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Accueil > Editos > Parkings d’architectes et en voiture Simone ?

Parkings d’architectes et en voiture Simone ?

17 mai 2022

 HAA Parking Chambéry
@Cyrille Weiner

Le parking fait partie de nos vies à tel point que les architectes en construisent encore des grands, parfois de très beaux, un peu partout en France. Des bâtiments d’évidence faits pour durer. L’urbanisme dédié à la voiture jusqu’en 2070, une fatalité ? Et si cela dépendait au fond de la voiture plus que du garage ?

Par une belle journée de printemps, il a fallu se lever tôt, comme à chaque fois qu’il est question de montagne, pour aller découvrir avec Isabel Hérault le parking livré quelques semaines plus tôt, à Chambéry (Savoie), par l’agence Hérault Arnod, une visite de courtoisie en somme.

Le sujet est intéressant. La question du parking, surtout en centre-ville, fait aujourd’hui polémique. Le projet de Hérault-Arnod n’y a pas échappé et symbolise les débats et enjeux de société actuels. « Les recours ont été très tendus, ‘Non au Parking’ est devenu un sujet dans la campagne électorale », se souvient Isabel Hérault. Après les élections municipales, le PS et les Verts arrivés à la mairie ont stoppé net le projet, qui en était déjà au troisième étage…

A Chambéry, chacun convient qu’il y a une vraie nécessité de « traiter » la voiture. Si Grenoble, plus bas dans la vallée est pavée de montagnes, comme dit le poète, Chambéry, sur les hauteurs, est nappée de voitures. Ce qui s’explique facilement vu que personne ne descend plus de la montagne à cheval. Sachant qu’il n’y a jamais de bon endroit dans la ville constituée pour mettre un nouveau parking, comment lui donner pourtant une vocation urbaine et tenter à travers lui de redonner de la qualité au centre-ville ? D’où l’importance des architectes sans doute…

Bref, à Chambéry, les nouveaux élus ont arrêté le chantier, organisé une consultation citoyenne, ont demandé des images selon trois scenarii : les derniers étages transformés en espace public ; l’arrêt du projet à trois étages ; le projet original.

Il y a eu deux réunions publiques. L’architecte, originaire de Bourg-d’Oisans (Isère), en montagne donc, mais aujourd’hui parisienne où elle circule à vélo et en transports en commun, de pointer l’hypocrisie de ses interlocuteurs tous venus… en voiture ! « J’ai décidé de défendre le projet, de l’expliquer à des gens énervés, et cela ne s’est pas si mal passé », dit-elle aujourd’hui.

« Les architectes de Chambéry ont été très sympas et m’ont soutenue, le CAUE a organisé une visite de chantier pour tous. Le Dauphiné libéré a fait des articles plutôt élogieux. Tout cela a permis de désamorcer les bombes et, à la fin, nous avons fait le projet tel qu’il était prévu », se félicite Isabel Hérault.

Nonobstant que l’arrêt du chantier pendant plusieurs mois a sans doute coûté « un pognon de dingue » aux contribuables locaux, le parking et son Belvédère font aujourd’hui une œuvre, au moins à Chambéry un marqueur contemporain, ce qui vaut sans doute, au-delà de leurs qualités esthétiques intrinsèques, pour tous les parkings d’envergure.

De fait, les parkings abondent. Pour ne parler que des derniers que j’ai vus passer en trois ans à peine : Parking relais de la Neustrie au sud-est de Nantes (Loire-Atlantique) ; Parking silo de l’hôpital de Sens (Yonne), conçu par l’agence Patriarche ; Parking mutualisé à Paris-Saclay livré par GaP Architectes (cet ouvrage s’inscrit dans un ensemble immobilier plus vaste totalisant 75 000 m² SDP de logements en accession, logements étudiants, logements sociaux et commerces. Bref, d’aucuns considèrent que beaucoup de ces gens-là viendront en voiture). Parking Matabiau Ramblas de Toulouse (Haute-Garonne), par Taillandier Architectes Associés (TAA), livré en 2020 en partie haute des allées Jean Jaurès, les Champs-Elysées toulousains, 400 places en infrastructure au-dessus du tunnel du métro. Ou encore, toujours à Toulouse, de la même agence, le « Marché Parking » Victor Hugo, construit par l’architecte Pierre Laffitte à la fin des années ‘50 non loin de la place du Capitole et rénové en 2019.

Je pense encore au parking de K Architecture sur l’Ile-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), en limite d’un nouveau quartier qui se pratique donc à pied, ou encore à celui tout juste livré à Bordeaux (Gironde) par Ferrier Marchetti Studio sur les bassins à flot.

Cette liste est évidemment non exhaustive, chacun a vu un nouveau parking construit près de chez lui. Tous sont justifiés, avec plus ou moins de bonne foi certes, et tous plus ou moins bien dessinés, mais tous sont le résultat d’une réflexion urbaine qui engage le temps long. Pensée plus ou moins aboutie d’ailleurs ; encore la ville de Chambéry doit-elle maintenant faire disparaître les parkings au sol existants si les choses doivent s’améliorer. Il faudrait sinon imaginer que des maîtres d’ouvrage dépenseraient de 10 à 20 M€ sans y penser plus, et sans savoir qu’ils engagent leur ville et son fonctionnement pour 50 ans ? Il n’y a quand même pas que des neuneus ou des corrompus parmi les élus et les promoteurs de parkings !

Certes, la question de la voiture en ville passe sans doute par des solutions différenciées selon qu’elle est posée à Chambéry ou à Paris. Mais il suffit de passer le périphérique parisien, et plus généralement celui des métropoles, pour se persuader que la voiture a encore de longues années devant elle, tout simplement parce qu’un moyen de transport est aujourd’hui absolument nécessaire à l’homme. La voiture est accessible et démocratisée depuis 60 ans, il en faudra au moins autant pour trouver une alternative. En attendant, il s’agit donc d’évidence de construire des parkings le plus écolo possibles et non d’interdire la voiture.

C’est pourquoi le discours de la candidate Anne Hidalgo, maire de Paris, sur les forêts urbaines et la voiture ennemie existentielle, n’a guère résonné dans le pays, ni dans les montagnes forestières ni dans les campagnes céréalières. A tel point qu’il n’a séduit que 1,75% des Français, 2,25% à Paris.

Pourtant, le 4X4 boueux avec le pare-buffle, à Chambéry, c’est facile à comprendre. En revanche, le 4X4 tout neuf avec le pare-buffle dans le VIIIe à Paris, avec sa vignette Crit’air nickel parce qu’il transporte une tonne de batteries électriques, cela défie l’imagination, même la plus cynique. L’imbécilité et le m’as-tu-vuisme devraient avoir des conséquences pour leurs auteurs puisqu’ils en ont de catastrophiques pour la planète.

En réalité, le sujet n’est pas de savoir s’il faut ou non des voitures mais de quelle voiture nous voulons. C’est celle-là qui conditionnera nos modes de vies, nos villes, nos parkings et (en partie) notre futur. La voiture électrique dont la communication ‘corporate’ et gouvernementale aux abois nous bassine ? Disons-le tout net, c’est une folie.

Comment produire toute cette électricité nécessaire sans plus ni charbon ni pétrole ni gaz ou autres énergies fossiles dont nous SAVONS qu’elles ne manquent nullement – les nouveaux projets se comptent en milliards de tonnes de CO² – mais nous mènent à la ruine, sinon à l’anéantissement ? Avec le nucléaire et les 14 nouveaux EPR promis par Emmanuel Macron candidat écolo lors du second tour de la présidentielle ?

C’est ballot mais, parmi les raisons qui invitent à la circonspection, un réacteur nucléaire, a fortiori un EPR, se doit d’être rafraîchi, avec de l’eau le plus souvent. Aujourd’hui, à la sortie de la centrale de Chinon, la Loire a gagné quelques degrés. Ajoutez de nouveaux EPR sur la ligne, le réchauffement climatique et la sécheresse – laquelle sévit déjà aujourd’hui en mai 2022 autour de Chinon – et la Loire sera bientôt devenue si chaude qu’elle servira de réserve de biodiversité aux poissons exotiques. Et, en attendant ces EPR prévus à la saint Glinglin, envisager dès aujourd’hui les coupures d’électricité en cas de fortes chaleurs ou de grands froids désormais inéluctables.

Pendant ce temps-là, le pays construit sans discontinuer des voitures de plus en plus lourdes, à cause des batteries écolos, sous prétexte qu’elles sont électriques et bourrées de terres rares. Le revers de la médaille est qu’avec toute cette électricité quasi gratuite – 14 EPR rendez-vous compte ma brave dame et mon brave monsieur – il faudra bientôt pour être frugal bien comme il faut choisir entre la voiture électrique autonome ou le climatiseur et choisir ses horaires de coupures d’électricité à l’avance sur Internet.

La voiture autonome bardée d’électronique hors de prix ? Vraiment, si le conducteur – ha quel mot, un conducteur, quelqu’un qui conduit et est responsable de lui-même – est incapable de se garer sans l’aide numérique de son écran à iode venu de la planète Zorg à un prix phénoménal parce que relié à cinquante satellites et des bip bip si sonores qu’ils lui donnent l’impression d’être borgne au pays des aveugles, eh bien ce conducteur-là n’a rien à faire au volant d’une voiture !

Des solutions existent pourtant, en voici une, que nous avons déjà évoquée* : pour Paris par exemple, il suffit à Anne Hidalgo d’interdire intra-muros toutes les voitures DE MOINS de 25 ans ou 30 ans et le problème est réglé. Et de quelle façon ! Oui, interdire en ville les voitures NEUVES !

Voyons. Avec une telle règle, Paris intra-muros est dès demain débarrassé des embouteillages et de sa pollution car des voitures de plus de vingt ou vingt-cinq ans, il n’en reste pas tant que ça en circulation. Surtout, ce qui est rare étant cher, ces véhicules âgés deviendraient pour les riches, du jour au lendemain pour ainsi dire, une commodité vite recherchée assidûment. Les pauvres, qui en sont propriétaires, retireraient alors un prix excellent de leur vieille caisse, de quoi en tout cas s’acheter, même si elle coûte bonbon, une voiture neuve hybride ou électrique ou à hydrogène, en tout cas beaucoup moins polluante que l’actuelle pour faire ces longs trajets de banlieue à banlieue. Avec ce système de redistribution, ce ne serait plus un ruissellement du centre-ville riche vers la banlieue pauvre mais une inondation de cash ! Les riches pourront même, ce que n’osent pas les pauvres, se vanter de leur vieille tire bas carbone : en effet, plus longtemps dure l’usage, meilleur est le bilan carbone. Ce serait une incitation écologique pour tout le monde de conserver sa voiture.

En voici une autre puisqu’il faut sans doute sauver l’industrie automobile française. Puisqu’en France nous aimons les normes, imaginons que chaque nouvelle voiture particulière mise sur le marché dans ce pays ne doit pas peser plus qu’une 4L ou une 2CV circa 1960 et se montrer autant économe en énergie (de production et de fonctionnement) tout en transportait quatre personnes, un chien et les bagages de Paris jusqu’à Dakar et retour.

De fait, sur nos routes bien bitumées et parfaitement signalées, nul besoin de terres rares ou d’assistance par satellite. Ni de vitesse extravagante d’ailleurs, chaque nouvelle voiture sur le territoire sera également bridée à 130km, y compris celles des frimeurs prêts à payer cher le m’as-tu-vuisme. Malgré, ou grâce à, cette contrainte, les constructeurs automobiles sauront j’en suis sûr faire preuve d’imagination et d’innovation dans la frugalité au service de leur intérêt bien compris s’ils ont la certitude de pouvoir continuer à construire des bagnoles pendant encore 60 ans. C’est le cas, il y a déjà les parkings.

Christophe Leray

*Voir notre édito Pour Paris, ville d’histoire, il faut une flèche

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Editos, Politique

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