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Accueil > Architectes > Rencontres > Les Lods de Grand Mare… Sale destin

Les Lods de Grand Mare… Sale destin

13 mai 2025

Marcel Lods Grand Mare
@T.B.

« Le beau doit être un droit social. Il y a une ambiguïté de départ. Pour Marcel Lods comme pour tous ceux du mouvement moderne, le beau c’est l’efficace ». Efficaces les plots de Grand Mare ? Entretien avec Pierre-René Lemas.

Grand Mare est un quartier des plateaux Nord de Rouen (Seine-Maritime). Il donne son nom à un ensemble d’immeubles d’habitation de 40 000 m² environ construit en 1969 par Marcel Lods, associé à Paul Depondt et Henri Beauclair.

Pierre-René Lemas est ancien directeur général de l’urbanisme, de l’habitat et de la construction, ancien directeur général de la Caisse des dépôts et consignation, et l’auteur d’un rapport sur la qualité architecturale des logements sociaux en 2020.*

L’architecte pionnier
Marcel Lods est un architecte né à Paris en 1891 dans un milieu très modeste. Artilleur réserviste pendant la première guerre, il s’engage comme aviateur en 1939. Très lié à Le Corbusier, membre de l’UAM (1) en 1934, il profitera d’une longue période d’inactivité pour réfléchir à la reconstruction et au concept de l’industrialisation du bâtiment dont il est le pionnier en France.

Entre les deux guerres, il aura beaucoup collaboré avec Jean Prouvé (2). Associé à Eugène Beaudouin, il conçoit des projets devenus cultes dont une école de plein air pour enfants tuberculeux à Suresnes (1935) (3) ; la Maison du Peuple de Clichy, le premier bâtiment préfabriqué à mur-rideau en tôle d’acier, avec une ossature métallique (4) (1939) ; la Cité de la Muette à Drancy – cinq tours de quatorze étages, plus de 1 000 logements HLM à ossature métallique, premier grand ensemble en France.

Le métal
Dès avant-guerre, le métal est à la mode dans les arts appliqués et dans l’architecture. En 1927 Walter Gropius, directeur du Bauhaus, expose à Stuttgart une maison individuelle préfabriquée à ossature métallique. En 1929, l’Office technique pour l’utilisation de l’acier (OTUA) promeut l’acier dans les ouvrages d’art et les bâtiments. Pourtant, dans la période de reconstruction, le modernisme n’aura pas les faveurs du politique. Ce n’est que beaucoup plus tard, dans les années ‘60 que Lods, qui s’est séparé de Beaudouin, peut enfin mettre en pratique ses idées : matériaux nouveaux et techniques neuves. Industrialisation des procédés de construction

Grand Mare – Incendies Classement Déclassement Démolitions
L’histoire commence en 1968. Grand Mare est une ZUP, zone à urbaniser en priorité. Lods reçoit enfin la commande : 500 logements HLM à ossature métallique. Un système mis au point avec la collaboration de Péchiney Saint-Gobain. Un manifeste de la recherche architecturale en lien avec les procédés industriels.

Cependant, le système montre vite ses faiblesses. Une suite d’incendies dès 1981, pas vraiment expliqués. Pas de résistance au feu. Des morts.

Trois bâtiments sont cependant classés aux Monuments Historiques en 2010 pour leur « intêret manifeste architectural et technique ». Puis, en 2011, un rapport du Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable produit un rapport intitulé « Quel avenir pour les Lods ? ».
C’est le début d’une très longue fin…

 Marcel Lods
@T.B.

Chroniques d’architecture – Façades en éléments préfabriqués légers : « les verres et acier », c’est leur nom pas très bucolique… Pourtant, les 25 plots sont disposés en plusieurs groupes de petits immeubles R+3, chacun d’une vingtaine de logements seulement. Un environnement verdoyant. Un paradis ?

Pierre-René Lemas – Le beau doit être un droit social. Il y a une ambiguïté de départ. Pour Lods comme pour tous ceux du mouvement moderne, le beau c’est l’efficace. C’est une démarche architecturale expérimentale. Fabriquer en usine, assembler sur place, aller vite, les innovations techniques, comme cette idée du vide entre les cloisons, la lumière, l’éclairage, et encore plus vite. Jusqu’au milieu des années ‘70, tout le monde est enthousiaste, on veut être heureux dans un cadre nouveau… Dans ces années-là, tout le monde trouve épatants ces grands ensembles que tout le monde vomit aujourd’hui. Après il faut vivre…

Lods a-t-il oublié de faire ville ?

C’est exactement cela. Lods faisait partie du mouvement fonctionnaliste. L’aménagement du territoire et de l’espace, pour lui c’est Le Corbusier. Mais si Le Corbusier avait réalisé la Cité Radieuse de Marseille où les habitants pouvaient vivre en autarcie, cela n’intéressait déjà plus Lods, qui lâche l’aménagement du territoire pour n’être que sur le procédé constructif. C’est le paradoxe de cette époque. On oublie de faire ville. On veut faire une démonstration technique. On ne réfléchit pas au-delà. Et on se heurte à la vie.

Comment expliquer cette terrifiante série d’incendies dès 1975… Huit feux, cinq morts, des étages entiers détruits, des dizaines de gens évacués… Une malédiction ?

Il n’y avait pas dans les années ‘60-70 les obligations de désenfumage ni celle de tenue au feu, pas de barrières coupe-feu. Ni les obligations de cages d’escalier encloisonnées, ni des espaces de cantonnement. Rien de tout cela n’existait. On enrobait d’amiante et on ignorait la propagation des fumées toxiques. L’idée géniale de vide entre les cloisons contre le bruit et la déperdition thermique engendre en fait des catastrophes à cause des appels d’air. Il n’y avait pas non plus l’obligation des matériaux ignifugés. Le fer se tord à la chaleur. Les structures se déforment.

 Grand Mare
@T.B.

Plusieurs de ces plots dont le numéro 2 obtiennent cependant le classement aux Monuments Historiques par arrêté du 9 juillet 2010 pour « son intérêt manifeste architectural et technique ». Pourtant en 2023 la mairie de Rouen réclame la désinscription au préfet de Seine-Maritime pour que l’immeuble puisse être démoli.

En 1992 plusieurs immeubles ont été réhabilités. Mais en 2008, malgré une dernière campagne de rénovation, il a été décidé de démolir trois immeubles non habités, et quatorze autres en 2013. Pourquoi après cette première grande réhabilitation, de nouveaux incendies adviennent-ils en 2011 et 2012 ? Je n’ai pas de réponse. C’est un mystère.

Après le premier incendie les habitants se séparent en deux. Une partie veut changer, démolir. L’autre dit que c’est formidable, que c’est chez eux. Il est aisé d’oublier que démolir et reconstruire est aussi un cycle de vie, un temps long. Le débat s’est noué entre patrimoine et sécurité. Jean-Benoît Albertini (5) voulait conserver et réhabiliter comme élément du patrimoine. La gauche disait qu’il fallait tout démolir. À l’époque c’est aussi un débat politique. Les bâtiments ont continué à se dégrader malgré l’inscription à l’inventaire supplémentaire des Bâtiments Historiques, parce que l’État n’a pas mis un sou.

La liste des incendies et des morts a eu raison des dernières réticences. Par arrêté, le préfet autorise la démolition des bâtiments classés. Il y a toutes les chances que cet arrêté ait été illégal. En même temps cela pose une vraie question : fallait-il garder un patrimoine dangereux ? Est-ce intéressant de faire du façadisme ? Faut-il garder comme un décor ?

Dans quelle direction doit s’orienter la politique du logement social aujourd’hui ?

Une réflexion doit s’engager sur les « tiers-lieux » à mi-chemin de l’habitat et de son environnement extérieur. Il faut penser aux locaux d’usage collectif, aux espaces de jeux ou d’activité pour enfants et adolescents, aux cafés, aux jardins et aussi aux espaces de travail partagé.

Il faudrait pouvoir prendre en compte les espaces d’usage collectif dans le calcul du financement du logement social fondé aujourd’hui sur la seule surface utile. Les espaces de coworking ont vocation à se multiplier au bénéfice de travailleurs indépendants, d’entreprises de petite taille ou de réseaux d’économie solidaire et à favoriser le télétravail. Ils doivent pouvoir s’implanter dans des lieux proches du domicile comme alternative entre le travail dans le logement et le travail au bureau. Les tiers-lieux ouverts au travail n’ont de pertinence que lorsqu’ils sont à proximité de l’habitat et permettent d’éviter les longs trajets en même temps que l’enfermement chez soi.

Et pour ce qui concerne l’existant ?

La production neuve annuelle de logements ne représente que 1,1 % du parc existant. C’est donc sur le parc ancien que l’accès à la qualité constitue un enjeu majeur, en termes de confort et d’espace. Citons par exemple la tour du Bois Le Prêtre à Paris (2012) ou le quartier du Grand Parc à Bordeaux (2017) de Lacaton & Vassal. Les chartes territoriales devraient être prolongées par une concertation des habitants. C’est la condition même de leur acceptabilité.

Marcel Lods
@T.B.

Que démontre cette histoire des Lods de Grand Mare, dont il ne reste qu’un seul plot, rénové, où s’est installé le siège d’un club de hockey, et qui n’était justement pas celui qui avait fait l’objet d’un classement ?

Qu’il n’y a pas de continuité des politiques publiques sur l’aménagement des territoires, ni sur l’urbanisme… Il y a eu la mode des pavillons, les chalandonnettes, puis les maisons Bouygues. Aujourd’hui il ne faut pas densifier, pas consommer de surface. À un moment il fallait tout surélever de deux étages, la ville sur la ville, après il fallait construire des petites maisons au sommet des immeubles. C’était horrible. Alors ? Que faut-il faire ? Réapprendre à faire de la ville. Savoir démolir la ville quand elle n’a pas réussi à naître. Il manque l’analyse de base. Qui va-t-on loger ? Savoir de quoi et de qui on parle… D’ici 2030, 30 % de la population aura plus de 60 ans, soit un quart de la population. Par ailleurs, 25 % des familles aujourd’hui sont monoparentales. C’est énorme. Cinq millions de personnes sont sous le seuil de pauvreté en France, plus de quatre millions de personnes sont mal logées ou pas logés. Au bout de quinze ans, une grande partie des couples divorcent.

Comment aménager la ville en fonction de ces populations ? Il faut tenir compte de la vraie vie d’aujourd’hui. À partir de l’aménagement urbain, il devient possible de travailler sur le bâti, à commencer par les équipements publics. Ensuite seulement peut-on réfléchir au type de bâti, pas le contraire. On peut aussi se mettre au bord de la rivière et pêcher…

C’est un sujet très compliqué pour les élus d’une ville parce que les choix à faire sont ceux du temps long : de la conception du projet à la remise des clefs, il se passe des années. Qui plus est, ce qui est bâti aujourd’hui est appelé à durer des décennies. La clé sans doute est de partir des habitants, de leurs rêves, de leurs besoins et, aussi, de leurs craintes. Et de gérer tous ces temps qui sont ceux de la vie… 

Propos recueillis par Tina Bloch

(1) UAM Union des artistes modernes
(2) Dès les années ‘30, Prouvé et Lods avaient travaillé étroitement ensemble sur la mise au point d’une maison familiale métallique et usinée (Peter Uyttenhove Marcel Lods Une vie. Biographie inédite).
(3) L’école de Suresnes était dotée de faces vitrées mobiles pouvant s’ouvrir à volonté pour profiter des bienfaits du soleil.
(4) La Maison du Peuple est conçue avec des éléments fixes produits par les Forges de Strasbourg et des façades constituées d’éléments mobiles et démontables fabriqués par les Ateliers Jean Prouvé. La salle de réunion se transformait en salle de cinéma et le rez-de-chaussée abritait un marché. Elle est classée aux Monuments Historiques en 1983.
(5) Jean-Benoît Albertini est secrétaire général du ministère de l’Intérieur de 2020 à 2023, puis Préfet de Seine-Maritime

* Lire notre article Le logement social au rapport : caillou ou pavé dans la mare ?

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Par Tina Bloch Rubrique(s) : Politique, Rencontres

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