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Accueil > Chroniques > Psychanalyse de l'architecte > Psychanalyse de l’architecte – Saison 4 > Psychanalyse de l’architecte – saison 4 : prologue

Psychanalyse de l’architecte – saison 4 : prologue

31 août 2021

Nutello

C’est la rentrée pour Ethel Hazel, psychothérapeute à Paris, et pour l’architecte Dubois, son patient depuis trois ans. Parviendra-t-elle finalement à percer le mystère de cet assassin insondable ? L’inspecteur Nutello, dit Dr. Nut, se retrouve quant à lui Gros-Jean comme devant.

Résumé des saisons précédentes

Ethel Hazel est psychanalyste rue Labrouste à Paris et depuis trois ans reçoit en consultation l’architecte Dubois. Ce dernier, au-delà de son talent d’homme de l’art, se révèle être un redoutable tueur en série. Du moins c’est l’avis de l’inspecteur Nutello, dit Dr. Nut, qui travaille au service des disparitions inquiétantes, les ‘J22’ comme on dit dans son service. Le policier était l’amant d’Ethel jusqu’à ce qu’il disparaisse avant d’être donné pour mort par ses collègues. En réalité, c’est Dubois qui, machiavélique, l’a retenu prisonnier pendant cinq mois dans une planque sans lumière du jour, planque dont l’architecte est parvenu à faire disparaître toute trace. De fait l’inspecteur ne retrouve jamais trace des corps des victimes de Dubois. Ethel Hazel pour sa part est convaincue du pouvoir délétère de l’architecte depuis qu’il a occis Bernard Lévesque, son beau-frère, qui l’avait agressée sexuellement. Plus qu’un patient, Ethel Hazel se demande si l’architecte Dubois n’est pas un superhéros…

***

« Dès que vous êtes pris dans la machinerie, juste la machinerie, vous avez perdu. La seule question qui demeure, c’est combien vous allez perdre ». Tom Wolfe.

***

Acte 1 – Dans un troquet discret, avenue Parmentier, à Paris

Le Chef – Nut, c’est une incroyable histoire que vous me racontez là. Prisonnier tout ce temps-là ! Et dire que je vous croyais mort. Tout le monde vous croit mort !

Dr. Nut – Je sais. Au moins nous avons la preuve que ce type est dangereux. Et souvenez-vous de Nathalie, la guide russe…

Le Chef (soupirant) – C’est bon je vous crois, je vous crois. Je dois bien être le seul mais je vous crois, je sais que vous êtes opiniâtre. Donc votre architecte Dubois est un type dangereux mais tant qu’on n’a pas de corps et pas de preuve, nous sommes coincés et je ne peux pas justifier de mettre des gars sur une affaire dont vous nous expliquez vous-même que vous n’avez jamais rien trouvé de probant contre Dubois malgré une surveillance assidue, quasi obsessionnelle même. Et pourquoi ne vous a-t-il pas liquidé ? Voilà ce que je ne comprends pas. Mais très bien, notre conviction est faite. Que fait-on maintenant ?

Dr. Nut – J’envisage de rester « mort » quelque temps encore, je serai plus discret pour poursuivre mes investigations. Par contre, il faut que je puisse avoir accès aux serveurs des services pour faire mes recherches.

Le Chef – Je m’en occupe. De quoi allez-vous vivre en attendant ?

Dr. Nut – Pour l’instant je suis dans un hôtel, sous le nom de Thomas Meunier, du nom de la carte de crédit que m’a laissée l’architecte à la sortie, comme ça, il n’y aura pas de mouvement sur mon compte ni chez moi. Puis, le moment venu, on pourra doucement commencer à diffuser la rumeur dans les services que finalement Nut n’est pas mort mais qu’on a dû mettre en scène sa disparition dans le cadre d’une grosse enquête où la plus grande discrétion était requise pour me permettre de m’infiltrer ou quelque chose comme ça.

Le Chef – Les gars du service vont savoir qu’il y a anguille sous roche mais ils ne diront rien et le reste de la maison poulaga devrait avaler l’histoire. (Soudain impatient) OK, Dr. Nut, tenez-moi au courant s’il y a le moindre développement, une nouvelle disparition par exemple, ou le moindre indice qui nous permette de sortir la grosse machine et de coincer ce salopard.

Dr. Nut – OK chef.

L’inspecteur règle les deux consommations avec sa carte : Thomas Meunier, Chicago Discover Bank. « Vous pouvez essayer d’en savoir plus à propos de ce compte et de cette banque ? » « Je regarde et je vous fais signe si je trouve quelque chose », dit le chef en partant. « Merci patron », répondit l’inspecteur qui pensait déjà à tout ce qu’il lui reste à faire.

Acte 2, scène 1 – Dans l’appartement de l’architecte, au-dessus de son agence, à Belleville (Paris)

Ethel ne connaît pas le nombre de victimes de l’architecte. Dr. Nut lui a dit qu’il y en avait au moins six. Mais comment croire ce type qui l’a laissée tombée comme une vieille chaussette sans plus jamais lui donner de nouvelles ? Bon, elle a appris sa mort dans le journal, c’est vrai, mais en tout cas, c’est de l’histoire ancienne. Ce qu’elle croit savoir est que Géraldine, l’ancienne maîtresse de l’architecte, a disparu, que la vieille aux bagouzes, ancienne voisine de Dubois, est sans doute morte mais personne ne sait quand et comment, que la copine de l’ex-femme de l’architecte a disparu également et que l’architecte a tenté de faire porter le chapeau à son ex.

Aucune certitude en vérité sinon que l’architecte a bel et bien estourbi ce pervers de Bernard qui l’avait agressée. « Un homme qui en tue un autre pour vos beaux yeux, c’est quand même rare », se dit-elle avec une pointe de fierté. Surtout avec un coupe-papier enfoncé « jusqu’à la garde » dans l’œil de l’autre salaud.

Ce pourquoi sans doute elle a accepté l’invitation de Dubois, avec une pointe d’excitation, pour le remercier en quelque sorte, même si elle ne sait pas à quoi s’attendre avec ce dîner chez lui. Elle sait bien qu’elle est au-delà de toutes les règles d’éthique apprises à l’école mais elle ne peut réprimer la boule de chaleur qui lui chauffe le ventre dès qu’elle repense à Bernard et à l’auteur de son funeste sort. D’ailleurs, pourquoi n’a-t-elle pas dénoncé Dubois ? Ethique professionnelle justement ? Vanité ?

La découverte pour la première fois de l’agence de l’architecte, dont elle a tant entendu parler, est une première bonne surprise. La façon dont il en parle, elle pensait trouver le bazar un peu partout, en fait tout est tiré au cordeau, quelques luminaires bien placés mettant en lumière l’espace ou des maquettes. « Un endroit accueillant, presque chaleureux », se dit-elle en le suivant pour monter à son appartement au-dessus de l’agence. Là, c’est une autre surprise : l’appartement est nickel, sobre mais meublé avec goût. Dans un coin près de la porte, une pile de courrier non ouvert est le seul élément indiquant un quelconque désordre chez l’architecte. La table était mise et le dîner, qu’il a cuisiné lui-même, se révèle très agréable.

« Depuis trois ans que dure la thérapie, l’architecte n’a jamais été aussi en forme, il semble heureux et détendu et il ne lui donne pas l’impression d’être le terrible tueur en série décrit par le policier », se dit Ethel, qui aime à penser qu’elle y est pour quelque chose. Pour autant, elle n’ose pas aborder directement les sujets qui lui tiennent vraiment à cœur. Comment a-t-il fait pour trucider Bernard ? A-t-il vraiment tué toutes ces filles ? Que fait-il des corps ? Est-ce parce qu’il a été abandonné par son père qu’il tuerait ces femmes au moment où il a l’impression qu’elles l’abandonnent, alors que lui pense leur avoir tout donné ? Sa vie à elle est-elle en danger ? Elle en frissonne d’aise mais ne dit rien.

Elle a pourtant l’impression que la conversation de l’architecte est pleine de sous-entendus et, le vin aidant, elle sent bientôt le feu l’envahir. Sa main sur la table, celle de l’architecte tout près, il lui prend les doigts. Elle le sait, avec à l’esprit la vision de Bernard expiant ses péchés, elle est prête à s’abandonner, ne serait-ce que par curiosité, quitte à ne jamais se réveiller de cette nuit. À peine eut-elle le temps de penser « Syndrome de Stockholm » que l’architecte avait retiré sa main.

La soirée s’est alors assez vite terminée, Dubois prétextant un travail urgent à boucler. Ethel en fut un peu décontenancée. Au point qu’elle n’eut plus le temps ou l’occasion de lui poser quelque question que ce soit. Cependant, Ils se quittèrent souriants, l’architecte la raccompagnant à pied jusqu’à la station de taxi. Au moins, une chose est sûre : ils allaient se revoir.

« Je vous préviens quand je suis prêt à reprendre nos séances », lui avait-il dit avant de la quitter, en lui serrant la main. « Tiens », se dit-elle, « nous n’avons jamais cessé de nous vouvoyer ». Dans le taxi, elle se demande encore ce que cela peut bien signifier. En tout cas, souriante, elle ne s’est jamais sentie aussi vivante depuis longtemps.

Acte 2, scène 2 – Dans l’appartement de l’architecte, au-dessus de son agence, à Belleville

Il n’en revenait pas qu’elle ait accepté de venir, et c’est avec excitation et un peu d’angoisse qu’il l’attendait. Il avait préparé toute une série de petits plats à partager, comme des tapas mais avec beaucoup de légumes, crus et cuits, trois sortes de poisson, du poulet coupé en dés, mariné et frit, etc. Et du vin en abondance !

Elle l’avait complimenté pour son agence, puis pour son appartement, puis pour sa cuisine, puis pour son vin… en fait elle l’avait félicité pour tout et il avait bien compris qu’elle le félicitait aussi pour le sort fait à Bernard et qu’elle brûlait d’envie d’en savoir plus. « D’ailleurs », se dit-il, « dès qu’elle est avec moi, elle meurt d’envie d’en savoir plus mais elle n’ose jamais aborder directement les sujets qui la préoccupent ». Alors, comme au jeu du chat et de la souris, l’architecte lui donne des pistes, lui fait des clins d’œil, mais il voit bien qu’elle ne les comprend pas toujours.

Bref tout se passait exactement comme il l’avait prévu – ça se passe toujours ou presque comme il l’a prévu – sa main sur la table, tout près de la sienne. Il lui prend les doigts.

A ce moment-là, dès qu’il a senti sa peau et sa main qui ne résistait pas, c’est comme si un clignotant rouge s’était allumé dans son cerveau : ATTENTION DANGER. Il voyait bien que, comme les autres, Ethel, adulte et consentante, avait pris le parti de s’abandonner à lui. Mais il savait que s’il entamait une relation sexuelle avec elle, ce dont il avait à ce moment précis envie plus que tout, elle serait bientôt morte, avant de rejoindre ses copines. Or Dubois comprit soudain qu’il ne voulait pas, qu’il ne pouvait pas se permettre de la perdre.

Depuis trois ans qu’il est avec elle, dans un sens … C’est la seule qui l’écoute, c’est la seule à qui il peut parler librement de tous les sujets (ou presque car il sait ne pas lui avoir encore tout dit). Ses amis ? Que savent-ils de sa vie ? Ses collaborateurs, confrères et consoeurs, qu’en savent-ils ? Même ses enfants n’en ont qu’une idée partielle. Madeleine (son ex) connaissait une partie de l’histoire mais beaucoup moins qu’elle ne le pensait. Chacun est seul avec lui-même et là, se dit-il, même si je dois la payer pour ça, il y a une jeune femme, exactement comme je les aime et désire, qui sait déjà plus sur moi que n’importe qui, plus que ma mère, une femme à qui je peux parler de tout et de rien, de moi surtout, au risque certes d’être incompris mais sans crainte d’être jugé.

Et si je la tue – et je la tuerai si on couche ensemble car elle finira par partir – je n’aurai plus personne à qui parler et je ne retrouverai jamais une autre Ethel Hazel.

Il retira sa main.

Acte 3 – Appartement d’Ethel Hazel, au 44 rue d’Auteuil, à Paris dans le XVIe, juste au-dessus de la bijouterie

Dr. Nut monte les escaliers d’un pas lourd. Il a finalement décidé d’aller voir Ethel chez elle. Il n’a aucune idée de ce qui peut se passer mais il a le cœur rempli d’appréhension. Pour avoir lu ses notes – ce qu’elle ne soupçonne pas, oh trahison ! – il sait qu’elle le croit mort et lui en veut de l’avoir abandonnée sans nouvelles. Il a bien pensé à l’appeler mais il a craint de n’avoir pas le temps de lui expliquer. Et lui expliquer quoi ? Qu’il a été retenu prisonnier par l’architecte pendant cinq mois ? Et que, ben finalement, il n’est pas mort ? Comment le croirait-elle ? Arrivé sur son palier, il tente d’écouter ce qui se passe à l’intérieur. Il sait qu’elle est seule puisqu’il l’attendait discrètement en bas de chez elle.

Ding dong

« Un instant s’il vous plaît ».
D’entendre la voix d’Ethel, qui n’exprime aucune inquiétude, le cœur de l’inspecteur se crispe et il a l’impression de peser une tonne.

Clic clac, le verrou.

L’inspecteur voit le visage d’Ethel qui s’encadre dans la porte. Elle est belle, aussi belle que quand il pensait à elle, tous les jours, enfermé seul dans sa prison. Hélas, avant même le temps de dire un mot, il voit ce visage tant aimé qui, d’abord animé d’une immense surprise, soudain se tord et se transforme en une sorte de rictus mauvais.

E.H. (glaciale) – Je vois que vous êtes bien vivant.

Dr. Nut (vexé, « elle me vouvoie ») – Ethel, écoute…

E.H. (venimeuse) – Monsieur Nutello, je n’ai pas besoin de vos explications. Maintenant allez-vous en et que je ne vous revois plus.

Dr. Nut (abasourdi : « mais elle est folle ou quoi ». Il se sent ivre de colère et s’apprête à ouvrir la bouche quand il voit passer un voile dans les yeux d’Ethel) – …

E.H. (plaidant) – « Mr. Nutello, s’il vous plaît… », dit-elle avant de refermer la porte.

Clic clac le verrou. Clic clac le second verrou, celui qu’elle utilise rarement.

Dr. Nut n’a pas eu le temps de dire un mot et reste là, les bras ballants. Il allait frapper à nouveau quand il entend soudain le son très fort de la télé. La tête basse, ne se sentant pas le cœur de faire un scandale, il tourne les talons.

Quand elle l’eut entendu partir, Ethel, le dos plaqué sur la porte d’entrée et retenant son souffle, se dit au travers d’une pensée fugace que l’inspecteur avait l’air fatigué, usé, vieilli et elle eut de la peine pour lui. Au moins se dit-elle, ce n’est pas l’architecte qui l’a zigouillé, comme elle l’avait craint un moment.

Dr. Nut (d’après les notes d’Ethel Hazel)

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Psychanalyse de l’architecte – Saison 4

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