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Accueil > Chroniques > Chroniqueurs > Chronique d’Outre-Manche > « Moments de compression » à Cambridge par Stanton Williams

« Moments de compression » à Cambridge par Stanton Williams

9 juillet 2024

Cambridge
Young’s Court Development signeé Stanton Williams. @Jack Hobhouse

Chronique d’Outre-Manche est allée à Cambridge (Royaume-uni) pour visiter les nouveaux bâtiments d’Emmanuel College conçus par l’agence Stanton Williams. Ce afin de vérifier si nous-mêmes, chacun de nous, sommes constitués comme des particules ou des comme des ondes ou des vagues.

À Cambridge, les nouveaux bâtiments d’Emmanuel College conçus par Stanton Williams sont intégrés dans un campus historique et créent de nouveaux espaces de tranquillité et d’interaction. Le Young’s Court Development, ou centre social, doit son nom à Thomas Young, ancien élève d’Emmanuel, dont les expériences en optique en 1801– les fentes de Young ont mit en évidence le phénomène d’interférences lumineuses – ont révélé que la lumière était constituée d’ondes lumineuses.

Aucune autre université n’a probablement élargi le champ des connaissances autant que Cambridge. Rien qu’en science, de vastes domaines ont été ouverts par ses chercheurs, tels que la physique classique et le calcul (Isaac Newton), la biologie évolutionniste (Charles Darwin), l’informatique (Charles Babbage et plus tard Alan Turing), la génétique moléculaire (découverte de la structure de l’ADN).

Le polymathe (physicien, médecin, mathématicien, etc.) Thomas Young, autrefois surnommé « le dernier homme qui savait tout » et qui a lancé le déchiffrement de la pierre de Rosette, a étudié la médecine à Emmanuel College. Aujourd’hui, la seule université mieux classée que Cambridge est Harvard, fondée par un ancien élève de Cambridge dans une ville américaine qui a copié son nom. L’environnement bâti a toujours joué un rôle important dans le maintien de l’excellence de l’Université de Cambridge, et l’expansion d’Emmanuel College au sein du campus apporte de nouvelles mises à jour à ses typologies vernaculaires et à ses agencements spatiaux.

Stanton Williams
Entre des blocs modernistes vus de l’autre côté d’un jardin, l’ancien bar Emmanuel College (à gauche, @ Stanton Williams) a été remplacé par un nouveau pôle social (à droite, @H.W.)

Gavin Henderson, associé principal de Stanton Williams, souligne que le projet de 5 760 m² réparti sur un site complexe de 7 800 m² est « un assemblage d’ancien et de nouveau ». L’agence a remporté le projet parce que la conception proposée tenait compte du rôle des petits espaces. « Les espaces intermédiaires sont aussi importants que les bâtiments », affirme Gavin Henderson. Avant d’y entrer, faisons un rapide aperçu architectural de la ville.

La population de Cambridge compte moins de 150 000 habitants mais, jusqu’à récemment, c’était la ville à la croissance la plus rapide du Royaume-Uni. Son expansion géographique inclut West Cambridge, qui abrite de grands bâtiments scientifiques et technologiques, et Eddington, un nouveau quartier durable pour les travailleurs clés de l’université. Le centre historique, délimité par la rivière et un espace vert, subit une pression intense mais reste intact : c’est là que se trouvent les plus anciens collèges de Cambridge. Ils sont comme des mondes autonomes dans leurs propres murs et portent l’ADN architectural des couvents, avec des cours en forme de cloître, de grandes salles à manger et des jardins clos.

Emmanuel College, où sciences et sciences humaines sont enseignées, a été fondé en 1584. En entrant par la rue animée de la ville, vous pénétrez dans une cour formelle avec d’un côté une chapelle signée de Christopher Wren, l’architecte de la cathédrale Saint-Paul. Au sud se trouve l’idyllique Chapman’s Garden, où l’on raconte que Thomas Young a observé l’interférence des ondulations de l’eau produites par les cygnes dans l’étang.

Au-delà se trouve le nouveau centre de socialisation de Stanton William. Pris en sandwich entre deux immeubles d’habitation de 1966, un bar lounge incongru et chic qui s’y trouvait auparavant a été remplacé par un café calme de 150 m² appelé Fiona’s.

Cambridge
Au Fiona’s @Jack Hobhouse

L’établissement, bardé de sapin Douglas, est fait de larges poutres en bois lamellé-collé que rythment des lucarnes. Deux côtés entièrement vitrés donnent l’un sur l’ancien jardin et l’autre sur le premier des nouveaux espaces de rencontre extérieurs : là où il y avait auparavant un local technique et un parking où arrivaient les livraisons de bière se trouve désormais la Cour Sud de 35 m de long, généreusement arborées et dotée d’un point d’eau et de bancs pour s’asseoir. Les blocs modernistes ont été rénovés par Stanton Williams et des installations photovoltaïques ont été ajoutées aux toits.

 Stanton Williams
À gauche (@ Stanton Williams), avant la création du nouveau South Court et un nouveau bâtiment de logements étudiants (à droite, @Jack Hobhouse)

À l’extrémité sud de cet espace apaisant se trouve le plus grand des nouveaux ouvrages de Stanton William qui offre aux étudiants 50 places d’études. Revêtu de briques danoises et caractérisé par des fenêtres encastrées entre des appuis et des linteaux en béton ou encadrées de bronze, le volume résidentiel en forme de C forme les trois côtés de de la deuxième cour, nommée d’après Thomas Young.

Le deuxième étage est légèrement en retrait et séparé en trois parties. À Londres, Manchester et dans d’autres grandes villes du Royaume-Uni, la taille des nouvelles résidences pour étudiants a considérablement augmenté et peut atteindre des hauteurs vertigineuses mais ici, conformément aux contraintes de plan local d’urbanisme, en matière de hauteur, Stanton Williams respecte l’échelle du campus existant.

Pour la construction, le bois massif a été envisagé mais étonnamment, car il évolue avec le temps, les bâtiments auraient surchauffé d’ici 2050. Le béton de structure a donc été utilisé mais réduit d’un quart en raison d’une fondation sur radiers plutôt que sur pilotis. Parmi les éléments intérieurs se trouvent des escaliers baignés de lumière naturelle tournant au sein de baies semi-circulaires. « L’idée d’un escalier en tant qu’unité sociale était importante », note Gavin Henderson

Stanton Williams
Escaliers dans les nouveaux espaces d’hébergement @ H.W.

Du côté est de la cour, un autre nouveau bâtiment, « plus vernaculaire » selon lui, ne s’élève que sur deux étages et possède un toit en pente. Sa forme polygonale en forme de losange subvertit subtilement la régularité de la cour carrée de 15 m x 15 m. L’autre côté long de ce bâtiment fait face au troisième nouvel espace extérieur du projet. Comme l’indique l’architecte, Furness Lodge Court « reflète l’aspiration à atteindre une échelle urbaine/résidentielle plus intime et le caractère d’espaces sociaux, dont un bar, autour de la cour ». Il mesure un peu plus de 10 m de côté, sa taille faisant écho aux cours des anciens relais de poste de Cambridge, comme l’Eagle Tavern, encore en activité, où Crick et Watson ont annoncé avoir découvert « le secret de la vie », la structure de l’ADN. (La contribution cruciale de Rosalind Franklin à la cristallographie aux rayons X a été apportée de Londres).

Furness Lodge, une villa classée du milieu du XIXe siècle située sur Park Terrace, à la limite du campus Emmanuel, est elle-même adossée à cette nouvelle cour. Stanton Williams l’a rénovée et ajouté un ascenseur. La villa dispose d’une ancienne aile de service qui constitue un autre côté de la cour. Un sol moderne en béton a été retiré et une nouvelle structure en bois lamellé-collé a été insérée pour supporter le toit et stabiliser les murs historiques. À l’intérieur se trouve le long comptoir d’un nouveau bar dont la double-hauteur et les fenêtres à claire-voie évoquent une église après une conversion laïque de style scandinave épuré. Une nouvelle extension en brique jouxte l’ancienne dépendance, ses toits parallèles en cuivre prolongeant et répétant parallèlement l’ancienne pente du toit.

Cambridge
Le nouveau Furness Lodge Court. @Jack Hobhouse

Elément central de Furness Lodge Court, un anneau sculpté de manière organique ne retient pas l’eau mais le verre. Il s’agit de la lucarne donnant sur l’espace le mieux caché mais le plus animé du projet, une salle événementielle au sous-sol à double-hauteur avec un bar en laiton et des murs en brique et en bois. Le construire à seulement deux mètres des bâtiments classés était délicat mais l’utilisation de palplanches en acier, plutôt que de pieux en béton et un mur de soutènement, a permis de réduire considérablement le coût carbone et les déblais du projet. D’autres espaces souterrains sont réservés aux parking, dont 100 places pour les vélos. De fait, la surface de parking sur le site a été réduite de moitié et ce nouvel espace autorise tout changement de fonction dans le futur.

Cambridge
La structure prend en charge l’ancienne forme pour le nouveau bar @Jack Hobhouse

Les interstices ou fentes entre les cours et les bâtiments créent un mini-labyrinthe qui s’étend de la Cour Sud jusqu’à une nouvelle entrée d’Emmanuel Collège sur Park Terrace. Les sentiers traversant le campus ressemblent à un tracé de village, l’échelle est humaine, la palette de matériaux est chaleureuse et variée, et il y a un élément d’inattendu au détour d’un virage. L’activité et l’interaction prospèrent dans ces espaces extérieurs intermédiaires et des projets comme Young’s Court nous rappellent comment les agencements et les textures intimes d’un village urbain créent un environnement attrayant et émotionnel pour les gens.

Pouvons-nous relier cette leçon à l’expérience à double fente de 1801 de Thomas Young ? Lorsqu’il faisait passer la lumière à travers des fentes parallèles, il constatait qu’elles créaient des motifs d’interférence. À cette époque, l’explication d’Isaac Newton selon laquelle la lumière était constituée de minuscules particules était une sagesse acceptée, mais les modèles d’interférence de Young ne pouvaient être créés que par des ondes. C’était une démonstration controversée et ce n’est que grâce aux travaux ultérieurs de scientifiques français tels que Fresnel que la révélation de Thomas Young a été reconnue.

Plus tard, la mécanique quantique a expliqué comment l’unité fondamentale de la lumière, le photon, est à la fois une onde et une particule, et a introduit une incertitude statistique pour la localiser. Aujourd’hui, la science de l’interférométrie, qui remonte aux fentes de Thomas Young, va jusqu’à détecter les ondulations des ondes gravitationnelles dans le continuum espace-temps cosmique lorsque les trous noirs fusionnent.

L’architecture devrait-elle traiter les gens comme des particules ou des vagues d’ondes ? La réponse est : les deux. Elle doit offrir à l’individu le meilleur environnement pour la fonction que remplit l’espace et favoriser son bien-être. Chaque individu est différent et son état dans un espace n’est jamais le même, ce qui pourrait être considéré comme une analogie de l’incertitude quantique de la position et de l’impulsion d’une particule.

En revanche, beaucoup de gens peuvent agir comme des ondes. L’architecture doit être conçue pour les vagues physiques de personnes qui se déplacent, par exemple dans les couloirs ou les entrées, voire dans des espaces aussi larges que ceux des aéroports ou des centres commerciaux. Nous pouvons encourager les interactions (ou « interférences ») – sociales, collaboratives, aléatoires – entre les personnes en les réunissant dans de petits espaces.

C’est exactement ce à quoi parvient le projet Young’s Court, ce que Gavin Henderson décrit comme l’occasion de créer des « moments de compression ».

Herbert Wright
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Par Herbert Wright Rubrique(s) : Chronique d’Outre-Manche

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