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Accueil > Chroniques > Chroniqueurs > Chroniques d'Alain Sarfati > Brutalité architecturale, comment résister au naufrage ?

Brutalité architecturale, comment résister au naufrage ?

23 mars 2021

Pritzker
Palais de Tokyo, Paris (2012) @Philippe Ruault

La beauté n’existe plus, seul le matériau dit la vérité, pourquoi chercher ailleurs ? Il faut accepter l’idée que la modernité a fait des dégâts. Il est temps d’envisager la rupture, elle est peut-être en marche. L’espoir du nouveau Prizker Prize comme modèle ?

Il y a de la brutalité dans l’air et, en même temps, l’appel de la nature sonne comme un refus de l’architecture auprès du public. La résistance en architecture ne consiste pas uniquement à proposer le contraire de ce qui est attendu, dans un entre-soi étouffant. Brute, rude, violente l’architecture est devenue le matériau, le terrain d’une lutte dont l’issue est certaine, sa perte. La seule manière d’avoir un faible espoir de l’éviter est d’affirmer des convictions.

Entre la joie et la tristesse. La joie c’est celle de voir l’architecture française au pinacle de la reconnaissance avec un troisième prix Pritzker. La tristesse est celle de voir la profession faire un amer constat : celui de sa relégation annoncée au profit d’une banalisation généralisée. Après la disparition du style en architecture, c’est au tour des règles de l’art, remplacées par des DTU dans une atmosphère morose, de se passer des architectes pour être appliquées.

Evidemment que les architectes sont atterrés.* Il n’y a pas d’architecture sans architectes. Il faut donc s’interroger sur ce qui pourrait être une fausse joie.

Rajouter une voix au concert de louanges qui déjà déferle sur les heureux lauréats ne me paraît pas la meilleure manière d’envisager l’avenir. Constater l’état des lieux permettra peut-être d’envisager la situation de façon plus sereine et ainsi d’éviter l’extension du champ de ruines. Il est vrai qu’en la matière les lauréats s’y entendent. Ils ont compris très vite à leur manière la définition de la bonne architecture d’Auguste Perret**.

Curieuse façon de prendre un beau bâtiment, art déco il est vrai, le mettre en ruines et voir si celles-ci sont belles ! Comment peut-on glorifier le déshabillage d’un édifice pour en faire une ruine prématurée et prétendre en révéler sa nature industrielle ?  Quelle belle leçon d’économie, de purisme, de minimalisme, de frugalité : il y a un vrai sujet à méditer.

Pritzker
Palais de Tokyo, Paris (2012) @Philippe Ruault

Le prix Pritzker a été attribué cette année à un couple de Français. Tous les articles expliquent que cette distinction est l’équivalent du prix Nobel, un peu comme si nous avions un nouveau Pierre et Marie Curie. La France est à l’honneur, il faut s’en féliciter, surtout dans cette période ou les horizons sont bouchés de toute part. Enfin une lueur une lumière.

De quel nouveau radium s’agit-il ? Il est vrai que l’architecture est très loin de la rigueur de la physique atomique. Dans le domaine artistique, la porte est grande ouverte sur l’interprétation. C’est le propre de toute œuvre d’art, la polysémie, la lecture entre les traits, entre les plaques de polycarbonate.

J’aurais aimé dans mon interprétation qu’il s’agisse d’une culture à l’écoute du monde, une culture qui fasse la plus grande place à l’appropriation lorsqu’il s’agit du logement, une culture qui s’oriente vers l’attention à la nature et qui mette tous ceux qui pensent que nous sommes sur les rives de la fin du monde, ceux qui prônent la frugalité, la morosité, le minimalisme, l’ascétisme, devant leurs responsabilités. Je rêve d’un manifeste pour désavouer la prédiction de Jozsef Vago qui pensait que, « chaque grande époque dans sa dernière période pleure son chant du cygne en produisant un art floral ».

Ni fleurs ni couronnes !

La France terre de culture a toujours rayonné à travers son architecture, à travers ses arts même s’il est vrai que sa lumière s’est affaiblie depuis la première guerre mondiale.

On peut voir dans cette reconnaissance le signe d’une véritable Renaissance que chacun appelle de ses vœux. L’école des Beaux-Arts est morte et avec elle le Prix de Rome, vive l’école.  On pourrait aussi dire qu’Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, par leur démarche austère, s’inscrivent dans un courant artistique qui a émergé dans les années soixante, l’Arte Povera, caractérisé par quelques traits saillants : frugalité, économie, minimalisme. Ils sont aussi caractéristiques de l’œuvre poursuivie ; ce n’est pas étonnant, l’époque actuelle se prête bien à une attitude, à un comportement qui consiste à tourner le dos à l’espoir, à la vie, l’homme est seul coupable des catastrophes qui perturbent la nature.

Dans ces conditions que faire ? C’est bien ce dont il s’agit : une reconnaissance mondiale pour des défricheurs de l’architecture à venir, pour la nouvelle modernité, devrait de mon point de vue être porteuse d’espoir, de plaisir, d’altérité d’attention à toutes les formes de natures.

Comment proposer la voie à suivre, comment entendre le cri d’alarme de Victor Hugo dans Notre-Dame-de-Paris, qui disait « ceci tuera cela » ? Déjà l’imprimerie mettait l’architecture en péril. Comment ne pas mettre en résonance la recommandation extraite de Temps moderne faite par Otto Wagner aux architectes : « si l’importance de l’architecte n’est pas encore pleinement appréciée, c’est parce que le langage qu’il utilise pour s’adresser au public est dans la plupart des cas complètement inintelligible ».

Les membres du jury avaient certainement en tête cette citation de l’architecte de la Sécession viennoise lorsqu’ils ont désigné le couple de lauréats.

Un siècle après L’ornement est un crime, d’Adolf Loos, la pureté et la vérité de la construction ont montré leurs limites, l’épuration est faite et il est effectivement temps de reconsidérer sérieusement l’architecture dans toutes ses composantes : sociale, technique, économique et notamment artistique. 

Parler de beauté redevient une nécessité, parler d’émotion et de sens est indispensable en pleine crise de confiance, au milieu d’une crise sanitaire sans précédent. L’époque doute de tout, de son architecture, de ses villes, des vaccins mais pas seulement : elle doute de sa capacité à produire du beau, du durable, du pérenne, elle doute du droit au plaisir, du droit de vivre.  Elle doute d’elle-même et c’est bien normal. Elle doute du progrès mais lorsque l’on doute du progrès, il vaut mieux aller s’enfermer dans un ermitage et attendre qu’une forêt primaire renaisse sur les sables du désert.

Peut-on encore être à la traîne, du land art, du body art, des minimalistes, de l’art abstrait ou conceptuel, de l’art brut ? L’architecture, si on veut la défendre et affirmer son utilité publique, est un art à part entière, un art à part qui n’a pas à traîner derrière un art contemporain hésitant sur ses fondations. Les images se bousculent et tout à coup prennent du sens. En pleine cérémonie des Césars, la mise à nue de Corinne Masiero qui se prend pour Gina Pane, rend compte de l’état du cinéma français. Un art du dénuement est en marche et c’est d’autant plus paradoxal que l’architecture était un art de l’habillement, de la protection contre tous les outrages du temps. Reste à espérer une cérémonie de remise du Pritzker plus digne que celle des Césars.

 Lacaton & Vassal Beauté
Logements sociaux, Paris (2013) @Philippe Ruault

Nos lauréats à leur manière ont attiré l’attention du monde entier sur le dénuement de l’architecture française, un travail d’artistes. C’est le sens de l’œuvre d’art moderne que de provoquer, faire prendre conscience et c’est rarement le cas de l’architecture que je considère pourtant comme la dernière grande activité artistique. En ce sens c’est une grande réussite : il n’y avait pas mieux pour rendre compte de l’état de l’architecture dans le monde et en France tout particulièrement ! Les autruches vont être obligées de sortir la tête du sable, un vœu pieux peut-être mais il faut avoir confiance, et j’ai confiance dans la capacité à réagir.

Le désespoir est là, on a touché le fond, il n’y a plus qu’à donner un grand coup pied pour remonter ! L’époque attend mieux… L’économie, l’art, l’usage, le contexte, la technique, la réglementation sont dans un même bateau, celui de l’architecture qui va couler : que faut-il sauver ?

L’art. Il faut revendiquer haut et fort la dimension artistique de l’architecture avant sa disparition parce que c’est ce que le public attend. D’abord l’art, surtout parce-que le reste est déjà perdu, si l’on veut avoir une chance de remettre le bateau à flot et sauver ce qui est sauvable, la beauté, l’émotion, le sens que l’on donne aux choses. Il faut montrer la voie, sortir de l’ornière dans laquelle l’architecture s’est laissé entraîner, prise par un tsunami, la première guerre mondiale, dont elle ne sait pas remise.  Les architectes ont suivi, parfois précédé les crises, celle que nous traversons aujourd’hui est l’occasion de remettre l’architecture sur le chemin. Sortir de l’urgence comme prétexte et enfin affirmer des convictions, prendre des positions claires.

Cette nouvelle reconnaissance donne une occasion unique de faire un inventaire, les récompenses sont là pour montrer les voies à suivre. L’architecture en quête d’autonomie doit se réinterroger sur ce qui permet de dire que c’est une activité artistique et ne plus être à la traîne des courants artistiques qui finissent trop souvent dans des mers de sable. L’Arte Povera était une attitude, un comportement, une façon de tourner le dos à la société de consommation.

L’intérêt pour le processus, la démarche, la méthode ne suffit pas ; si l’on évacue le sens et l’émotion, il reste peu de choses. Il reste une démarche nourrie par une idéologie, celle de la répétition, celle de la conception de l’industrie du dix-neuvième siècle. Il reste une esthétique pauvre qui rend compte d’un projet sans lendemain. Il reste l’illusion d’une construction économique mensongère puisqu’elle triche sur la réalité de l’économie de la formation des prix et donne l’illusion de construire de façon industrielle alors qu’il s’agit d’un artisanat qui ne dit pas son nom !

Il serait plus juste de faire de l’architecture une activité de composition d’assemblage de composants industriels. Encore une défaite des architectes, elle devient patente aujourd’hui car la diversité est une attente d’autant plus partagée qu’elle est la chose la plus naturelle. La biodiversité comme la démarche bioclimatique sont les portes d’accès de la nouvelle modernité. Elles ont rajouté du malheur aux gens en rendant l’identité impossible. 

Nous sommes au vingt et unième siècle, Aujourd’hui la réponse à faire à Victor Hugo apparaît de façon lumineuse et enthousiasmante. Après la révolution de l’imprimerie, nous sommes entrés dans celle du numérique et c’est le matériau du salut. Les architectes savent construire en pierre, en béton, en bois, en terre, en acier, ils savent choisir en fonction des circonstances, des contextes, ils ont aujourd’hui un nouveau matériau à leur disposition, qui reste trop souvent un simple outil.

Le béton apporte la plasticité, l’acier augmente les performances, le bois, le verre, le plâtre, la paille la laine de mouton comme le verre complètent une large palette de matériaux disponibles. Le béton de l’avenir, celui qui va nous permettre tous les exploits si nous savons le maîtriser, « le conduire », culturellement le matériau de l’autonomie de l’architecture, celui qui va lui permettre de retrouver toute son importance, de réaliser tous les rêves, est là. Curieux matériau qui brille par son immatérialité et n’attend qu’une chose, un projet dont la complexité mettra en rapport la culture et la nature.

Faire de l’architecture autre chose qu’une imitation de l’industrie. L’industrie produit tous les composants non pour rendre compte de cette activité mais pour en faire les instruments d’un langage pour que le sens jaillisse de cet assemblage savant qu’est l’architecture. L’inquiétante immatérialité de ce nouveau matériau/outil, le numérique, va se transformer par la magie du projet. Sa capacité à émouvoir est contenue dans l’expression d’un imaginaire métaphorique qui ne sera pas un redoublement de la peine infligée à ceux qui voient leur intimité de la cave au grenier, affichée en façade. 

Reste la réponse à faire à Otto Wagner, qui attendait un langage compréhensible tout à la fois universel et chargé des imperfections, des infinitudes des prolongements différenciés. Un langage de la vie qui ne se contente pas du monument comme unique paradigme pour concevoir des logements et de cénotaphes pour enfermer la culture. 

Le langage, car c’est bien ce dont il s’agit, doit définitivement tourner le dos à une modernité internationale, uniforme pour devenir pluriel, accordé aux orientations, aux sites, aux cultures, à la nature. Il faut inventer, c’est le rôle des architectes, un langage polysémique qui fasse que l’architecture ne touche pas le seul jury du Pritzker mais le public le plus large possible, celui auquel elle s’adresse. 

Un langage de la nature, un langage qui contredise la prédiction de Jozsef Vago sur la fin d’une époque et redonne poétiquement, artistiquement, courageusement la place que la nature a toujours eue dans l’architecture. L’architecture relie, rassemble, réunit, c’est l’essentiel de son sens, du ciel aux abysses. 

Alain Sarfati
Retrouvez toutes les Chroniques d’Alain Sarfati

Les articles de notre dossier Pritzker 2021
– Pritzker 2021, plastique bien française ?
– Lacaton & Vassal, un Pritzker et quelques paradoxes
– Brutalité architecturale, comment résister au naufrage ?
– Mais pourquoi diable un Pritzker français ?
– Lacaton & Vassal, le jury du Pritzker 2021 explique son choix

*Batiactu 19/03/2021
** « L’architecture c’est ce qui fait de belles ruines ».

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Par Alain Sarfati Rubrique(s) : Chroniques d'Alain Sarfati Mots-clés : Lacaton & Vassal, Prix Pritzker

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