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Accueil > Architectes > Portraits > Le calme et le silence de l’architecture de G. Le Penhuel naissent de sa fureur de vivre 

Le calme et le silence de l’architecture de G. Le Penhuel naissent de sa fureur de vivre 

10 septembre 2015

@D.R.
@D.R.

Gaëtan Le Penhuel est issu d’un milieu socio-culturel ancré dans un espace-temps fini. « Nous fonctionnons tous par tribu« , dit-il. Lui a décidé de choisir les siennes tout en dilatant l’espace et le temps qui lui étaient impartis sans céder en rien à quelque maître-à-penser une liberté chèrement acquise. Un travail de forçat pour une architecture pertinente et légère. Portrait.

S’il n’avait pas de mode d’emploi – seulement quelques convictions -, Gaëtan Le Penhuel avait au moins une certitude : « Soit tu croques la vie, soit tu la regardes passer« , dit-il. L’agence est un havre au fond d’une cour pavée dans le 11ème à Paris. Lumière abondante, très grande hauteur sous plafond, du blanc et du verre, une charpente bois. Pas une seule illustration aux murs, pas une maquette de visible, deux petits bureaux à l’entrée, le bureau de Gaëtan (qui compte, outre deux maquettes miniatures, une peau de vache en guise de tapis), une salle de réunion et un grand plateau, ordonné au cordeau, offrant de larges espaces de travail à la quinzaine de collaborateurs. « Nous entendons la pluie quand il pleut ; c’est un luxe« , dit-il encore.

Murs blancs et gris, cadres en toile tendue en discrets motifs à fleurs qui rappellent la broderie de la nappe du dimanche, baies vitrée sur l’accueil et les plans de travail de l’agence, tables et chaises Eames noires, la salle de réunion est d’une rigueur et d’une sobriété qui frisent l’insolence. L’ensemble dégage pourtant le sentiment d’un lieu hospitalier et, de fait, l’accueil y est chaleureux.

La première bouchée fut donc de quitter St Malo, puisque la Bretagne, de tous temps, nourrit ses fils et filles pour qu’ils s’en aillent, loin. Gaëtan Le Penhuel, durant ses études, est ainsi allé au Japon. « J’ai adoré le fait d’être perdu dans un pays où je ne comprenais rien, sans pouvoir m’orienter. Le fait d’être perdu donne confiance en soi quand on s’aperçoit qu’on ne se perd pas« , dit-il.

Cette confiance en soi, donc en l’homme quel que soit son métier, affecte le rapport à son prochain. « Il y a plusieurs manières d’être architecte : soit on s’impose dans un rapport de force tendu faisant fi des conséquences humaines, soit on fait soi-même la part de ce pour quoi l’intransigeance est utile et ce pour quoi la discussion l’est plus encore. Il est de toute façon nécessaire de rester dans le registre de la politesse, je déteste ceux qui parlent comme des charretiers et l’on peut s’opposer sans s’envoyer des noms d’oiseaux« . Café ? Oui merci. Une madeleine ?

S’il préfère convaincre qu’imposer, il ne faut pas se méprendre, Gaëtan Le Penhuel n’est pas dans le registre de la gentillesse mais dans celui de l’efficacité, « la cordialité et le respect permettant de contourner le rapport de force » et de souder l’équipe autour d’un projet partagé auquel chacun adhère.

@PatrickTourneboeuf
@PatrickTourneboeuf

L’architecte explique avoir ainsi récemment demandé à l’une de ses collaboratrices de changer un projet « à la dernière minute » parce qu’il avait des « états d’âme quant à sa volumétrie« . « Laetitia [Laetitia Biabaut, architecte. NdA] est coincée entre le marteau et l’enclume, entre Gaëtan, le maître d’ouvrage et le bureau d’études« , convient-il. Deux possibilités s’offrent à lui : « soit imposer le changement pour aller vite, soit ‘je t’assure, c’est vraiment mieux comme ça' ». Gaëtan Le Penhuel sait se montrer persuasif, même si la méthode prend plus du temps – « peut-être la raison pour laquelle je suis charrette du matin au soir » -, dit-il. Les entrepreneurs sont sensibles à cette méthode assure-t-il encore. Toujours est-il qu’ils le suivent dans ses projets.

Car Gaëtan Le Penhuel construit, quasiment depuis l’obtention de son diplôme. Tout commence vraiment en 1994 quand, avec deux copains (les architectes J.F. Renaud et E. Babin), il s’inscrit au concours Europan 3. « J’avais une stratégie ; il faut une stratégie dans la vie sinon tout prend trop de temps« , dit-il ; Il choisit un site où il y avait une véritable possibilité d’accéder à la commande. Ce sera la ZAC du Mont d’Arène, à Reims (51). Ils gagnent le concours.

@JavierCallejas
@JavierCallejas

Gaëtan Le Penhuel se souvient alors « d’une grosse angoisse« . C’est ce moment-là qu’il identifiera, plus tard, comme le « passage à l’âge adulte« . Il entame, sans plus attendre, une psychanalyse, qui se poursuit aujourd’hui encore. En janvier 2001, les 107 logements correspondant à la phase 1 du projet sont livrés, un projet qui lui vaudra d’être nominé au Prix de la première Oeuvre 2001. C’est alors qu’il comprend que « le trépied » ne tient pas debout et décide de créer seul son agence. Il n’a jamais cessé de construire depuis, livrant notamment crèches, écoles et lycées. Il livre d’ailleurs, fin avril 2009, un Centre culturel à Stains (93).

S’il n’est pas encore tout à fait maître de son destin – qui peut l’être ? -, il est effectivement seul maître à bord, même si, à son initiative, il y a désormais un S à Gaëtan Le Penhuel Architectes. Ce qui signifie, en architecture aussi, maître de ses idées. Il rend hommage à l’enseignement de Paris-Belleville mais ne peut, ne veut en aucun cas être identifié en ‘fils de…’.

Pas de dogme, pas de chapelle, Gaëtan Le Penhuel est un homme libre et son architecture sera intimement liée aux sites qui l’accueillent : les motifs de la façade du collège Albert-Schweitzer sont ainsi pour toujours changeants et ce bâtiment de béton, verre et métal est désormais le gage de survie du bois alentour.

Sa capacité à fondre son architecture, contemporaine sans conteste, dans l’environnement, fut-il patrimonial, est d’ailleurs confondante. Pour l’école maternelle d’Epinay sur Seine (93), toute en bois, y compris sa structure – « le premier projet en bois de l’agence« , dit-il pas peu fier -, il évoque le fantasme que « ce bâtiment soit évident dans son site« . L’immeuble de bureaux de Toulouse (31) sera (livraison 2010) également en bois, sur six étages et 2.800m². Pas de fixation sur tel ou tel matériau cependant.

@Auralab
@Auralab

La couverture du groupe Scolaire à Villeneuve-le-Roi (94) est, par exemple, un ruban de métal dont « l’idée est de transcender la proximité d’Orly en valeur positive, en l’intégrant dans l’esthétique du nouveau bâtiment ; la toiture est comme un fuselage de métal laqué blanc et habille l’école d’une peau high tech« , explique-t-il. Cela dit, si Gaëtan le Penhuel construit, poliment, ses convictions, il sait à quel point la solitude et l’angoisse sont les ennemis fidèles des architectes déterminés.

Gaëtan Le Penhuel estime que les « génies« , en architecture, sont rares. Il cite Rem Koolhass, Herzog&deMeuron, Jean Nouvel. Il voue une affection particulière à BIG (Bjarke Ingels Group), l’agence danoise, dont il loue l’intelligence et « la cohérence de la pensée« *. Il a d’ailleurs emmené ses étudiants – il enseigne aujourd’hui à Paris la Villette, après avoir enseigné à Paris Belleville, de 1995 à 2003 – à Copenhague.

Mais lui, clairement, ne se considère pas comme un quelconque génie. « J’essaye de donner de la cohérence à notre travail et nous y arrivons par la ténacité, reprendre et reprendre et reprendre un projet. Pour moi, le seul moyen est de travailler sans arrêt sur le même métier« , dit-il. Travailler avec la force du convaincu est un chemin légitime. Et ça n’empêche pas les états d’âme.

« Je fais partie des gens qui voulaient être architecte dès l’âge de quatre ans : les maisons en Lego, puis en Meccano, je faisais des plans« , dit-il. Cinquième d’une fratrie de six garçons, un beau-père chirurgien dentiste, « ambiance Chateaubriand » à la maison, le jeune Gaëtan « fantasme » sur ce père Le Penhuel qui ne l’a pas élevé et qui est « entrepreneur du BTP« . « Le choix que j’allais partir, vite, a été fait très tôt« , s’amuse-t-il. Ses parents étaient « absolument contre » le fait qu’il devienne architecte. « J’ai rencontré la modernité quand je suis arrivé à Paris« , dit-il. Ses parents ont fini par l’aider. En attendant, après avoir été croupier à St Malo, il a été vendeur dans un magasin de chaussures sur les Champs-Elysées.

Il s’inscrit à Belleville. « Ca a pris tout de suite car j’ai rencontré des gens aux antipodes de ce que je connaissais. A l’inverse de mon milieu bourgeois, j’ai trouvé une fibre, une conviction humaniste avec un regard sur la société d’une véritable modernité (Edith Girard se reconnaîtra sans doute) ; ça m’a décoiffé« , explique-t-il. Ses cheveux ne s’en sont plus jamais remis. Un plein temps en agence (et une vraie rencontre chez Brenac&Gonzalez) et un plein temps à l’université. « J’ai travaillé comme un dingue car j’étais terriblement angoissé« , se souvient-il. « J’étais déjà charrette du matin au soir ; je n’avais pas le temps de faire la fête, c’est un vrai choix de vie« .

@Jean-Marie Monthiers
@Jean-Marie Monthiers

L’habitude de travailler « comme un dingue » demeure, peut-être parce que, d’une part, Gaëtan Le Penhuel parvient à éteindre la lumière quand il quitte l’agence, c’est-à-dire qu’il y a une vie encore après la vie – et, dans ce domaine, sa curiosité est incommensurable – et, d’autre part car l’architecte à une vraie capacité à déléguer et fédérer une équipe. Lui se souvient de « vacances studieuses » qui n’étaient rien d’autre que l’envie d’aller voir ailleurs si Gaëtan Le Penhuel y était.

Aux Etats-Unis, il découvre l’oeuvre de John Lautner, élève de Franck Lloyd Wright, qui a 80 ans quand il le rencontre. « Il construisait des maisons de plus en plus dingues, de plus en plus libres« , se souvient Gaëtan Le Penhuel. Il passe six mois à Los Angeles, fait du libertaire américain haut en couleurs, le sujet de son mémoire. « Ce sont des expériences puissantes : les gens ouvrent leur porte et te donne leur clef« , dit-il. Les jeunes architectes, d’où qu’ils viennent, peuvent frapper à sa porte et demander la clef, ils sont les bienvenu(e)s : qu’ils sachent cependant qu’ici c’est maison charrette qui régale. « Il faut que chaque vie ait un sens : ce que j’ai découvert est que le monde est extraordinaire et qu’il faut le voir« , dit-il. Bref, un stakhanoviste gourmand et hédoniste. Son seul mouvement d’humeur est lorsqu’il constate que « riches et pauvres » se plaignent tout le temps, « un aspect de la France vraiment trop chiant« .

Lui ne se plaint guère, sauf, peut-être, pour s’en prendre à lui-même puisqu’il est, de son propre aveu, un « control freak« . « J’ai parfois un peu peur du démon qui est en moi car, dans tout ce que je fais, mon implication personnelle est totale« , dit-il. Et s’il « fonce » dans les projets, quels qu’ils soient, avant tout parce que c’est à lui-même qu’il a des « choses à prouver« , le contrôle dont il parle s’applique à lui-même en premier lieu. Il se montre d’ailleurs d’une grande écoute avec les architectes de l’agence.

Vieux fond de paternalisme démocrate-chrétien ? Plutôt, encore, un sens de l’efficacité ; que chacun soit au bon endroit selon son talent et ses capacités. Toujours est-il que son sens de la politesse et du respect de l’autre est devenu une arme de persuasion massive pour éviter justement que la brutalité – et l’extrême rigueur intellectuelle dont il fait preuve est une forme de brutalité – qu’il couve ne devienne une arme de destruction massive propre à l’engloutir. Pas étonnant que l’un des axes essentiels de sa pratique soit celui de la recherche du « calme, du silence et de l’abstraction« .

@Herve Abbadie
@Herve Abbadie

Au final, la légèreté, la sobriété et le bonheur d’être vivant sont au rendez-vous de l’homme, discret, et de l’architecte, modeste, sans qu’il ait eu à rogner en rien sur l’intensité de ses passions ni à cadenasser sa spontanéité naturelle. « Je ne calcule pas« , dit-il. Une stratégie oui mais, pour lui, la fin ne justifiera jamais les moyens et l’idée qu’il se fait de l’homme et de la vie, donc de lui-même, sera toujours hiérarchiquement supérieure aux impératifs de son métier.

« Je suis extrêmement jaloux de ma liberté, gagnée quand j’étais gamin et adolescent ; il n’y a aucune obligation, que des possibilités« , dit-il. Ce dont les maîtres d’ouvrages, visiblement, lui savent gré. A force de travail et de volonté, il s’est imposé à ses conditions. La preuve, il est désormais réconcilié avec la Bretagne, histoire connue.

Pour Gaëtan Le Penhuel, 45 ans aujourd’hui, le festin ne fait donc que commencer.

Christophe Leray

@Herve Abbadie
@Herve Abbadie

Cet article est paru en première publication sur CyberArchi le 9 avril 2009.

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Portraits Mots-clés : France, Gaëtan Le Penhuel, Herzog&deMeuron, Jean Nouvel, Paris

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