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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l'architecte - Saison 2 > La nécessité (politique) de l’un fait le malheur des autres

La nécessité (politique) de l’un fait le malheur des autres

22 octobre 2019

Ethel Hazel, psychanalyste à Paris, avait à peine ouvert la porte que l’architecte s’engouffra violemment dans le cabinet comme s’il était chez lui. Il avait l’air furax. Il ne lui laissa pas le temps d’articuler un mot qu’il était déjà installé et déjà parti à vomir tout ce qu’il avait sur le cœur.

***
«La nécessité nous délivre de l’embarras du choix». Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues
***

 

L’architecte – Vous vous souvenez de ces deux concours dont je vous ai parlé ? Oui ? Et bien figurez-vous qu’ils doivent être tous les deux totalement construits en bois, et en bois biosourcé qui plus est. Nous vivons dans un monde de dingue. Des chalets à Paris maintenant ! Je crois que l’adjoint Kasimir à l’urbanisme de Paris est complètement frapadingue. Il ne se rend pas compte. De toute façon, c’est à n’y rien comprendre, du haut en bas de l’échelle !

Ethel Hazel (Qui pour le coup n’y comprend rien) – Mais enfin, calmez-vous. Je veux bien vous écouter mais commençons par reprendre ensemble le fil de votre colère. Construire en bois avez-vous dit… Parce que ce n’est pas bien ?

L’architecte (Déconcerté) – Si c’est bien, pourquoi pas si vous habitez dans les Vosges. Ce n’est pas le bois le problème, le problème c’est l’injonction. Je suis architecte et, sans me demander mon avis, on me dit que je dois construire avec un seul matériau imposé, comme si un pianiste devait jouer avec seulement un quart de son clavier, et qu’avec les touches noires encore.

E.H. – Mais la planète…

L’architecte (Il la coupe brutalement, encore plus énervé) – Mais justement, ce n’est pas en mettant des bâtiments en bois à Paris et des barres de béton de promoteur dans les Vosges qu’on va l’aider la planète. Voyez-vous, quand Kasimir impose que tout le village olympique soit construit en bois, il appelle cela un défi mais je peux vous dire que, à quatre ans des jeux, c’est encore plus facile d’aller sur la lune. Il n’y a pas de filières en France capables d’absorber un tel choc sans compter qu’il faut du bois partout ailleurs dans le pays. C’est comme une overdose. Le premier qui invente la façade bois végétalisée porteuse qui récupère l’eau de pluie et transforme en engrais la merde des chiards, il est champion du monde et peut préparer son voyage vers Mars… Je n’en reviens pas de la sottise de ceux qui nous gouvernent, surtout juste avant les élections… Bla bla bla… Bla bla bla…

E.H. (Ne l’écoute plus vraiment, elle sait que quand il part dans l’une de ces tirades professionnelles, il vaut mieux attendre qu’il s’essouffle. Elle s’étonne cependant que son affaire – il est soupçonné de meurtres quand même – ne semble plus tracasser l’architecte. L’occasion pour la thérapeute de repenser à sa dernière rencontre avec le Dr Nut. Elle sent bien que cette relation est aussi compliquée pour lui que pour elle, professionnellement et personnellement. Mais ils sont contents de se revoir, même s’il n’est jamais très causant. La dernière fois, il est venu chez elle, elle avait l’impression d’un ours dans un magasin de dentelle mais il a vite trouvé ses marques. Le miel, c’était elle. Elle avait stocké de la bière dans le frigidaire puisqu’apparemment il ne boit que ça, sauf un peu de vin en mangeant avec elle, pour lui faire plaisir, mais à force d’avoir des goûts simples, elle n’était pas loin de penser qu’il n’avait pour lui-même aucun goût. Plus tard, elle avait craint un moment que son lit ne s’écroule sous ses assauts. Bong, bong, bong, l’un de ses tableaux – une reproduction du Cri, d’Edvard Munch, qui avait remplacé le christ sous lequel elle avait dû dormir terrorisée toutes ses années d’enfance – s’était même décroché du mur, le verre éclatant en mille morceaux dans un grand boucan, ce qui semble avoir fait redoubler d’ardeur l’inspecteur. En tout cas les voisins qui n’y étaient pas habitués en ont eu pour leur argent, se dit-elle, se remémorant l’instant sans déplaisir. Pour une fois, elle n’avait pas honte d’elle-même. Elle se souvient que, le lendemain, elle était particulièrement de bonne humeur) – hum, hum…

L’architecte – … Et pourquoi je ne construirais pas en béton ? Moi j’aime bien le béton, j’ai grandi avec le béton. C’est durable le béton, au sens que ça dure, ça dure 100 ans le béton. D’ailleurs, vous verrez qu’à la fin, pressé de finir à temps pour les jeux, la plupart des bâtiments du village Olympique auront du bois mais sur une structure béton. Le bois à l’extérieur, pour faire semblant de dire qu’on a tenu parole et qu’on n’est pas complètement à la ramasse, et la structure béton à l’intérieur pour que les Majors s’y retrouvent car vous savez peut-être qu’en France le marché…Bla bla bla…Bla bla bla…

E.H. (Toujours distraite. La docteure remarque cependant que, il y a un an, la faculté de l’architecte à ne parler que de son travail, c’est-à-dire son incapacité à parler d’autre chose que de son métier, donc de lui-même, l’aurait rendue furieuse. Là, avec l’habitude, elle sent une sorte d’empathie pour l’homme de l’art, comme il aime à se définir, totalement prisonnier de sa passion. De ses pulsions ?) – hum, hum…

L’architecte (Parlant fort) – … Et l’acier ? Hein ? Et l’acier ? Ha bon, et pour ceux qui aiment construire en acier, Kasimir il en fait quoi, il les envoie au goulag ? Tout cela n’a pas de sens. Et d’ailleurs il n’y a pas que les architectes qui y perdent leur latin. Vous avez peut-être entendu parler du projet Europacity ?

E.H. (Histoire de montrer qu’elle suivait) – oui, bien sûr…

L’architecte – Alors vous savez que le gouvernement vient de changer d’avis, il n’en veut plus. Ca fait dix ans que le projet est lancé, des millions ont été investis ainsi que des espoirs sans doute insensés mais qui avaient l’imprimatur de tous les gouvernements les uns après les autres et, soudain, dix ans plus, tard, le gouvernement change d’avis, à cause d’une élection européenne : oups, on s’est gouré, on arrête tout, remballez votre bazar et adieu EuropaCity. Ca c’est de la politique durable ! J’étais contre ce projet mais je me mets à la place du maire. Tout comme Kasimir à la gare du Nord, c’est oui depuis longtemps et, du jour au lendemain, c’est non. Kasimir, ce n’est plus une girouette, il se prend carrément pour le vent, sans se rendre compte sans doute à quel point il est proche de la vérité… Bla bla bla… Bla bla bla…

E.H. (Ethel Hazel sent bien la colère de l’architecte et elle repense à ce développement de l’affaire dont lui a fait part Dr. Nut la dernière fois. Pour le coup, elle sait qu’elle est seule dans la confidence car la presse n’en a pas parlé. L’inspecteur lui a raconté une drôle d’histoire à propos d’un chantier à Saint-Nazaire de l’agence Dupont&Dubois, un ouvrage d’art – un pont en fait, elle ne savait pas que cela s’appelait un ouvrage d’art et trouve le nom très joli, très poétique – pour lequel Dupont&Dubois s’était associée à une autre agence connue, d’après Dr. Nut car elle n’en connaissait pas le nom et l’avait déjà oublié. Bref, une rumeur courait qu’un corps avait été enfoui sous le béton dans une pile du pont. En fait, le grutier avait au dernier moment, juste avant de lâcher le béton frais, cru voir sur son écran de contrôle quelque chose au fond de la pile, une forme sombre. C’était une vision si fugitive qu’il a cru s’être trompé. Mais cette vision le turlupinait et, quelques jours plus tard, il en a parlé à des collègues lors d’une soirée. En attendant, l’architecte est toujours totalement absorbé dans sa litanie) – Hum, hum…

L’architecte – … Pour le coup je me demande si je dois me lancer sur ces concours mais, en toute honnêteté, je dois vous avouer que le challenge m’intéresse. Chez Dupont&Dubois, le bois était un matériau comme un autre et je n’ai jamais eu d’a priori. En plus, en s’appelant Dubois, je n’ai pas trop le choix hahaha. Il demeure que l’impéritie des élus est affligeante… L’important pour un architecte, comme pour tout un chacun d’ailleurs, est d’avoir le choix… Savez-vous encore que… bla bla bla … Bla bla bla…

E.H. (L’histoire du corps dans la pile est revenue aux oreilles de la police et dès que le Dr. Nut a su que l’agence Dupont&Dubois était concernée, il s’est rendu sur place. Il lui a raconté avoir interrogé tout le monde et, avec la police locale, ils ont fait des tests, des espèces de sondes qui permettent de voir à travers le béton, un truc comme ça avait-elle compris. Et les sondes avaient révélé qu’il y avait bien quelque chose d’organique dans le pied de la pile mais, pour citer l’inspecteur «il n’y a aucun moyen de savoir de quoi il s’agit, ce pourrais être un cerf, ou un sanglier, même si je n’ai aucune idée comment un cerf ou un sanglier se serait retrouvé là». Toujours est-il que, avait-il expliqué, toutes les piles du pont terminées et le tablier déjà posé, il n’était pas question de détruire l’ouvrage pour aller y voir de plus près. L’inspecteur avait vérifié, pas un employé n’était porté manquant, le patron du chantier semblait d’ailleurs de bonne foi, ses mesures de sécurité parfaitement réglementaires. Et puis personne n’avait disparu dans la région, donc ça arrangeait un peu tout le monde d’oublier l’affaire et de la mettre sur le compte de la rumeur. En revanche, Marie-France, la grande copine de Madeleine, manquait à l’appel. «Madeleine ou l’architecte étaient-ils présents au moment des faits ?», avait demandé Ethel. «Oui, tous les deux sont venus, mais pas en même temps», avait répondu le policier) – Hum, hum…

L’architecte – … Bla bla bla… C’est presque une question de déontologie et…

E.H. (Elle choisit brusquement de l’interrompre) – Alors justement, parmi ces chantiers dont vous m’avez parlé, il y en a donc en béton ?

L’architecte (Ayant l’impression qu’elle s’intéresse et lui donne raison, se détend enfin) – Tout à fait, d’ailleurs on a en ce moment un super chantier à Saint-Nazaire, un ouvrage d’art, ça veut dire un pont.

E.H. – Je sais ce que signifie un ouvrage d’art (Elle ne put s’en empêcher).

L’architecte (Se rengorgeant quelque peu) – Un ouvrage d’art et de la belle ouvrage avec ça. Sur ce projet nous sommes associés à une belle agence parisienne, c’est presque un honneur pour nous. Vous la connaissez peut-être, il s’agit de … Bla bla bla… Bla bla bla…

E.H. (L’architecte reparti dans son monologue, Ethel Hazel se souvient que Dr. Nut lui a expliqué avoir ‘clocké’ la voiture de l’architecte un mercredi matin sur l’autoroute de l’ouest, retour le même jour en début de soirée. Le lendemain, la même voiture a ‘clocké’ à nouveau aux péages, mais plus tard, avec une arrivée à Saint-Nazaire en début de soirée, juste à l’heure de fermeture du chantier. La voiture de l’architecte n’a pas ‘clocké’ aux péages au retour ce jour-là. Le béton a été versé à la première heure le vendredi matin. Elle interrompt l’architecte à nouveau) – Justement, puisque nous parlions de la planète, quand vous allez sur ces chantiers, comme celui de Saint-Nazaire dont vous me parlez, vous n’y allez pas en scooter quand même… Vous prenez le train ?

L’architecte – Ca dépend mais en l’occurrence je prends la voiture.

E.H. – Ce n’est pas très écolo…

L’architecte – Certes mais c’est encore le plus pratique.

E.H. – C’est votre voiture ?

L’architecte. Non, c’est la voiture de l’agence. D’ailleurs dans Paris je suis plus rapide sur mon scooter. Il y a d’ailleurs un trottinettiste bien placé pour le savoir hahaha. C’est surtout Madeleine qui l’utilise, et encore pas beaucoup. De temps en temps, quand c’est nécessaire, c’est un ou une employé(e) de l’agence qui prend la voiture. Donc nous sommes plutôt écolos finalement.

E.H. (Le cœur battant) – Et Madeleine allait sur le chantier de Saint-Nazaire ?

L’architecte (Que la question interroge. Il réfléchit) – Oui et non. Non parce qu’elle n’avait rien à y faire, pour le chantier, nous avons un chef de projet presque toujours sur place et j’y vais régulièrement. Mais je sais que Madeleine emmène parfois des invités sur ce site. Nous étions fiers de travailler avec cette agence connue sur un tel projet et je crois qu’elle aimait à le montrer à nos clients potentiels mais bon, à part ça, ce n’est pas comme si elle avait loué une chambre au Bon Coin à Saint-Nazaire.

E.H. – Parce qu’il y a des chambres au Bon Coin à Saint-Nazaire ?

L’architecte (Riant) – Comment le saurais-je, je n’y ai jamais passé la nuit ?

E.H. (L’architecte était enfin relâché et d’humer à converser. Alors, son cœur battant à tout rompre, Ethel se lance) – Et tout se passe bien sur ce chantier de Saint-Nazaire ?

L’architecte – Ecoutez oui, ou plutôt tout se passait bien jusqu’à ce qu’une…..

DRINNNNNN DRINNNNNNN

Ethel sursauta. Pour une fois que l’architecte était d’humeur badine, elle s’en voulait de n’avoir été réactive plus tôt. Il avait l’air de vouloir traîner et papoter encore mais elle attendait un autre client. «Ce n’est que partie remise», se dit-elle en le raccompagnant à la porte. Elle entendit le ronflement de son scooter. «Tiens», se dit-elle, «je ne sais pas ce qu’il a comme voiture». Elle se dit qu’elle demanderait bientôt à Dr. Nut, très bientôt.

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Psychanalyse de l'architecte - Saison 2

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