Ethel Hazel, jeune et élégante psychiatre installée rue Labrouste à Paris a vu sa vie tourneboulée lorsqu’elle fut brièvement emmenée en garde à vue, la police voulant vérifier ses relations avec l’un de ses patients, un architecte de l’agence Dupont&Dubois Architectes Associés, soupçonné ... [Lire la suite]
Psychanalyse de l’architecte – Saison 2
Ce qui est à toi est à moi et ce qui est à moi…
«Tiens, pour une fois, l’architecte est à l’heure», se dit Ethel Hazel en allant lui ouvrir. Il avait la mine préoccupée et le teint pâle de qui n’a pas passé l’été au soleil. «Entrez», dit-elle. ... [Lire la suite]
Vendre son âme au diable, une alternative pour l’architecte ?
L’architecte entra d’un pas vif et Ethel Hazel, sa psychanalyste, nota qu’il semblait plus élancé, voire plus enjoué que d’habitude. Il n’était pas en noir. ... [Lire la suite]
Le berger tout seul ne fait pas le troupeau
Ethel Hazel, malgré la réserve que lui impose sa fonction psychanalytique, était de mauvaise humeur. Elle avait revu le Dr. Nut. Il avait l’air bien empressé de la voir quand il l’avait appelée mais elle eut le sentiment désagréable qu’il était surtout curieux des affaires de l’architecte. ... [Lire la suite]
«Se développer», dit-elle. «Comme un cancer ?», demanda-t-il.
Ding dong. Entre l’architecte. Ethel Hazel, la thérapeute, note qu’il est encore plus dépenaillé et échevelé que d’habitude. Il la salue à peine. ... [Lire la suite]
Loup y es-tu ? Un faisceau de présomptions
11h00 – L’architecte est en retard. Ethel Hazel en profite pour fumer une cigarette à la fenêtre, sachant qu’elle le verra ou l’entendra arriver. 11h15 – Un SMS informe la psychanalyste qu’il ne viendra pas. C’est la première fois. «L’occasion de mettre à jour mes notes», se dit-elle, surtout après ... [Lire la suite]
Les chaînes de l’humanité torturée sont faites de paperasse
L’architecte, qui avait changé d’accoutrement, semblait plus jeune que d’habitude, se tenant plus droit dans l’entrée au moment de poser son casque et ses affaires, sans son air de chien fou qu’il affectait parfois. Il avait l’air soucieux cependant. ... [Lire la suite]
La compta, un livre pour régler ses comptes
L’architecte était à l’heure et apparemment plus alerte que jamais. Il semblait même avoir perdu du poids. «Il doit voir quelqu’un», se dit Ethel Hazel, la psychanalyste, en le faisant entrer. Quand il eut enlevé son blouson et posé son casque, elle vit qu’il portait des vêtements neufs et qu’il ... [Lire la suite]
La nécessité (politique) de l’un fait le malheur des autres
Ethel Hazel, psychanalyste à Paris, avait à peine ouvert la porte que l’architecte s’engouffra violemment dans le cabinet comme s’il était chez lui. Il avait l’air furax. Il ne lui laissa pas le temps d’articuler un mot qu’il était déjà installé et déjà parti à vomir tout ce qu’il avait sur le cœur. ... [Lire la suite]
Le tram 33, Madeleine elle aime bien ça
Ding Dong - 11H20. L’architecte est en retard et, pour une fois, semble contrit. Il a l’air tout à la fois heureux de venir et soucieux, préoccupé. ... [Lire la suite]
De la blonde, de l’architecte ou de la psy, qui est coupable d’hybris ?
L’architecte est à l’heure et, s’il a un peu les traits tirés et le teint pâle de qui dort peu, il rayonne cependant d’enthousiasme et de joie de vivre. Il a les vêtements froissés de quelqu’un entre deux avions. ... [Lire la suite]
Peut-on être innocent lorsqu’on aime un coupable ?
Ethel Hazel est en train de se régaler dans le Parigot des histoires de la campagne des municipales à Paris – de par sa profession, elle trouve le personnage de Cédric Villani, Brutus parmi les Brutus, assez extraordinaire, au sens halluciné du terme, et n’est pas sans affection pour la résilience ... [Lire la suite]
Bas carbone vs biodiversité
L’architecte avait un petit sourire en coin en entrant et en voyant Ethel Hazel qui l’attendait. Il posa ses affaires – toujours au même endroit («un homme d’habitudes», se dit la thérapeute) – mais il ne lui dit pas un mot, se contentant d’un signe de tête pour la saluer. Puis il alla s’allonger. ... [Lire la suite]
Pour le Dr. Nut, une violente descente de police
Docteur Nut se retrouve dans le cabinet d’Ethel Hazel. C’est la deuxième fois qu’il vient sur le lieu de travail de son amante (aujourd’hui il peut bien penser à elle comme à une amante). Pourtant, c’est la deuxième fois qu’il vient, chez elle en quelque sorte, dans son cabinet, comme un voleur. Au ... [Lire la suite]