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Accueil > Chroniques > Chroniqueurs > Chroniques de Syrus > Destins contrariés > 2004 – 2012 : rue de Valois, trois mignons, et coquins avec ça, et une mignonne

2004 – 2012 : rue de Valois, trois mignons, et coquins avec ça, et une mignonne

1 juin 2021

Rue de Valois

Dans notre série* « Il n’y a rien de mieux pour flinguer une carrière politique qu’un poste de ministre de la Culture », les années 2004 – 2012 ne dérogent pas à la règle. Imaginons un quiz : parmi ces quatre titulaires, combien sont hétérosexuels… combien ont été condamnés à de la prison ferme ? 

Jean-Jacques Aillagon (7 mai 2002 – 30 mars 2004)

Né en 1946 à Metz, Jean-Jacques Aillagon fait ses études à Toulouse et devient professeur d’histoire-géo (1973 – 1976) au Lycée d’Egletons, puis à celui de Tulle en Corrèze. Des appuis bien placés le propulsent de l’Éducation nationale au ministère de la Culture, alors sous la houlette de Michel Guy.

Une vague mission au Centre d’Etudes architecturales lui ouvre un poste à l’École nationale Supérieure des Beaux-Arts (ou ce qu’il en reste après 1968) comme chef du service des archives en 1977. Aimable, avenant, travailleur, ce Rastignac toulousain fait son trou : « À nous deux Paris ! » En quelques années, il est promu adjoint au directeur des affaires culturelles de la Ville de Paris, puis directeur en 1993. De là il accède, en 1996, à la présidence du Centre Pompidou, jusqu’à son arrivée en 2002 – Chirac étant président et Raffarin, premier ministre – à la tête du ministère de la Culture. Beau parcours !

« Je veux être le ministre des architectes », déclare Jean-Jacques Aillagon au Moniteur (le 1er novembre 2002). C’est la Toussaint, mauvais présage ! En novembre, il annonce à grand fracas une énième relance des Rendez-vous de l’Architecture. Mais un orage s’annonçait sur le dossier des marchés publics, de l’application de la Loi MOP (concours de maîtrise d’oeuvre) et surtout du PPP (partenariat-public-privé) dont Sarkozy, au ministère de l’Intérieur, est l’ardent promoteur, au point d’être surnommé par l’OBS le Prince-Pompier-Pyromane !

En juin 2003, une délégation d’architectes inquiets est reçue par le ministre : Chemetoff, de Portzampac, Decq, Lion, Gazeau, Gautrand, Ricciotti, Robain, Viguier, Zubléna… le gratin de l’architecture, soit une trentaine d’architectes et leurs représentants professionnels. « J’ai d’ores et déjà obtenu le maintien de la procédure de concours de maîtrise d’œuvre », fanfaronne le ministre. Sur le PPP, il ajoute : « Nous avons éteint l’incendie ! » Ses visiteurs s’abstiendront de lui chanter le Pompier, hymne des Beaux-Arts d’antan.

Coup de chance : le Conseil Constitutionnel venait de décider, la veille, d’encadrer les PPP. Encadrement provisoire qui n’empêchera pas Sarkozy de revenir à la charge en 2007. Méfiant à son arrivée à l’égard de la Cité de l’Architecture, Aillagon se laissera finalement convaincre de son intérêt.

Il aura moins de succès avec les intermittents du spectacle qui paralyseront les festivals de l’été 2003. Un an après son départ de la rue de Valois, il atterrit à la présidence de TV5 Monde, dont il démissionne deux ans plus tard (2007) pour celle du Château de Versailles ce qui le conduit jusqu’à la retraite (2011). Il signe le manifeste en faveur du mariage homosexuel et fait son ‘coming out’. Une retraite active puisqu’il est nommé directeur général de Pinault Collection, qu’il inaugure récemment à la Bourse du Commerce. À la différence de la politique, l’art se ferait-il désormais à la corbeille ? Avec Aillagon à la manœuvre, rien n’est impossible.

Renaud Donnedieu de Vabres (31 mars 2004 – 15 mai 2007)

Cet ancien élève du lycée catholique Sainte-Croix de Neuilly (Hauts-de-Seine) appartient à une famille nombreuse d’aristocrates serviteurs de la République. Sciences Po, ENA, il est condisciple (promotion Voltaire 1980) de Villepin, Hollande et Ségolène Royal. Opportuniste, il passe de l’UDF à l’UMP, selon les vents dominants, et se fait rattraper par Act Up en 1999 qui, comme son prédécesseur, le classe parmi les anti-physiques, (il avait accueilli à Tours, dont il était député, une manifestation de Christine Boutin contre le Pacs où l’on pouvait entendre « les pédés, au bûcher ! ». Ambiguïté encore lorsqu’il passe pour le sigisbée de Claire Chazal.

Son parcours politique commence au cabinet de François Léotard, ministre de la Défense, où il participe en 1994 à la négociation de la vente de deux frégates antiaériennes à l’Arabie saoudite. En 2002, ministre des Affaires européennes, il est condamné pour avoir détourné les fonds spéciaux de Matignon pour l’acquisition du siège social du Parti Républicain, sans autre peine qu’une amende de 15 000 euros.

Il est dans tous les (mauvais) coups. Il est mis en examen pour complicité d’abus de biens sociaux dans le volet financier de l’Affaire Karachi en décembre 2011, avouant avoir imposé Ziad Takieddine dans les négociations du contrat avec le Pakistan en 1994. Le procès se tient du 7 au 31 octobre 2019 au tribunal correctionnel de Paris. Il est condamné, le 15 juin 2020, à cinq ans de prison dont deux avec sursis et à de lourdes amendes. Pour le tribunal, les fonds détournés sur des contrats d’armement ont contribué au financement occulte de la campagne présidentielle d’Edouard Balladur, alors premier ministre, en 1995.

Le passage rue de Valois de Renaud Donnedieu de Vabres n’est marqué par aucune initiative identifiable dans le domaine de l’architecture. Quelques discours obligés (janvier 2005) en faveur des lauréats (Albums) des jeunes architectes et de la politique de l’architecture, dont le point d’orgue sera un laïus roboratif prononcé le 20 mars 2007 lors de l’inauguration de la Cité de l’architecture et du patrimoine, trois semaines avant de quitter le gouvernement.

Sa carrière politique se conclut sur deux échecs aux législatives à Tours en juin 2007, puis aux municipales de 2008. Il végète ensuite à la présidence d’Atout France. Peut-être se préparait-il à l’orage judiciaire engagé, dès 2008, par les révélations de Médiapart. Cinq ans dont trois ans fermes, Donnedieu est numéro 1 au hit-parade des anciens ministres de la rue de Valois.

Christine Albanel (18 mai 2007 – 23 juin 2009)

Agrégée de lettres modernes, elle est d’abord professeur de Français au lycée technique Saint-Lambert à Paris, dans une classe de BEP Bâtiment. DE 1979 à 81, elle est attachée de presse d’Anne-Aymone Giscard d’Estaing. Retour à l’enseignement, puis à l’hôtel de Ville de Paris où elle devient la plume des discours de Jacques Chirac qu’elle suivra jusqu’à l’Élysée en 1995. C’est elle qui rédige le discours du Vel d’Hiv de juillet 1995 dans lequel Jacques Chirac reconnaît la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs, ainsi que l’hommage à François Mitterrand prononcé au soir de sa mort en janvier 1996.

Elle est nommée en 2003 à la tête de Versailles, où elle se signale par quelques incongruités (exposition de robes de mariées de Christian Lacroix dans la chapelle royale). Ce n’est que début de bien d’autres anachronismes.

Son arrivée rue de Valois en mai 2007 est délicate, « peu appréciée par Nicolas Sarkozy », dixit Le Monde pas plus que par Georges-Marc Benamou, conseiller à l’Élysée. Ses premières déclarations sur l’architecture (28 décembre 2007) sont creuses (« Replaçons l’architecture au cœur de la vie des gens »). Elle récidive le 20 mars en présentant les Albums de la Jeune architecture et quelques vœux pieux pour la promotion de l’architecture. Elle prend toutefois l’initiative de rendre visite sur des chantiers à un panel d’architectes de renom (de Portzamparc et Dominique Perrault), ce qui donne lieu à quelques papiers (l’Express pour Perrault) plutôt sympathiques.

Mais les écoles d’archi crient famine, tandis que l’Élysée s’affaire autour du projet sarkozien de « Grand Pari(s) » et fait plancher dix équipes internationales d’architectes. Le départ de Christine Albanel de la rue de Valois ne suscite chez les architectes que peu de regrets. Après une décennie dans le privé, elle est l’une des trois personnalités qualifiées (avec Jean-Pierre Weiss et Bruno Racine) nommées pour siéger au conseil d’administration de l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de Notre Dame de Paris.

Frédéric Mitterrand (23 juin 2009 – 10 mai 2012)

C’est un touche-à-tout. Il est tour à tour exploitant de cinéma, animateur-producteur de télévision, chroniqueur et écrivain, réalisateur de documentaires et de films, patron de la Villa Médicis à Rome (2008-2009) : il devient ministre de la Culture et de la Communication du 23 juin 2009 au 16 mai 2012, sous le gouvernement de François Fillon, pendant la mandature de Nicolas Sarkozy.

Nomination appuyée par la (seconde) Première dame, Carla Bruni-Sarkozy. Car Frédéric est un mondain. Son passage rue de Valois est marqué par de multiples polémiques. Son soutien à Ben Ali, l’autocrate tunisien lui crée quelques inimitiés, y compris au sein du gouvernement. Son soutien à Roman Polansky, en 2009, « une histoire ancienne qui n’a pas vraiment de sens » ne passe pas inaperçu. Mais c’est son livre La mauvaise vie, édité en 2005 mais exhumé en 2009, qui provoquera un mini scandale. L’accusation de pratiquer le tourisme sexuel (« J’ai pris le pli de payer pour des garçons… ») le conduit à s’expliquer au journal de TF1. En 2019, il dénoncera « un phénomène de meute contre Gabriel Matzneff ».

Son action rue de Valois en matière d’architecture aura été à peu près inexistante. Il aime les discours ronflants, ainsi lors de la remise de l’Equerre d’Argent : « Lorsque Victor Hugo affirme que « l’’architecture est le grand livre de l’humanité », il dit combien cette dernière traduit la vision d’une période, l’esprit d’une époque, l’état d’une civilisation ».

Il suit les pas de Christine Albanel lorsqu’il visite l’École d’architecture de Paris Val de Seine (architecte Frédéric Borel). En novembre 2011, il remet les insignes de Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres à quatre architectes : Louise Cox, Jakob & MacFarlane et Frédéric Borel.  Malgré ce maigre bagage, l’Académie des Beaux-Arts l’accueillera le 5 février 2020, dans la section des membres libres.

Rattrapé par la Covid-19, hospitalisé 17 jours, il a témoigné le 24 mars 2021, sur BFMTV, une fois rétabli. 

Syrus
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*« Il n’y a rien de mieux pour flinguer une carrière politique qu’un poste de ministre de la Culture » – La série
– Le premier volet parcourt la période allant d’André Malraux à Maurice Druon.
– Le second, sous Giscard, revient sur les passages express au ministère de la Culture de Michel Guy et Françoise Giroud.
– Dans le troisième épisode, De Michel d’Ornano et Jean-Philippe Lecat, un seul meurt dans son lit.
– 1981–1993, les années Mitterrand : à la Culture, chassé-croisé Lang – Léotard
– Décennie 1993 – 2002 : Douste et les catherinettes, ce n’est pas Toubon
– 2004 – 2012 : rue de Valois, trois mignons, et coquins avec ça, et une mignonne

A suivre car demeurent encore cinq femmes et un intrus. Il y en a eu 26, il n’en restera qu’une !

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Par Syrus Rubrique(s) : Destins contrariés

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