deux exigences : « que cet équipement soit énergétiquement le plus abouti possible et qu’il soit cependant un geste architectural ». Le fond du programme était pour les trois agences retenues d’expliquer comment elles comptaient atteindre le BEPOS, une certification… n’existant pas pour les piscines.

Noter qu’il est rare qu’un maître d’ouvrage fixe des objectifs aussi ambitieux en donnant à la maîtrise d’œuvre le temps et les moyens d’études fouillées. Il s’agissait en l’occurrence de comprendre, au-delà du coût d’investissement, le coût global d’un tel équipement, celui de l’entretien, de la maintenance, les sources d’économies d’eau, d’économies d’énergie, etc. La méthode semble avoir du bon…

Avance rapide. Certes, en 2022, le projet a coûté in fine 13,5M€, soit quelques millions de plus qu’un équipement lambda de même dimension, mais sa portée, pour qui souhaite se projeter dans le futur, est incommensurable. « Cette piscine consomme deux fois moins qu’une piscine construite il y a dix ans ; 100% de la chaleur est d’origine renouvelable (notre engagement vis-à-vis de la certification était de 80% minimum) et 30 % des besoins en électricité sont couverts par les panneaux photovoltaïques de la toiture et de l’ombrière », poursuit Jérôme Lovato.

Ce n’est pas exactement le BEPOS ? « Il a fallu trouver des équivalences », résume Bruno palisson, associé de l’agence Po&Po, lauréate de la compétition. (* Lire le mémo technique de Po&Po). Des solutions techniques maîtrisées, du bon sens, du savoir-faire, un objectif clair, du temps pour les études, un maître d’ouvrage capable, et toutes les étapes de la certification, à la surprise même des certificateurs, ont été franchies.

« Nous sommes allés au maximum de ce qui était techniquement possible et, grâce aux éléments de comparaison que nous sommes parvenus à établir, nous pouvons disposer d’un nouveau label pour les piscines », se réjouit Jérôme Lovato. Tous de souligner encore comment les deux bureaux d’études, celui de la maîtrise d’ouvrage et celui de la maîtrise d’œuvre, ont parfaitement collaboré pour atteindre l’objectif architectural, technique et politique. Pour le coup, il s’agit bien d’une première en France, voire en Europe !

Si le consensus politique – en substance, qui ne veut pas faire des économies et sauver la planète ? – n’est d’évidence pas la solution de facilité, Jean Papadopulo, l’« écolo de service », a aujourd’hui le droit de se réjouir également. Il rappelle malicieusement que la CAPI a depuis plusieurs années déjà réduit l’éclairage public la nuit, « une économie de 300 000€ par an, ce n’est pas négligeable », dit-il.

Piscine Alice Milliat
@Bcube

Retour arrière. « Il faut expliquer longtemps, ce n’est pas quand les gens sont en difficulté qu’il faut les mettre devant le fait accompli », note-t-il. Il en était convaincu en 2008, puis en 2014. Et c’était avant le covid et la guerre en Ukraine et les canicules et feux invraisemblables. L’anticipation, la politique au sens noble, c’est donc possible sans fouetter personne ! Que fut-il si seul à y penser à l’époque, moins de piscines auraient à fermer aujourd’hui et le pays pouvait presque s’éviter une nouvelle polémique !

Avance rapide. Dans ce contexte, poursuivons la réflexion. Puisque les coûts d’investissement et d’exploitation des piscines sont si onéreux – et ce n’est pas Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports qui, en proposant « une réflexion » et un « accompagnement des gestionnaires  pour les aider à faire des économies d’énergie » (Le Parisien 9/09/22), va résoudre le problème – et qu’il va falloir attendre cinq ou six ans pour voir sortir de terre des piscines de nouvelles générations, qu’il faut espérer inspirées de celle de Po&Po, c’est maintenant qu’il convient, comme Jean Papadopulo en 2014, d’anticiper l’avenir, 2030, et de se poser des questions, au moins pour ce qui concerne les piscines.

Tous les spécialistes du secteur savent que la France en manque, et pas qu’un peu. Nous avions déjà l’habitude de les voir fermées en été soit par manque de personnel, soit pour arrêt technique. Elles ferment donc désormais à cause des prix de l’énergie et des coûts d’exploitation.

Existe-t-il moyen de réfléchir autrement ?

Avant même de parler de label, il convient peut-être d’identifier précisément les besoins. Le gros du marché, des équipements entre 6 et 8M€, est en effet destiné aux scolaires et aux familles. Question : a-t-on besoin partout du sempiternel bassin de 25 m de long ? Certes il faut penser aux besoins des associations sportives mais ceux-là peuvent être pensés à l’échelle d’une intercommunalité. Sinon, s’il est question de faire fonctionner des gouffres énergétiques, au-delà des innovations proposées ci-dessus par Po&Po, considérons simplement le même équipement avec un bassin de 20 m, une dimension qui ne réduit en rien la capacité d’initiation à la natation d’un enfant ou d’un adulte et n’interdit en rien non plus un usage loisir destiné aux familles.

Or, avec un bassin de 20 m, ce sont 120 m3 d’eau en moins à traiter tous les jours dans un équipement réalisé avec un investissement moindre de 20%, ce d’autant que pour ces 5 m de bassin, il faut compter 7 m jusqu’au faîtage. Le calcul n’est pas si compliqué : 150 m² en moins x 7 m de haut, c’est une piste d’économie sur tous les corps d’état dès l’investissement, économies qui pourraient être par exemple réinjectées dans l’environnemental. Cette différence rendrait par ailleurs l’investissement initial moins lourd à porter, pour des intercoms rurales par exemple, et, surtout, 20% d’eau en moins à traiter et chauffer au quotidien peut se traduire peu ou prou par autant de gains sur le coût d’exploitation. Ce qui, à l’année, sur une piscine, doit bien représenter quelque chose comme un budget ! Plus de piscines vertueuses mais moins grandes ?

D‘ailleurs la CAPI a demandé à l’équipe de la piscine Alice Milliat de refaire les calculs afin d’étudier les différences de consommation, et donc de coût, selon que la température de l’eau est à 25, 26, 27 ou 28°. Un ou deux degrés, de 28 à 26° par exemple, c’est un petit geste pour l’humanité mais un grand pas pour la sobriété énergétique d’une piscine et son bilan d’exploitation.

Autre point pour lequel la maîtrise d’ouvrage et la maîtrise d’œuvre de concert n’en peuvent mais : les eaux pluviales. En effet, les agences régionales de santé (ARS), sous la tutelle du législateur et du ministère, continuent d’interdire leur récupération. L’argument est que cette eau peut charrier des salissures venant des toitures, au risque que des petits enfants aillent s’abreuver dans les toilettes. Avez-vous déjà vu un gamin boire l’eau des toilettes ? De fait, Jérôme Lovato a connaissance d’un gymnase proche de Lyon ayant pu mettre en place ce système, parfaitement connu et qui ne pose aucune contrainte technique particulière, mais le lieu est truffé de panneaux indiquant que l’eau des toilettes N’EST PAS POTABLE. Encore faudrait-il que les tout-petits ne sachent pas marcher avant de savoir lire.

Certes, à l’échelle d’une piscine telle celle de Bourgoin-Jallieu, le gain serait accessoire mais il pourrait constituer un vertueux jalon d’amélioration. D’autant qu’un tel équipement est une formule 1 de la filtration et de la stérilisation de l’eau. En plus, cette récupération ne coûte rien à installer puisqu’elle s’inscrit dans le système déjà en place ! Et puis, cette eau pluviale, elle tombe bien dans les bassins extérieurs ! Eau qui sera filtrée et stérilisée. Où est le problème ?

Plus largement, au-delà de cette piscine, en fonction de la taille de l’équipement et de la taille de sa toiture, combien de milliers de m3 d’eau économisés par an ?  A l’échelle du pays ! Au prix du m3 actuel pendant la sécheresse ! En somme, la même institution qui demande aux architectes et maîtres d’ouvrage d’être vertueux leur interdit de faire des économies à peine audacieuses.

Rien que cette histoire d’eau pluviale montre tout le chemin qui reste à parcourir pour atteindre la sobriété vantée par le président. Dix ans de retard sur Jean Papadopulo et l’esprit apparemment n’y est toujours pas.

Au moins, puisque Vulcain ex-Jupiter cherche encore un plan « écologique », il sait désormais par où commencer.

Christophe Leray

*Lire – La piscine Alice Milliat, innovante et unique en France : le mémo technique de Po&Po

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Politique

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