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Accueil > Chroniques > Le berger tout seul ne fait pas le troupeau

Le berger tout seul ne fait pas le troupeau

17 septembre 2019

Ethel Hazel, malgré la réserve que lui impose sa fonction psychanalytique, était de mauvaise humeur. Elle avait revu le Dr. Nut. Il avait l’air bien empressé de la voir quand il l’avait appelée mais elle eut le sentiment désagréable qu’il était surtout curieux des affaires de l’architecte.

***
«Jouer à saute-mouton ne te propulsera pas hors de la bergerie». Proverbe belge
***

 

L’inspecteur Nutello s’était aperçu qu’il avait heurtée la thérapeute. Alors il l’avait emmenée à La Courneuve. Il lui avait montré l’ancienne usine métallurgique Babcock Wilcox, où son père était ouvrier et depuis devenue le nouveau site de la Banque de France. («Comme quoi», pensa-t-elle…) Elle apprit que les grands-parents de l’inspecteur, du côté de son père, étaient maraîchers près d’Achères. Elle avait suivi la visite sans un mot, découvrant un monde inconnu. Il ne parlait guère mais, avec lui, elle n’avait pas peur et cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu peur. Ils avaient pris un café dans un troquet bizarre – bizarre pour elle car tout le monde avait l’air de le connaître. «Je suis Courneuviens», avait-il dit en haussant les épaules. Puis il l’avait ramenée à Paris, en silence dans les embouteillages. Il ne lui avait rien demandé d’elle. Elle en fut frustrée. Rien que sa façon de conduire, elle aurait voulu lui dire. Aussi quand l’architecte était arrivé aujourd’hui, en retard en plus, et que tout ça au fond était bien à cause de lui, elle l’avait reçu plus froidement qu’elle n’aurait dû. Et le ton est vite monté.

L’architecte (criant presque) – ha parce que vous pensez que d’être soupçonné de choses abominables, de perdre votre agence, votre famille et un peu de votre dignité n’est pas suffisant ? Il faut encore qu’une association écolo locale vienne me chercher des poux dans la tête quant à la conformité de ma propre maison par rapport au permis de construire ? Et il faudrait que je reste calme ?

Ethel Hazel – Mais, enfin, que vous reprochent-ils cette fois ? (elle regretta immédiatement le ‘cette fois’)

L’architecte – Ils disent que j’ai construit bien plus de m² qu’autorisé. Mais je suis architecte, me demander de ne pas construire, c’est comme demander à un alcoolique de ne pas boire. Et je ne suis pas Architectes Anonymous. Je n’ai fait qu’ajouter légalement une terrasse extérieure couverte, comme une grande véranda en somme, mais avec une piscine, une grande baignoire plutôt, à l’intérieur.

E.H. – Vous n’aviez pas demandé de permis ?

L’architecte – Si bien sûr, un permis de travaux, pour la véranda.

E.H. – Et où est-elle cette maison ?

L’architecte – Oh, dans un coin perdu, très isolé mais en surplomb d’une rivière vive où pêcher la truite est un bonheur. Pour le coup, celles-ci, on peut les manger, je vous les garantis sans mercure. C’est d’ailleurs à travers un article dans un magazine de pêche que j’ai entendu parler de ce bout de territoire et de son maire, passionné de pêche comme moi. Non pas comme moi exactement, il ne pêche plus les truites de sa rivière – il doit en avoir soupé de ces truites depuis le temps – non, ce qu’il aime désormais, c’est la pêche au gros, il fait la route jusque sur la côte pour retrouver son bateau. Quand on se voit, ce qui est rare, on peut passer des heures à discuter des vertus de sa canne à pêche télescopique en fibre de verre, dont il est très fier. Moi je trouve que c’est une pêche au muscle, au gros, je préfère la truite, qu’il me faut séduire.

E.H. – Truite, ce n’était pas le surnom de Géraldine ?

L’architecte (soudain renfrogné) – Ha bon j’ai dit ça ? J’ai dû l’emmener une ou deux fois. Mais je comprends que je dois vous saouler avec mes histoires de pêche. Changeons de sujet voulez-vous.

E.H. (Elle saisit qu’il venait de lui intimer la direction à donner à l’entretien. Que m’arrive-t-il aujourd’hui, s’inquiéta-t-elle. C’est à moi de mener l’analyse) – Vous ne m’aviez pas dit que vous aviez une résidence secondaire. Cette maison doit être importante pour vous ?

L’architecte – Oui on peut dire ça comme ça. En fait, quand j’en ai hérité de mon parrain, mort sans descendance, c’était à peine une bergerie.

E.H. – Une bergerie ? C’est en Corse ?

L’architecte (surpris) – Bah non. Les bergeries, il n’y en a pas qu’en Corse vous savez, même si un jour je vous raconterai une histoire de berger corse qui s’emmerdait en Afghanistan.

E.H. (ayant déjà réalisé qu’elle venait de commettre une erreur. En parlant de la Corse, elle avait parlé d’elle et fait dévié l’architecte de sa ligne de pensée). C’était un parrain aimant ?

L’architecte (qui ne s’attendait pas à la question) – Comment ça un parrain aimant ?

E.H. (L’adjectif lui était sorti de la bouche et elle eut immédiatement le sentiment de s’enfoncer encore. Tais-toi, tais-toi, se dit-elle. Du coup, d’un air pincé) – Il vous a légué une maison, c’est déjà pas mal…

L’architecte (encore plus surpris) – Vous n’écoutez donc pas aujourd’hui ? (Ironique) Vous voulez que j’aille prendre un café et que je revienne quand vous aurez repris vos esprits ? (il s’entendit parler et se calma aussitôt) – Excusez-moi, je m’emporte, je m’emporte et après je ne sais plus ce que j’ai dit ou fait. Ce parrain, mon parrain, m’a légué une bergerie, c’est ce que je vous ai dit, une bergerie, pas une maison, et, croyez-moi, je n’étais pas le premier sur la liste des légataires, loin de là. Mais à moi, il a choisi de me refiler sa ruine vermoulue qui avait dû appartenir à son père et sa mère au XIXe siècle, inhabitée depuis et dont il n’avait apparemment jamais su que faire mais à laquelle il semblait tenir.

E.H. (toujours pincée, presque vindicative) – Il aurait pu ne rien vous donner…

L’architecte – Certes mais j’ai bien compris ce qu’il voulait. En fait, mon parrain, il m’offrait toujours un cadeau, un livre, pour mon anniversaire, chaque année. Au début quand j’étais petit, il m’offrait des livres de dessins, des dessins d’architectures qu’il me fallait reproduire, des immeubles, des chalets, des alignements haussmanniens, des paysages, des balcons, des détails de fenêtres. Je n’ai par exemple jamais vu le lac de Côme mais je le connais par cœur depuis longtemps. Vous connaissez le lac de Côme ?

E.H. (encore plus pincée) – Non. Votre parrain donc…

L’architecte – Ha oui. Plus tard c’est lui qui m’a offert mes premiers livres d’architecture. Parfois des gros livres, comme cette édition de Domus des années ’70. Je l’ai toujours. J’y retrouve aujourd’hui le début du postmodernisme, de l’individualisme, de l’écologie. Et il avait toujours l’air d’être content de me voir. C’était un vieil homme mais un lecteur assidu et il m’offrait des livres, alors peut-être qu’il était aimant. Mais s’il m’a légué sa ruine c’est qu’il espérait je pense que j’en fasse quelque chose. Je devais bien être le seul qu’il en crût capable. Il avait vu en moi quelque chose que je ne connaissais pas encore moi-même. Je me demande d’ailleurs si c’est à cause d’elle, la bergerie, ou à cause de lui que je suis devenu architecte.

E.H. (qui avait enfin repris pied) – Que voulez-vous dire ?

L’architecte – En fait, la bergerie est restée une bergerie abandonnée encore longtemps. Ce n’est que plus tard, devenu architecte avec un peu d’aisance, que je l’ai pour ainsi dire redécouverte et que j’ai enfin pu m’en occuper. Maintenant, oui, on peut dire que c’est une maison. Oh, rien de m’as-tu-vu ou de dispendieux mais une maison qui sent la terre, la pierre, le bois, les glands, les phéromones des animaux sauvages. Je l’ai quasiment refaite de mes propres mains. A la fin j’y allais seul le plus souvent car ses doigts délicats dans les vieilles pierres, ce n’était pas trop sa tasse de thé à Madeleine l’intello, et quand les enfants ont grandi, ils ont très vite préféré leurs écrans plutôt que de se cogner la route avec moi pour bosser tout un week-end dans un trou perdu sans Internet et sans voisin à un kilomètre à la ronde, à travers les bois, avant de reprendre la route en speedant à cause de l’école le lendemain, ce qui avait le don de rendre Madeleine furieuse quand on rentrait trop tard. Bon, de toute façon elle était furieuse, jalouse, dès que je partais dans ma cambrousse. Alors j’ai pris l’habitude d’y aller seul, de n’en plus parler à personne et je crois que pour beaucoup de monde, c’est comme si elle n’existait pas. Par contre, la pierre sèche, la restanque, je suis devenu spécialiste. La maison est tellement bien intégrée dans le paysage qu’elle est quasi invisible, même de la route. Je n’y reçois pas de courrier, il n’y a pas Internet, pas d’adresse, cette bergerie, elle est quasi autonome, c’est le paradis sur terre, où même Satan s’essuie les pieds avant d’entrer. C’était parfait, même si je n’y vais pas aussi souvent que je le voudrais, ne serait-ce que pour pêcher. Jusqu’à ce qu’un fouille-merde, juste au moment où je n’ai vraiment pas besoin de ça, vienne me poser des questions «réglementaires».

E.H. – A vous entendre, comment a-t-il pu savoir qu’il y avait matière à enquêter ?

L’architecte – Les gens dans le village, ils ont vu les camions, ils ont vu les déchets du chantier, les gravats. Tout était géré, avec une entreprise hyper écolo, tout devait être recyclé ; pour tout vous dire j’ai appris depuis que nos déchets ‘recyclés’ allaient en Indonésie ou ailleurs dans la décharge d’un pays pauvre et je ne sais plus trop quoi en penser mais c’est une autre histoire. Bref, je n’ai jamais emmerdé quiconque dans le village mais ils ont vu passer les camions de déblais pour la piscine et un écolo local s’est étonné. Tout ça pour une grande baignoire dans une véranda… Il n’avait pas beaucoup d’humour. Un fanatique !

E.H. – Et c’était compliqué de répondre à ses questions «réglementaires» ?

L’architecte – De quel droit et pourquoi venait-il chercher midi à quatorze heures ? Je lui ai dit que, depuis des ANNEES j’avais investi de mon PROPRE argent dans son coin PERDU, que j’avais embauché des entreprises LOCALES pour un chantier effectué en CIRCUIT-COURT. Je lui ai montré les ARBRES que j’avais plantés, le cyprès pour la naissance de mon fils, le magnolia pour celui de ma fille. Il m’a rétorqué que c’était des plantes invasives ! Pourtant, au début, je peux vous dire que quand ils m’ont vu arriver avec mes projets, les gens du village étaient plutôt contents. Le maire m’a accueilli à bras ouverts et j’ai tout fait comme il faut. J’ai même eu les autorisations des agents des rivières et forêts pour rénover et agrandir la bergerie et aménager un tout petit bout de la rivière rien que pour moi, ils étaient même étonnés les fonctionnaires que je vienne leur demander l’autorisation. Vous croyez que les paysans du coin ils s’emmerdent avec les ABF ?

E.H. – ABF ? 

L’architecte – Architecte des bâtiments de France.

E.H. (sèchement) – Oui je sais. Mais vous m’avez dit être en pleine nature, en quoi un ABF est-il concerné ?

L’architecte (déconcerté) – J’avais le droit de faire une véranda – ça se démonte une véranda et le cas échéant, je pouvais rendre le site tel qu’il était avant.

E.H. – Ca se démonte une piscine ?

L’architecte (soudain las) – C’est quand même incroyable, tu te retrouves au milieu de nulle part, tu essayes de faire œuvre de création, de développer une économie locale pourquoi pas, comme dans le Lubéron, et là, on vous envoie la Stasi. En fait je sais bien que ma bobine ne leur revient pas. Avant d’hériter de la bergerie, je n’avais jamais entendu parler de ce trou paumé et n’y avait encore moins mis les pieds. Il faut y aller pour que ça vous donne des idées… Ils ont un accent, c’est comme s’ils parlaient une autre langue. Je crois qu’ils n’aiment pas beaucoup que je ne traîne pas au village, préférant vivre isolé. Mais qu’est-ce que je vais bien y faire, au village, le dimanche matin si je ne vais pas à la messe ? Je vais faire un PMU et j’attaque au blanc sec à 9h du matin en mangeant des châtaignes ? Très peu pour moi.

E.H. – Mais pourquoi cette interrogation, légitime, de la part de vos voisins vous perturbe-t-elle à ce point ? Cela n’a pas l’air si grave.

L’architecte (énervé à nouveau) – Parce que je ne veux voir personne venir fouiller chez moi, point barre. Que diriez-vous si quelqu’un fouillait dans vos affaires ?

E.H. (elle ne peut s’empêcher de penser à l’histoire de ce Xavier Dupont de Ligonnès, à Nantes, qui avait enterré toute sa famille dans son jardin avant de disparaître. S’il y en avait un qui saurait préparer une planque, c’est bien un architecte, se dit-elle. Avec le ton le plus anodin dont elle est capable) – Quelque chose y est donc caché, dans votre maison ?

L’architecte (en riant de bon cœur pour le coup) – Ha c’est sûr, si les murs pouvaient parler…

DRINNNNNN DRINNNNNN

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Chroniques, Psychanalyse de l'architecte, Psychanalyse de l'architecte - Saison 2

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