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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l'architecte - Saison 7 > L'affaire Dubois vue par la police > L’affaire Dubois l’architecte vue par la police – Statistiques ?

L’affaire Dubois l’architecte vue par la police – Statistiques ?

25 mars 2025

AIDA_VUE PAR LA POLICE

Les vacances de l’architecte Dubois, tueur en série de blondes aux yeux bleus, sont parsemées de cadavres. Aïda, la seule flic femme du 22, le service parisien des disparitions inquiétantes, est sur sa piste accompagnée de Thiago, son homologue brésilien. L’inspecteur Joachino Nutello, dit Dr. Nut, patron d’Aïda, prend note des statistiques.(Cha. V).

Retrouver les personnages à l’œuvre

***
« 
Selon les statistiques, une personne sur cinq est déséquilibrée. S’il y a quatre personnes autour de toi et qu’elles te semblent normales, c’est pas bon ».
Jean-claude Van Damme
***

Chapitre V

Vendredi 26 janvier, 11h32, dans le bureau de Dr. Nut

Dr. Nut s’est souvenu d’une remarque dans les notes d’Etehl Hazel, la psy de Dubois, qu’il a réussi plus ou moins à corroborer : « ses victimes semblent vieillir avec lui », avait-elle noté. Alors il a fait ses calculs : il y a environ 18 millions de femmes entre 40 à 54 ans, la tranche d’âge de Dubois, en 2024. Mettons que 20 % soit des blondes, cela équivaut à 3,6 millions de cibles potentielles pour Dubois !!!! Combien d’architectes parmi elles ? Il a découvert qu’il y a en France environ 44 architectes inscrits à l’Ordre des architectes pour 100 000 habitants. Mettons que sur ces 44, 15 sont des femmes et 4 parmi elles sont des blondes, cela fait quand même plus de 2 500 cibles qui, sans s’en rendre compte courent un vrai danger, au moins 1 500 dans la tranche d’âge de Dubois.

« Et encore je ne m’occupe pas que des architectes », pense-t-il. Et encore ne s’occupent-il pas des féminicides qui se comptent par centaines. Au moins, en cherchant des personnes disparues, Dr. Nut a toujours l’espoir de les retrouver vivantes. C’est aussi, il le sait, ce qui anime son équipe. Les meurtres clairs et nets, ce n’est pas non plus leur affaire. Non, ce qui caractérise son métier, et sans doute ce qui le caractérise lui-même, c’est l’inquiétude, le fait de ne pas savoir. C’est le mystère qui engendre l’horreur. Après un meurtre, même si elle a beaucoup souffert, la victime ne souffre plus. Mais quand elle s’est volatilisée comme une chanson triste, qu’il n’y a pas de corps, le pire demeure imaginable jusqu’à ce qu’on la retrouve, morte ou vive. Et alors les policiers de la 22 peuvent aller se coucher. Mais il y en a tant… D’ailleurs Dr. Nut sait que la plupart des affaires liées à Dubois – il compte une bonne dizaine de « disparues » – pourraient être prescrites ou faire l’objet d’un non-lieu depuis le temps. Il a certes la conviction que les victimes de Dubois sont mortes mais s’il passe le dossier à la Crim., des ‘cold cases’ comme ceux-là, le dossier sera refermé aussitôt ouvert.

C’est pourquoi le bureau de Dr. Nut est punaisé de multiples portraits, de toutes celles et ceux que son équipe cherche encore, pas seulement les victimes de Dubois, mais Dubois est leur Graal, le premier et le seul meurtrier en série qu’ils croiseront jamais. Celui-là est aussi formidable et meurtrier qu’il est retors. Surtout, Dr. Nut sait que Dubois l’architecte conserve quelques-unes de ses victimes. Mais comment ? Et où est son mausolée ? Ha, si ses bâtiments pouvaient parler…

***

Vendredi 26 janvier, 8h09 (heure de São Paulo), 12h09 (heure de Paris)

Aïda est installée sur le balcon de son auberge. Il fait déjà trop chaud et trop moite pour dormir plus longtemps, son ventilateur pas suffisant pour se rafraîchir. La prochaine fois je prends une chambre avec climatiseur, c’est insoutenable, se dit-elle. Elle a commandé au lobby un jus d’ananas qu’elle sirote en même temps qu’elle écrit son rapport qu’elle enverra par mail à Dr. Nut.

Bonjour Patron, j’espère que vous allez bien à Paris, surtout avec Dubois au loin. Ici il fait une chaleur épouvantable, le pays est sous les fumées des incendies et j’en viens à regretter la pluie parisienne. Plus sérieusement, voici où nous en sommes ici.

Piscinas naturais do Cachadaço

Nous sommes allés à Piscinas naturais do Cachadaço, une piscine naturelle dans un paysage idyllique, dès que Thiago fut informé de la découverte d’un corps de blonde aux yeux bleus. En arrivant sur place cependant, la police locale avait déjà évacué les lieux et le corps de la femme morte (Isabella da Rocinha) avait été emmené pour l’autopsie. Apparemment, ce n’était pour la police locale qu’une simple formalité. Le commissaire en charge de l’affaire nous a fait un rapide topo, nous montrant les photos de la scène du crime, les causes de la mort étant pour eux déjà établies : un féminicide.

« Un féminicide banal ». C’est ce que nous a dit le commissaire. (Banal ? Mais comment un féminicide peut-il devenir banal ? pense Aïda. Comment en sommes-nous arrivés au fait qu’on considère qu’il est « banal » de massacrer sa femme ? J’espère ne jamais formuler une telle ignominie, même après 30 ans de carrière dans la police).

La veille, Isabella et son conjoint Marcello étaient à Trindade, village à proximité des Piscinas naturais do Cachadaço. Ils avaient loué du matériel de camping à leur auberge dans le but de passer la nuit sur la plage paradisiaque du Cachadaço, sauf que pour Isabella celle-ci s’est transformée en cauchemar. Ce sont des randonneurs qui ont retrouvé son corps sans vie jeudi à l’aube et ont alerté la police.

Le patron de l’auberge a expliqué que Marcello, qui avait commencé à boire, et Isabella se sont longuement disputés avant de partir, Isabella aurait apparemment préféré rester à l’hôtel. Bref, les photos montrent un corps ayant subi d’atroces violences : des ecchymoses et contusions jonchant tout le corps, de la tête au bas-ventre. Son visage était ensanglanté et la courbure de son nez montrait une fracture. Des marques plus prononcées, violettes, étaient présentes sur ses avant-bras indiquant qu’elle a certainement tenté de se défendre. Autour de son cou, de profondes traces rouges et bleues sont sans équivoque et témoignent d’une strangulation.

À l’arrivée des randonneurs le mari avait disparu, laissant sur place tous leurs effets personnels, ce qui a permis à la police d’identifier le corps et de refaire très rapidement l’historique des dernières heures de vie d’Isabella.

Son conjoint Marcello da Rocinha, qui dirige une entreprise de construction, est recherché dans les Etats de São Paulo et Rio de Janeiro.

Ci-après le récapitulatif ; en pj les photos qu’on a réussi à récupérer.
Nom : Isabella da Rocinha
Age : 49 ans
Profession : Institutrice
Jour du décès : Jeudi 25 janvier
Lieu du décès : Piscinas naturais do Cachadaço, Paraty, État de São Paulo
Description du corps : Ecchymoses, contusions, strangulation, fracture. Petite taille, corps charnu, cheveux courts blond châtain, yeux bleus.
Cause du décès : Étranglement et/ou coups.

(Aïda se surprend elle-même d’employer un tel ton neutre pour rédiger son compte rendu. Avait-elle imaginé en arrivant au Brésil découvrir autant de corps et faire des fiches récapitulatives de femmes mortes ? Les décrire avec cette objectivité lui permet, du moins elle l’espère, de mettre une distance suffisante entre elle et ces corps martyrisés. Ce qu’elle ne dit ni à Dr. Nut ni à Thiago, ni à personne d’ailleurs, est que toutes ces femmes hantent désormais ses nuits, surtout Gina qu’elle connaît par coeur. Les autres, même si elle ne les a jamais rencontrées, elle en rêve, les revoit en vie, souriantes, avant que Dubois ne se jette sur elles comme un vampire sur ses proies. Toutes les nuits, Aïda se réveille en sursaut, respirant à pleins poumons : est-elle bien vivante ? Oui ! Mais Gloria ? et ces femmes ? )

Nous n’avons parlé à personne de Dubois, là Thiago m’a fait passer pour une chercheuse – statisticienne – mais cette fois-ci j’ai senti le commissaire circonspect : pourquoi une enquêtrice française s’intéresserait-elle à cette affaire qui n’est pour eux qu’un féminicide de plus au fin fond de l’État de São Paulo ? « Comment êtes-vous arrivés si vite », a-t-il demandé, suspicieux, à Thiago qui a dû trouver un mensonge si peu adéquat qu’il n’a guère convaincu le fonctionnaire. Aussi, pas de passage à la morgue pour cette fois, nous essayons de nous faire discrets.

(Encore faudrait-il qu’il cesse de pleuvoir des cadavres. Comment est-ce possible ? Cela ne peut pas être de simples coïncidences mais nous n’avions jamais imaginé Dubois si, comment dire…, vorace ? Est-il devenu plus monstrueux encore ? Est-il devenu fou ? Et Gloria là-dedans ?)

Qu’en pensez-vous ? Féminicide ? Ou bien est-ce l’œuvre de Dubois ?

Après tout elle est peut-être morte comme Anastassia, étranglée par Dubois avec du fil à pêche… Et son mari disparu, peut-être est-ce aussi l’œuvre de Dubois puisque nous savons qu’il peut tuer des hommes à l’occasion.

Paraty

« Paraty, port préservé, à mi-chemin entre Rio et São Paulo, est la porte d’entrée de la ‘côte verte’ brésilienne. Architecture coloniale, nature foisonnante et bonne chère font partie de ses atouts charme », indique la brochure. Petit paradis donc…

Bref, nous sommes arrivés à Paraty hier en fin de journée. Cette fois-ci, j’ai trouvé facilement un projet d’architecture de Gloria : un restaurant de cuisine gastronomique en plein cœur de la vieille ville. On a déniché une auberge dans la même rue et j’ai pris une chambre avec balcon et vue sur la terrasse du restau. On ne devrait pas avoir de mal cette fois à les retrouver et les surveiller.

(Pour autant, j’espère qu’ils ont bien suivi le programme indiqué par Gloria au gars de Pinciguaba et qu’ils sont bien venus à Paraty, sinon on est foutus. Ok, pas besoin de dire ça au chef).

A +
Aïda
(À suivre)

Secrétariat du 22

Retrouvez tous les épisodes de la série L’affaire Dubois l’architecte vue par la police

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : L'affaire Dubois vue par la police

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