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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l’architecte – Saison 4 > La colère, dernier recours de l’architecte ?

La colère, dernier recours de l’architecte ?

14 septembre 2021

Recours

Comme dans un mauvais film américain, Dubois voit ses projets progressistes contrariés par la sécheresse imbécile des parangons de vertu et des ayatollahs verts. Ethel Hazel, sa psychanalyste, se demande ce qui chez l’architecte suscite sa violence : les recours comme autant d’atteintes à son intégrité ?

***

« La brutalité est le recours de ceux qui n’ont plus de pouvoir intérieur ». Anne Hébert

***

Ding Dong

L’architecte est énervé, c’est tout juste s’il ne serre pas les dents. Il s’installe sans un mot et, une fois allongé, ferme les yeux et prend une profonde inspiration.

Ethel Hazel – Vous avez l’air perturbé. Que se passe-t-il ?

L’architecte – Vous savez, c’est difficile de lutter, de lutter contre les autres, de lutter contre soi-même…

E.H. – Que voulez-vous dire ?

L’architecte – J’ai passé ma matinée au téléphone avec le maire de ce village breton où j’ai gagné un concours pour un équipement public. Je vous en ai déjà parlé je crois. En fait, j’ai éclaté les différentes fonctions du programme en une série de petits équipements s’insérant sans heurt dans le contexte vernaculaire. Bref, j’ai fait un projet minéral destiné à se fondre dans la minéralité du village.

E.H. – Je me souviens, vous aviez une bonne relation avec ce Monsieur, le maire de…

L’architecte – Julien Le Gourrierec, c’est son nom. Un type épatant. Mon projet fait l’unanimité ou presque des habitants mais, par sa radicalité j’imagine, il a exacerbé les rancœurs latentes au sein du village entre, pour faire court, les conservateurs et les progressistes. Le maire tient bien son affaire cependant et les choses avançaient bien, j’ai même eu l’occasion d’y repasser cet été. Mais voilà soudain que nous devons faire face à plusieurs recours, dont un de la préfecture car, je cite, « il n’y a pas assez de bois et de végétalisation ». « Trop minéral », nous disent deux qui ont pris l’habitude de regarder les images tronquées des concours ‘Réventer Paris’. « Rendez-vous compte, avec le réchauffement climatique, à l’heure d’aujourd’hui, ce projet est inacceptable, et blablabla » et encore plus de blablabla des imbéciles. (Haussant le ton) Mais enfin, les habitants du village sont à cinq minutes de la lande et de la forêt ! Brocéliande est à vingt kilomètres. La moitié d’entre eux vivent à la campagne ! Ces gens-là ont-ils besoin d’allées forestières comme au Bois de Boulogne en plein centre-ville ? Aujourd’hui, dans le village, il n’y a pas un arbre, sauf sur la place de l’église, ombragée comme il se doit avec des arbres centenaires. En plus, dans mes bâtiments neufs, tous les matériaux sont locaux, y compris le bois des CHARPENTES (il crie presque), la culture est locale, la pierre et les ardoises sont vernaculaires et tellement épaisses qu’elles gardent le frais en été et le chaud en hiver mais, c’est vrai, l’expression est parfaitement contemporaine, contextuelle ET contemporaine, et c’est bien ce qui avait séduit le maire et ses adjoints. Quand ces gens qui s’opposent au futur comprendront-ils que leurs certitudes petites-bourgeoises issues en direct du XVIIIe siècle sont vermoulues et obsolètes ? Tandis qu’un sous-préfet entend se faire remarquer en faisant du zèle environnemental pour se faire mousser dans les gazettes locales. Et quoi encore, il va me demander un rond-point en forme d’Astérix et Obélix ? Misère… Vous vous rendez-compte ???

E.H. (surprise de sa véhémence) – Les recours font pourtant partie de votre métier. Vous m’avez même expliqué devoir les anticiper. Vous m’avez même parlé de ces professionnels des recours qui en font un quasi-racket. Vous êtes prévenu donc. Pourquoi vous mettre dans cet état ?

L’architecte (furieux, haussant encore le ton et se redressant un peu de son divan) – Mais chère Ethel, imaginez que des gens idiots et pointilleux, des confrères ou des consoeurs ou pire, des fonctionnaires, déboulent dans votre cabinet pour vous expliquer la vie, pour vous expliquer que ce que vous faites, que ce que vous et votre client – patient, pardonnez-moi – avez conclu de faire, n’est pas de bon goût, ou de bon ton, ou pas assez orthodoxe ou trop emphatique ou pas assez ceci ou trop cela ? Hein, maintenant imaginez que, comme pour nous autres architectes pour chaque projet, pour chacun de vos patients et pour chacune de vos thérapies, vous ayez droit à une impérieuse police de la pensée pour vous faire analyser droit… Hein, imaginez et dites-moi que cela ne vous rendrait pas folle !!!

E.H. (vexée parce qu’au fond, elle n’est jamais vraiment sûre d’un quelconque effet de ses thérapies auprès de ses clients. Un peu sèche) – Mais enfin il ne faut rien exagérer

L’architecte (exaspéré, levant les yeux au ciel) – Car évidemment, vous, vous n’avez jamais l’impression de bouillir au point qu’il suffirait de pas grand-chose pour exploser ? De faire un malheur comme on dit ? Non bien sûr, vous êtes trop bien élevée. Et puis ces recours, vous n’en avez pas, tout le monde se fout bien de ce que vous faites !

E.H. (ne se souvenant pas l’avoir déjà vu aussi agressif à son égard. La voix le plus neutre possible) – N’appartient-il pas à chacun de maîtriser ses pulsions ?

L’architecte – Cela dépend de ce que vous voulez dire par maîtriser. J’imagine que chacun a ses propres clefs pour gérer le stress du quotidien mais je vous assure que pour un ou une architecte, la vie est pleine de recours qui font vite monter la température, comme dans une cocotte-minute, la soupape tournant à une vitesse astronomique en essayant d’évacuer la tension.

E.H. – Et vous, quelle clé utilisez-vous pour relâcher la pression ?

L’architecte (qui s’est rallongé) – Je vais à la pêche, haha, vous le savez bien. Et puis, je suis sûr que dans cinq ans, quand le projet sera ENFIN livré et le dernier recours ENFIN épuisé et le pays débarrassé des cons, cette contrariété ne sera plus qu’une péripétie. En attendant je vais devoir préparer un nouveau voyage en Bretagne et je n’aime rien faire dans la précipitation.

E.H. (qui saisit l’opportunité) – Cette colère qui vous anime, c’est celle que vous ressentiez à l’égard de votre voisine, la comtesse quelque chose, comment s’appelle-t-elle déjà ?

L’architecte (avec mépris et un regain de fureur en détachant les mots) – Comtesse Helenja von Dujianoski.

E.H. – Oui, c’est cela. Vous sembliez lui vouer une haine farouche ?

L’architecte (pourquoi cette voisine l’avait-elle pris en grippe ? Il pense aujourd’hui que, dans son immeuble rupin, il devait bien être le seul roturier et sans doute ne connaît-il pas les bonnes manières avec les harpies dans son genre. Toujours est-il qu’il se souvient de ce jour-là : une affaire avec un promoteur venait de lui échapper et cette vieille peau l’avait à nouveau interpellé dans l’escalier avec mépris et… Ces quelques secondes de réflexion lui permettent de se calmer) – Ce n’était pas de la haine…

E.H. (qui sent qu’elle chauffe enfin) – Quoi d’autre en l’occurrence ?

L’architecte (après une courte réflexion) – Plutôt de la fureur car au-delà de l’homme, c’est aussi l’architecte qu’elle interpellait. En fait, cette vieille comtesse, riche, égoïste, avec des goûts qui sentent la poussière ou la cupidité, totalement indifférente aux autres et au principe de réalité, est le symbole des recours qui plombent les architectes et, à travers eux, la société toute entière. Voilà ce qu’elle représentait à mes yeux et voilà sans doute pourquoi nous en parlons aujourd’hui.

E.H. (le cœur battant mais, curieusement, sans peur cette fois) – Représentait ? Justement, que lui est-il arrivé ?

DRINNNN, DRINNNN

La sonnerie annonçant la fin de la séance les surprit tous les deux. Finalement, pour évacuer la comtesse, il ne leur fallut pas longtemps et l’architecte était bientôt parti ; elle entendit ronfler le moteur de son scooter.

Fiche Anthropométrique des victimes de Dubois
Par Inspecteur Nutello, dit Dr. Nut

Nom : (Comtesse von) Dujianoski
Prénom : Helenja
Taille : 1,57 m
Yeux : Marron
Cheveux : Gris
Signes distinctifs : néant
Dernière adresse connue : 14 rue Guynemer, Paris VIe
Née le : 3 mai 1942
À :  Potsdam (Allemagne)
Signes particuliers : Néant
Aucun métier connu

Même s’il sait qu’il s’agit là d’une victime par accident de l’architecte, l’inspecteur au service des disparitions inquiétantes, les ‘J22’ comme on dit, tient à reprendre toutes ses notes dans l’ordre où lui sont apparues les victimes. La comtesse donc, seconde victime dont il apprend la disparition, qui ne ressemble en rien aux autres cibles de Dubois, toutes blondes aux yeux bleus… Pourquoi l’architecte a-t-il tué la comtesse, au risque de se faire repérer puisqu’elle vivait dans son propre immeuble ?

Le policier a compris au fil de son enquête que la comtesse Dujianoski apparemment affichait de grands airs et semblait unanimement détestée dans l’immeuble pour son irascibilité. Membre du syndic de copropriété, elle paraissait en vouloir particulièrement à l’architecte et le méprisait ouvertement devant les gens de l’immeuble avec souvent une ironie mordante, sous prétexte semble-t-il de quelques désordres sous le toit dès qu’il pleut.

Dr. Nut ne comprend pas vraiment l’origine d’une telle détestation entre ces deux personnages. Toujours est-il que la comtesse, qui vivait seule, n’a plus donné signe de vie depuis l’automne 2018 jusqu’à ce que l’on retrouve l’un de ses bijoux, une bague, dans les égouts. Le logement ne présentait aucune trace d’effraction et rien n’a été volé chez elle malgré une fortune en diamants et bijoux divers. Personne n’est venu se plaindre de sa disparition. Les voisins la croyaient en voyage ou ne savaient même pas qu’elle avait disparu depuis des mois !!!

L’architecte aurait-il fini par ne plus la supporter ? se demande l’inspecteur. Il se souvient d’une scène dans l’escalier entre la comtesse et Dubois que ce dernier avait raconté à Ethel lors d’une séance, épisode que le policier a retrouvé dans les notes de la thérapeute. Cela signifierait-il que Dubois peut être poussé à bout ? En tout cas, plutôt que le soin méticuleux apporté aux autres assassinats – car pour l’inspecteur, il en a la conviction, il s’agit bien d’assassinats – Dubois aurait agi ici sous l’emprise de la colère et de la rage ? Il ne serait donc pas complètement en contrôle de lui-même malgré sa méticulosité ? Dr. Nut le soupçonne. Ce pourquoi il estime que la comtesse mérite bien sa place dans la série.

D’autant plus que lui-même et ses collègues, pourtant des spécialistes, n’ont jamais remis la main sur la vieille dame. L’inspecteur apprit plus tard que le notaire en charge de résoudre le problème de l’appartement parisien avait cherché en vain un quelconque héritier. Ce qui, se dit Dr. Nut, ne répond pas à la question : qu’est-ce que Dubois a bien pu faire du corps ?

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

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