"Il y a des limites à la représentation, l’approche au plus près des choses passe forcément par l'imaginaire", explique Jean-Jacques Raynaud. Le Mémorial de l’internement et de la déportation de Compiègne (60), inauguré au printemps 2008, illustre ce principe. Sur ce sujet pas facile, l'architecte ... [Lire la suite]