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Accueil > Editos > Paris, le jour d’après, je n’ai que faire de vos prières

Paris, le jour d’après, je n’ai que faire de vos prières

15 novembre 2015

@Chroniques d'architecture
@Chroniques d’architecture

Ce matin, il y a un étrange silence dans ma rue, de mauvais augure. En effet, habitant à Boulogne-Billancourt (en proche banlieue de Paris), devait se tenir aujourd’hui le semi-marathon. Tous les ans, ce dimanche en particulier, toute la famille est réveillée de bonne heure par un orchestre qui joue fort un rock bien balancé pour encourager les participants durant toute la course. Ce matin, dans ce silence assourdissant, on entend même les cloches de l’église de St Cloud, pourtant loin. Quel symbole ! Quelle tristesse !

Après la sidération des attentats, après la compassion, les condoléances et les messages pour rassurer famille et amis, vient une sorte de douleur sourde quant à la réaction de l’exécutif français, une sorte de honte à considérer l’étendue de la veulerie de ceux qui nous gouvernent. Depuis deux jours, les cinémas et les théâtres sont fermés, toute manifestation sportive interdite, tout rassemblement dispersé. Samedi, les écoles étaient fermées également. Même la tour Eiffel était éteinte hier soir. Bref, tout ce que ces fous de dieu exècrent – l’éducation, celle des filles en particulier, la fête, la joie, la culture, l’alcool, etc. – a été mis en veilleuse. Justement tout ce que détestent les idéologues religieux de toute obédience. Quelle victoire pour les abrutis !

J’aurai aimé au contraire que chaque participant à ce semi-marathon se voit distribué un T-shirt, bleu, blanc ou rouge avec écrit dessus «FUCK DAECH», (en anglais pour être sûr qu’ils comprennent bien parce qu’il y a plus de chances que ces enfoirés regardent CNN que ITélé), que dans chaque cinéma, chaque théâtre, chaque concert, la séance commence par un cri de défiance face aux assassins «FUCK DAECH», que justement la Tour Eiffel brille de mille feux, que chaque manifestation sportive commence par une Marseillaise. Les chaînes d’info en continu auraient eu quelque chose à se mettre sous la dent et ce sont les terroristes qui auraient grincé des dents au lieu de se réjouir, en regardant ces mêmes chaînes d’info, que leur opération ait réussie au-delà de leurs espérances à découvrir ainsi une ville tétanisée. DAECH brule des manuscrits dans des autodafés géants et nous on ferme les bibliothèques ?

L’Etat justifie ses actions en disant qu’il y avait peut-être d’autres cellules et voulait éviter un autre carnage. C’est un non-sens. Non seulement il n’a pu éviter les derniers en date mais rien n’aurait empêché ces autres cellules d’agir ailleurs. Ces gesticulations au plus haut niveau de l’Etat n’ont d’autre raison peut-être que de détourner les regards quant à ses propres responsabilités qui sont anciennes et de plusieurs ordres.

Si des Français ont pu se sentir à ce point privés de leurs droits et de tout avenir pour succomber aux sirènes d’une telle idéologie mortifère, cette infime minorité agissante n’en représente pas moins le sort de milliers de gens qui souffrent. Oui, l’incurie de l’Etat depuis 50 ans pour changer le sort des banlieues est patent. En a-t-il eu vraiment la volonté ? Mais, sans remonter si loin, regardons comment agissent nos gouvernements vis-à-vis des promoteurs de DAECH.

C’est un secret de polichinelle que l’Arabie Saoudite et le Qatar sunnites mènent leur propre guerre contre l’Iran chiite et DAECH, créé de toutes pièces et financé à coup de milliards, comme le fut Ben Laden, est leur bras armé. Du moins jusqu’à ce que ces chiens mordent la main qui les a nourri. Il est incontestable que l’idéologie – ne parlons pas de religion – wahhabite qui les anime est celle qui tient lieu de politique et religion d’Etat en Arabie Saoudite, où sont décapités légalement et en pleine rue ceux qui osent prôner un autre islam et, s’ils échappent à la décapitation, ce sont le fouet et, pour les femmes, l’honneur particulier de la lapidation.

Or, souvenez-vous, juste après les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Casher, quand le roi Abdallah d’Arabie Saoudite est mort, Obama et Hollande se sont empressés de saluer la mémoire de ce «grand ami» ! Ah bon, ces gens-là sont nos amis ? Etonnant comme nos gouvernants ne peuvent appeler les choses par leur nom. Ce sont des partenaires commerciaux et le commerce a depuis longtemps en politique pris le pas sur toute considération morale et éthique. Alors voilà nos amis. Et quand le roi Salmane, le demi-frère de l’autre qui l’a remplacé, vient en visite à Nice, la république bonne fille, pour des raisons de sécurité, lui offre de privatiser une plage publique et mute les femmes policiers ? Si tu n’aimes pas les femmes ou la vue de corps dénudés, va prendre des bains de sable dans le désert et baiser des chèvres enfoiré ! Sa sécurité est notre insécurité.

C’est à nouveau le cas avec notre nouvel ami, le président iranien Hassan Rohani qui a refusé d’être reçu à l’Elysée à une table où de l’alcool serait servi. Notre brave président l’a-t-il renvoyé à son eau claire et ses flagellations ? Non, la diplomatie ne voulait pas gâcher cette opportunité pour de nouveaux contrats pour notre industrie et un compromis fut trouvé. La prochaine fois, les ministres femmes devront porter un tchador ? Le courage aurait été de rendre public ces desiderata d’un mollah moyenâgeux et de refuser en ce cas de le recevoir. Mais non, les intérêts financiers sont trop importants. Puisque c’est le business qui décide, alors que toutes les entreprises qui font du commerce avec ces gens-là prennent en charge les dégâts occasionnés dans notre ville.

Je vois bien ceux qui vont venir pleurnicher en disant : «mais si on ne leur vend pas nos produits, d’autres le feront». Et bien qu’ils le fassent. Je n’ai pas entendu de toute la journée d’hier Dassault proposer une partie de son immense fortune amassée aux frais de la République pour reconstruire et dédommager les victimes des attentats. «Un acte de guerre» a martialement déclaré notre bon président. Mais quand nos rafales sont en démonstration et larguent des bombes sur DAECH, ce n’est pas un acte de guerre peut-être ? Non, les chaînes d’info se réjouissent bruyamment des chiffres en hausse de nos ventes d’armes. Hollande n’a certes pas le monopole de la veulerie. Pendant ce temps-là, en Ukraine… et Sarkozy qui va cirer les pompes de Poutine !

Pour en revenir à l’architecture. Peut-être avez-vous vu la réaction de Zaha Hadid lorsque, en septembre dernier, après avoir reçu la plus haute distinction anglaise décernée à un architecte, la première fois à une femme, et interrogée par la BBC sur le nombre de morts sur son chantier de stade de foot en vue de la coupe du monde au Qatar – là-aussi, merci Sarkozy – elle n’a pu que quitter le studio, après avoir nié que quiconque fut décédé sur son chantier. Ce serait bien le seul !

Les architectes du monde entier, les mêmes qui font vœu d’humanisme, bataillent ferme pour obtenir les contrats gigantesques au Qatar et en Arabie Saoudite, et en Russie et à Bakou en Azerbaïdjan et font peu de cas des régimes implacables qui les payent royalement. En réaction à cette interview pathétique de Zaha Hadid, Richard Rodgers a rappelé que «pour un architecte, l’éthique est impérative». En France ils sont quelques-uns à refuser de travailler dans ces pays mais la plupart de nos champions nationaux n’ont pas d’états d’âme. Les mêmes qui pleurent aujourd’hui les attentats à Paris. Si demain, tous les architectes français décidaient unilatéralement de ne plus travailler dans ces pays et le faisait savoir bruyamment, cela aurait de la gueule et inciterait peut-être l’exécutif de notre république dévoyée à faire montre d’un peu de courage. Mais bon, imaginez la tête des big boss de nos champions du monde de la construction, ces majors arrogants qui n’ont, eux, jamais eu d’états d’âme et savent aussi bien que les industriels qu’une journée de guerre rapporte plus que dix ans de paix !

Une dernière chose pour finir. Après les attentats de janvier dernier, nombreux sont ceux qui se sont affichés «Je suis Charlie» et, parmi eux, un grand nombre de jean-foutre qui n’avaient d’autre intérêt que leur nombril, voire leur trou du cul, se donnant ainsi une bonne conscience à bon compte. Aujourd’hui, le nouveau truc viral est «Pray for Paris». C’est ajouter l’insulte à l’injure.

D’une part – c’est en anglais vous avez noté – il s’agit d’une injonction. «Priez !» C’est bien une idée de gens confis en religion d’ordonner aux autres ce qu’ils doivent faire et penser. Et c’est une autre façon perverse de souligner la frontière entre eux, les méchants musulmans, et nous, les bons chrétiens.

D’autre part, les culs-bénis chrétiens sont aussi cons et dangereux que les culs-bénits des autres religions. Souvenez-vous des haines recuites qui se sont donné libre-cours lors de l’examen de la loi du mariage pour tous, ici en France. Souvenez-vous des haines recuites des conservateurs de tout poil qui bombardent pendant la semaine, font du profit et vont à la messe le dimanche. Chez nous aussi le fait religieux a repris du poil de la bête justement et la pauvre république laïque de se féliciter quand en quelques jours on apprend que la cathédrale de Créteil a été agrandie, que la Basilique de Saint-Denis – tombeau des rois, là encore, quel symbole – a été restaurée à grand frais d’argent public. Pas un mot de ces grand chrétiens quant à la misère du monde et pas un sou pour ces hommes et femmes qui, par œcuménisme, tentent avec leur pauvres moyens de venir en aide aux migrants de la jungle de Calais.

Alors non, ne priez pas pour Paris. Au contraire, peut-être rappeler que Paris est devenu la capitale de France, par acclamation s’il est permis de l’écrire ainsi, en résistant héroïquement pendant un an à l’invasion vikings en 885. Et que c’est au contraire le papiste Charles le Gros, qui en payant en 888 une énorme rançon aux vikings, a mis fin à la dynastie des Carolingiens. Les barbares vikings avaient au moins pour eux le mérite de la simplicité : le pillage. Le pillage, dans le monde occidental, est un peu plus subtil mais non moins organisé. Alors non, Paris ne vaut pas une messe, Paris vaut bien plus qu’une messe et qu’une rançon (pardon, un contrat mirifique), nos dirigeants actuels feraient bien de s’en souvenir s’ils ne veulent pas être à nouveau humiliés par des idéologues sadiques et pervers.

A nouveau, dans ce silence embarrassant, j’entends le carillon des cloches de St Cloud qui sonnent le glas de la laïcité et de ce qui fait (faisait ?) l’honneur de notre nation : notre liberté et notre mode de vie. Et si vraiment les gens de bonne foi, quelle qu’elle soit, veulent prier, qu’ils prient EN DIRECTION de Paris, non POUR Paris qui n’en a pas besoin.

Puisque nos gouvernements et capitaines d’industrie tremblent de peur pour leur contrats, autant alors que nous, Français, leur montrions ce qu’est le courage et rassemblons-nous, allons au cinéma et au théâtre, buvons, baisons et peut-être assurons-nous que chacun en ce pays, garçon et fille, ait accès à une éducation qui leur permettra de déjouer la folie destructrice des idéologues religieux.

Que chacun fasse sa part, avec ses moyens. Pour ce qui me concerne, je ne sais qu’écrire. Alors voici ma contribution.

Christophe Leray

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Editos, Politique

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