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Accueil > Chroniques > Chroniqueurs > Chroniques des méandres > À Grenoble, un Plan-Chien pour la « cani-accueillance »

À Grenoble, un Plan-Chien pour la « cani-accueillance »

9 septembre 2025

Stèle Plan Chien
@J.P.C.

La ville a toujours accueilli les animaux, vivants, pour qu’ils travaillent, morts, pour qu’ils nourrissent. Aujourd’hui, l’Animal habite la ville, sa mémoire, ses parcs et ses magasins ; trois aspects de l’urbanité animale. Chronique des méandres.

La ZAC de Bonne, 25 ans après sa création, est devenue un quartier de Grenoble (Isère). Conçue et réalisée par Christian Devillers, architecte urbaniste, Aktis, architecte en chef, et Jacqueline Osty, paysagiste, le site fut l’un des premiers projets de centre-ville basé sur la démarche HQE. Il a reçu, en 2009, le Grand Prix Écoquartier décerné par le ministère de l’Écologie de l’époque.

Les thèmes retenus prônaient la mixité sociale, la qualité de l’espace public, la mobilité douce et la maîtrise des dépenses d’énergie des logements, prémices de ce qui est devenu le Développement Durable. Les promoteurs immobiliers, d’abord vent debout contre les critères d’économie d’énergie appliqués aux constructions (BBC, RT 2005 – 40 %, QEB…) qui augmentaient les coûts de construction, ont finalement découvert que la Qualité Environnementale pouvait être un argument commercial.

La concertation préalable avec les services instructeurs des permis de construire (PC) fut, pour eux et leurs architectes, une nouveauté diversement appréciée. Des oppositions se sont manifestées. La discipline d’usage nécessaire à la performance énergétique a suscité des fantasmes, comme celui d’une brigade thermique parcourant le quartier, équipée de caméras thermographiques à l’affût des fenêtres ouvertes, telles les voitures gonio qui traquaient Radio Londres en 1940. Et puis des messages ont été inscrits sur les palissades de chantier. L’un des plus révélateurs criait : « HQE carcérale ».

Dans les 850 logements, dont 35 % en locatif social, et les bureaux de la ZAC de Bonne, la ventilation double flux et l’étanchéité à l’air ont fait leurs premières armes à grande échelle, au bénéfice de techniques et de compétences nouvelles que concepteurs et constructeurs ont développées. Les aides publiques et les financements mis en œuvre pour l’accès à la propriété et le logement social ont bénéficié à de nombreux ménages, au risque de favoriser une spéculation dont le bilan reste inconnu. Le site grenoblois est devenu, comme d’autres à Mulhouse, Nantes, ou dans le Vorarlberg, une référence de modernité urbaine très visitée. En 2025, le quartier de Bonne est un modèle réussi, au moins pour ses résidents, quoiqu’en disent ceux qui se plaignent des graffitis, des points de deal, des vols à la roulotte qui stigmatisent toute l’agglomération.

Biodiversité urbaine

Parmi ces habitants, de nombreux animaux qui jouissent de beaux espaces verts pour s’épanouir. Canards et poissons profitent d’un grand bassin, les grenouilles d’un autre, plus petit ; beaucoup d’oiseaux habitent les haies, les arbres et les jardins, où ils chassent les lézards et les souris ; l’été même un perroquet se promène sur l’épaule d’un jeune homme. Cette biodiversité inclut les animaux domestiques, des chiens surtout, qui jouissent d’un site extraordinaire pour faire jouer leurs maîtres. En fin d’après-midi nombre d’entre eux se retrouvent sur l’herbe et pratiquent la socialisation des hommes et des bêtes.

Aujourd’hui, l’écoquartier innove toujours. Le 28 août 2025, Éric Piolle, maire de Grenoble, et le conseil municipal ont invité leurs concitoyens « au dévoilement de la plaque en hommage aux animaux morts dans les guerres ». Une stèle a été dressée sur l’esplanade Alain Leray, le cœur du site, ancienne cour d’honneur de la caserne qui a laissé place au nouveau quartier de Bonne. Sur un bloc de pierre vertical repose une plaque blanche gravée de lettres noires, hommage aux « animaux ayant souffert et péri durant les guerres ».

Indifféremment, chevaux, ânes, mulets, pigeons, morts au champ d’honneur, gibiers des forêts et des champs de bataille, victimes collatérales, mais aussi vaches, cochons, poulets, lapins et dindons, sujets des razzias, pillages et marchés noirs, chiens, chats et rats, ensevelis sous les gravats des bombardements, pensionnaires des zoos, et combien d’autres inconnus, se retrouvent unis dans une même reconnaissance qui ne distingue ni les héros malgré eux, ni les morts de faim, ni les remèdes aux famines, ni les animaux sauvages pris dans les mouvements de troupes en rase campagne, ni les animaux domestiques… La liste est longue.

Une figure symbolise cette unité des espèces animales dans l’hommage qui leur est fait. Elle inscrit au-dessus des écritures commémoratives, le dessin de plusieurs profils d’animaux, encastrés les uns dans les autres, un cheval contenant un chien qui lui-même enrobe un chat, puis un oiseau et enfin une souris, dans une élégante alternance de noir et de blanc. Pour rendre hommage à tous ces animaux non humains (!), sans exception, il fallait donc être synthétique et concis. D’où la simplicité de la formule de l’invitation officielle : « les animaux morts dans les guerres ».

Cette globalisation, indifférente à l’espèce, à la situation, à la mission, au compagnonnage avec les humains, à toute singularité animale, est étonnante. L’évocation d’un massacre intemporel bien réel ressemble davantage à une sollicitation militante qu’à un hommage. La sensiblerie qu’elle exploite et la compassion qu’elle fait naître enterre ces animaux morts dans un dédain anonyme digne d’une fosse commune. Tous morts, tous pareils. Antispécisme, sort de cette stèle !

Le « Plan Chien »

Au cours de l’été, la ville de Grenoble a mis en place « un plan d’intégration du chien dans la ville »*. De quoi s’agit-il ? La formule synthétique de cette initiative figure sur le site de la Ville : « Améliorer la cani-accueillance de l’espace public ». Des mots aussi étonnants que l’intention elle-même. L’intégration, concept bien connu des architectes mais aussi des sociologues, laisse penser que l’objectif est d’incorporer (de nouveaux éléments à un système, dictionnaire Le Robert) ou d’assimiler (un groupe à une communauté, idem) les chiens dans leur globalité au groupe des humains qui constituent notre société.

Plus loin dans la page du site web : « Le chien fait partie du paysage urbain » puis la « cohabitation harmonieuse entre tous-tes ses usagers-ères ». Tous ces termes nous parlent, mais de sujets plus politiques que l’amour des bêtes. Quant à la « cani-accueillance », néologisme bureaucratique affligeant, dont l’invention dénote la faiblesse du concept, nul doute qu’elle sera honorée autour des parcs à crottes qui ponctuent le territoire. Le « Plan Chien » c’est « près de 7 hectares de liberté pour les chiens » repartis dans huit parcs de la cité pour « améliorer le bien-être des chiens dans la ville ». Le plan a besoin d’être communiqué et compris ; il prévoit l’action de médiateurs in situ pour expliquer le dispositif.

Comme souvent dans ce genre d’action publique intempestive et unilatérale, pas une donnée, pas une information qui établisse les bases de la question que traitée. Pas un mot sur les travaux et recherches qui documentent et justifient les mesures prises. Quelle population de chiens dans la ville ? 14 000 d’après Le Dauphiné Libéré qui cite la Ville. Quel bilan des équipements qui déjà les considèrent ? Quelles attentes des maîtres ? Quelles attentes du public non propriétaire-canin ? Quels besoins singuliers pour tous ces chiens ? Tous pareils ? Le « Plan Chien », avec majuscule et sans S, désigne une entité homogène alors que près de 350 races de chiens sont recensées dans le monde. Antispécisme, sort de ce Plan !

Le commerce du bien-être animal

Sans lien avec les deux innovations précédentes mais dans une proximité temporelle remarquable, au printemps dernier un magasin de la chaîne Animalis a ouvert à Grenoble, rue de la République, en plein centre-ville : 30 m² de vitrine, en angle sur deux rues piétonnes très fréquentées, à proximité directe de la place Grenette où se trouvent les bistrots et les restaurants, desservi par trois lignes de tramway : la plus belle chalandise de l’agglomération.

En cette rentrée de septembre la première vitrine propose pour chiens des « sacs de nourriture stérilisée » (?) et des fontaines à eau pour chats (un petit jet d’eau vertical recueilli dans une soucoupe, sans que la photo du produit ne permette de savoir si le chat doit agir pour avoir de l’eau ou si le débit est continu). Manger et boire, c’est la base du bien-être. Dans l’étal suivant des choses à mordre et à manger : restes d’esquimaux roses, cornets de glaces entamés, bretzel poulet, barres fromage… Manger encore, mais des restes de la consommation humaine jetés sur les trottoirs, histoire d’éduquer les animaux à la gestion des déchets urbains. Puis un « tapis éducateur super absorbant » pour apprendre au chien à être propre. Plus loin, poussette pour chiens et chats, identiques à celles où sont promenés les enfants en bas âge, et enfin, des cages, disponibles en trois dimensions, dans une proximité qui laisse songeur.

À l’intérieur du magasin, une multitude de produits, essentiellement des jouets et de l’alimentation, sont offerts aux regards des humains. Évidemment, car ce sont eux les cibles et qu’à première vue, aucun de ces objets, corbeilles, arbres à chats, cordes, laisses, harnais, jouets (en grand nombre et de toutes sortes), ustensiles de soins, n’évoque quoique ce soit de désirable aux chiens ou aux chats sans le truchement des maîtres qui, seuls en comprennent l’usage. Exception faite d’une vraie oreille de bœuf, « irrésistible friandise » dit la notice collée sur l’emballage, qui, bien mâchouillée, sera égarée sous les meubles du salon.

Les produits alimentaires constituent les deux tiers des rayonnages. Des sacs de croquettes aux goûts des viandes d’agneau frais, de poulet frais, de canard frais, de saumon frais, sans savoir que penser du sens du mot « frais » associé à des croquettes. À quand le « fait maison » et les produits du terroir ? Il y a aussi une multitude de boîtes de conserve en petits formats, des rations d’un repas, au thon, au saumon, à la viande. Et pour l’hygiène, en fin de dégustation, les produits d’ « oral care » qui rafraîchissent l’haleine et entretiennent les dents.

Tous ces produits cultivent un anthropomorphisme alimentaire et sanitaire surprenant mais compréhensible puisque ce sont les maîtres qui achètent. À faire douter de la spécificité animale des chiens et des chats. En sortant du magasin, un couple de jeunes trentenaires a proposé à leur chien un bonbon brun sorti d’un paquet à peine acheté. Il l’a ignoré. Encore un peu d’éducation à faire !

Sur son site internet Animalis propose à ses clients d’adopter un animal. Un terme anciennement réservé aux enfants orphelins ou abandonnés (adopter : prendre pour enfant légal), mais dont l’usage ambigu joue sur la notion de parentalité, une corde sensible épaisse comme un bout d’amarrage. La finalité, dans ce commerce, est de faire entrer un animal à la maison puis de le soigner, l’éduquer, le toiletter, le nourrir, le vêtir, l’amuser… En deux mots, l’intégrer et l’assimiler, comme le propose le « Plan Chien ».

Pas de lien entre ces trois faits ? Si, l’urbanité ‘animal friendly’ qui souhaite maîtriser les enjeux économiques, sociologiques et politiques du bien-être animal. Sur ce thème, l’ouvrage « Cause animale, cause du capital », de Jocelyne Porcher, offre une clairvoyance utile pour sortir de l’innocence coupable du gros toutou et du petit chaton. En effet, à l’approche des élections municipales, voire législatives, toutes les petites communautés seront à conquérir, y compris les chiens et chats. Un jour, pas si lointain, leur droit de vote fera débat.

En France, le nombre d’animaux domestiques progresse et la natalité baisse.

Jean-Philippe Charon
Architecte

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* Le chien dans la ville – Grenoble.fr

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Par Jean-Philippe Charon Rubrique(s) : Chroniques des méandres

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