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Accueil > Chroniques > Chroniqueurs > Chroniques d'Alain Sarfati > L’intelligence architecturale, et pas que, artificiellement confisquée

L’intelligence architecturale, et pas que, artificiellement confisquée

18 janvier 2022

intelligence architecturale
Bibliothèque d’Exeter @ Xavier de Jauaréguiberry

« Quand un architecte se demande ce qu’est l’architecture, à quoi ça sert, quels buts elle doit viser… quand il essaie de répondre de façon rationnelle, et réfléchie… il fait de la philosophie ! … Or que serait un architecte qui ne se poserait pas ces questions, ou qui ne prendrait pas le temps d’y réfléchir ? Certainement pas un architecte digne de ce nom… » André Comte-Sponville in Cahier 78 de l’Unsfa.

Le dessin assisté par ordinateur, comme la conception assistée par ordinateur, a fait son entrée dans le monde de l’architecture à la fin des années 70. Depuis, les progrès ont été immenses, les espoirs nombreux, les apports de l’informatique incontestables et aujourd’hui c’est de l’Intelligence Artificielle dont il est question. C’est bien normal, c’est l’ensemble de notre quotidien qui est occupé par les nouvelles technologies, par l’espoir d’avancer et d’améliorer notre qualité de vie.

L’architecture et la ville ont tout à gagner de ces progrès, à quelques conditions près : qu’il n’y ait pas de confusion d’échelle entre l’architecture et la ville, ce qui a été le cas pendant de nombreuses années. La ville est depuis trop longtemps considérée comme une extension de l’architecture alors qu’il s’agit d’un projet très différent, d’une autre culture. L’autre condition est de bien mesurer ce que signifie la conception, la démarche, le sens, dans le domaine de l’architecture et ne jamais les perdre de vue, faute de quoi c’est l’essentiel de l’architecture qui disparaît.

Il ne faut pas plaisanter avec l’Intelligence Artificielle, tous les espoirs sont permis. Pourtant, il semble utile de jeter un regard sur l’évolution des outils et celle en parallèle de l’architecture ! C’est un travail d’historien. Nous savons depuis l’historien de l’art Erwin Panofsky (1892-1968) que les outils transforment l’architecture et que, si l’on n’y prend pas garde, c’est l’outil qui entraîne la tête, et avec elle l’architecture pour le meilleur et pour le pire. Les progrès sont réels mais sont-ils sans limites ?

L’invention de la perspective, la vision aérienne, le dessin assisté par ordinateur, tous les moyens de reproduction et de diffusion dont nous disposons doivent nous mettre en garde face à l’écran de fumée qui risque d’occulter la vraie grandeur de l’architecture. Il ne se dissipera pas facilement. Le BIM a fait une percée en force, peut-on pour autant évaluer l’amélioration des conditions de travail d’exploitation ou de la qualité architecturale ?

S’il ne faut pas prendre le risque d’être « ringard », faut-il pour autant être moderne à n’importe quel prix ? Ou brader l’architecture ?  Il est temps d’ouvrir les yeux pour mettre la conception architecturale au centre du débat, c’est une intelligence singulière.

L’Unsfa a livré un dossier sur l’IA ou l’Architecture Intelligente, une manière de montrer qu’il ne faut pas avoir peur de ce qui se prépare et d’être dans le coup. L’architecture contemporaine est arc-boutée sur une modernité qui se pare de plumes vertes. Etre moderne jusqu’à ne plus savoir le sens que cette notion recouvre. Le statut d’artiste est dévalorisé, c’est bien dommage car il n’y a que poétiquement que la réponse architecturale, aidée par l’intelligence architecturale, trouvera son public.             

L’architecture ne peut pas, naturellement, être autre chose que de l’intelligence, de la compréhension aiguë des situations, des contextes sans renoncement. D’aucuns pourraient croire que l’architecture est universelle, qu’elle ne craint rien et que les architectes s’en sortiront toujours. Pas aussi évident qu’il y paraît : design, paysage, urbanisme, économie, BET, … l’architecture a du mal à stabiliser son champ d’action qui a volé en éclats dans les dernières décennies et il est normal que, dans notre nouveau monde, elle se redéfinisse. Mais le débat est apparemment, ici comme ailleurs, difficile voire impossible, trop idéologique, trop déstabilisant. Alors, sans vrai débat comment peut-on espérer élever le niveau d’intérêt pour l’architecture en France ? En prenant tous les prétextes pour rester « éveillés », attentifs, pour que les architectes gardent l’architecture comme passion (c’est le nom de la revue à laquelle je fais référence) !

L’intelligence artificielle apparaît, et ce n’est pas nouveau, comme un outil de conception. Il a un énorme inconvénient, celui de donner l’illusion que la culture ne servira plus à rien, l’IA en serait dépositaire. C’est déjà le cas et c’est un danger bien réel.

L’architecture intelligente doit faire face sur plusieurs fronts, celui du programme qui est tellement détaillé qu’il suffit juste de le mettre en forme, cela en totale contradiction avec l’espoir d’une évolution possible. Celui de l’économie qui, détenue par les entreprises, devient complètement conjoncturelle et erratique. L’intérêt pour l’architecture se dissout, il ne manquait plus que l’IA pour achever le travail.

L’architecture n’est pas un sport de combat puisque les règles du jeu changent au gré du temps, c’est simplement un combat, une résistance, une conviction. Il s’agit de donner à la conception sa place, sa juste place, toute son importance, mais c’est elle qui est menacée.

C’est quoi un projet intelligent ? Un projet qui, au-delà du programme strict, prend en considération tous les possibles, toutes les extensions, les évolutions, les adaptations, les optimisations. Un projet intelligent c’est, paradoxalement, rendre l’évidence visible, palpable, la révéler. Ce n’est pas l’architecture visible, c’est son infrastructure. C’est un support, une méthodologie, avant d’être des formes.

L’architecture est un prétexte, un support ouvert à l’inscription symbolique, à l’appropriation.  C’est un support qui, au-delà de la géométrie euclidienne ou paramétrique, sera complété par un appareil métaphorique. Il garantira l’unité et la diversité dans un même élan, la construction et les technologies sont les outils de ce projet, la dépendance devient vite une contrainte. Une panne d’électricité et les volets ne remontent plus, la porte reste fermée, la maison s’est transformée en prison. Pour combien de temps ?

Je n’ai pas l’intention de faire le procès de l’intelligence technique, je veux dire que l’intelligence n’est pas forcément là où on la croit, elle se cache dans la conception, dans le projet de n’importe quelle réalisation, et les architectes eux-mêmes l’ont trop souvent oubliée.

L’esthétique numérique au secours de l’esthétique industrielle

Ce n’est pas en prenant le train solitaire du numérique, qui prend la forme d’une nouvelle esthétique après celle donnée par l’industrie et le high tech comme support d’innovation, que la démonstration de la nécessité architecturale sera faite. C’est en montrant que tout commence par l’architecture comme projet dans la société, par une programmation générative, l’intelligence de l’architecture, qui dit sa part d’innovation de réponse à la réalité des pratiques et non une programmation uniquement fonctionnelle et quantitative.

L’économie est le cadre de n’importe quel projet, le contexte le nourrit mais seule l’architecture lui donnera du sens, un sens social qui signifie le vivre ensemble démocratique.

La base de la ville intelligente, comme celle de l’architecture intelligente, est dans ses fondements, ses principes, sa conception. Aujourd’hui, l’intelligence est technique. L’architecture, depuis un siècle, s’est soumise à l’innovation technologique essentiellement de la construction, tant et si bien qu’elle a perdu l’essentiel de ce qui fait la spécificité de son intelligence. L’échelle est l’outil qui permet d’appréhender des programmes de tailles et de natures différentes pour les transformer en projets.

Nous assistons à quelque chose qui ressemble à un renoncement, l’intelligence d’un bâtiment ne serait que technique alors que l’intelligence est ailleurs. Elle est aussi dans le processus, la démarche, qui a le défaut de ne pas être une image mais la qualité de permettre au préalable un dialogue initial.

Dès l’origine de la conception, la problématique est posée. Il faut y réfléchir lorsque l’on voit l’inflation de documents demandés dans les mises en consultation. La compréhension d’un problème ne se fait pas à partir de références à des projets similaires réalisés à 3 000 kms ! Il serait plus judicieux de demander comment l’architecte compte aborder le problème, de quelle manière il compte articuler les activités, la façon dont l’évolutivité peut être prise en considération, la façon dont le coût sera abordé… Alors, vous aurez le début d’une intelligence qui permettra l’inscription symbolique, le dialogue, la co-conception et l’appropriation. La dimension emblématique, la construction du sens, la place faite à la technique, sont autant de sujets préalables à la commande d’architecture intelligente. L’intelligence est d’abord architecturale et conceptuelle il ne faut jamais l’oublier, l’obsolescence prématurée c’est la répétition et l’habitude.

Ne pas se laisser mener, ne pas être à la traîne mais au contraire être devant, guider, proposer, innover, inventer pour répondre aux attentes. C’est là que se trouve le travail, celui d’une architecture qui, s’appuyant sur la technique, doit faire éclore ses dimensions naturelles, les dimensions humaines, les dimensions poétiques.

C’est la complexité de l’intelligence architecturale qui est en jeu, c’est l’avenir de l’architecture.

Pourquoi croire aux valeurs portées pas l’architecture ? Pourquoi est-il indispensable de résister à ce raz-de-marée ? Pourquoi croire que notre rôle est de conduire dans un monde de plus en plus complexe ? Tout simplement parce que l’architecture est la part matérielle concrète de la société, ce sont des jalons, des « témoins » que nous laissons et dont nous devons nous enorgueillir. 

L’architecture a péché par mégalomanie en faisant une analogie rapide entre la ville et un bâtiment, en croyant dans la vertu des utopies, c’était un autre temps. L’urbanisme a été défaillant par autoritarisme, il est devenu réglementaire et a oublié la nécessité du « projet ».

C’est une conviction, une croyance, mais après tout l’idéologie a la force de sa clarté, alors pourquoi ne pas avancer en gardant un équilibre entre l’aridité théorique et le réalisme pragmatique. Amplifier les sens, le regard porté sur le monde, sur la vie, sur la société, non pas de façon théorique mais poétique en travaillant sur le cadre, la périphérie, un peu comme l’araignée qui commence par l’extérieur pour aller vers le centre, elle relie. La toile d’araignée vaut bien la ruche qui a été la métaphore, adulée, du dernier siècle.

Les architectes sont concernés, les élus le sont au premier chef

Les préoccupations sont ailleurs : la ville, l’emploi, la circulation… la planète à préserver, pas de place pour l’architecture et c’est bien normal. Pourtant, c’est ce qui reste, la trace, ce qui se partage. Je sais, c’est une affaire de roi, de princes, d’archevêque, je pense que c’est plutôt une affaire d’édiles. Il y a des coups à prendre sauf si l’on sait où aller. C’est une autre architecture qu’il faut proposer, que nous devons faire partager, c’est la part concrète de la démocratie.  

L’architecture ça se commande !

Doit-on commencer par la recherche d’une définition de l’architecture qui convienne à tout le monde et qui soit contemporaine ? Plus elle sera large et ouverte, moins elle sera porteuse de sens. Acceptons l’idée que l’architecture est attendue par tout le monde et commandée par bien peu d’interlocuteurs. L’architecture c’est cette beauté concrétisée, parfois tellurique, c’est ce clin d’œil au quotidien qui rend vivante la matière.

Aujourd’hui, c’est l’idée d’être protégé, c’est celle de la réversibilité, de l’extension, de la surélévation de l’œuvre, c’est Fontainebleau plutôt que Versailles.

La modernité telle qu’elle a été réalisée est une erreur de parcours. La faute au fonctionnalisme, la faute au tout technique. L’idée est simplement de creuser un nouveau sillon avec intelligence et en mettant les choses à leur place, y compris l’IA.

La question n’est pas ce que l’outil peut apporter mais l’idée que l’on s’en fait dans un monde mal intentionné.

Stephen Hawking prévenait, en 2014 sur la BBC, « l’Intelligence Artificielle pourrait conduire à l’extinction de la race humaine ». Le sujet est sérieux. L’Intelligence Artificielle doit être un outil, une aide pour notre « intelligence générative », celle qui doit inventer, surprendre, émouvoir, progresser nourrie de culture et d’avenir.

Lorsque c’est l’outil qui conduit, qui fascine, l’essentiel devient accessoire, l’architecture devient paramétrique et le risque est grand de voir l’essentiel, le sens, disparaître. Les exemples abondent, l’Architecture doit être d’abord un projet réfléchi, en cela André Comte-Sponville a raison. Il est temps de comprendre que l’idéologie ne peut pas tout faire, il faut s’interroger, se redéfinir.

J’ai une réserve, celle de voir une nouvelle fois une nouvelle technique utilisée comme un leurre, prendre la place de ce qui fait le génie de l’homme, sa capacité à innover, à inventer, à concevoir. Alors l’IA doit être considérée pour ce qu’elle est, une aide à la décision mise à la disposition de tous.

Personne ne pourra refuser une aide si elle est largement partagée, et pourquoi pas mise à la disposition de la profession, par ceux-là mêmes qui s’y intéressent aujourd’hui, ou ceux qui éditaient la série des prix, l’académie d’architecture et avaient de ce fait un observatoire de l’économie de la construction à la disposition des architectes.

Une proposition : créer l’observatoire de la conception architecturale, un super ordinateur, outil de la profession ! Toutes les conceptions soumises à l’évaluation de l’Intelligence Artificielle, les architectes reprennent la partie en main. Pourquoi pas ?

Alain Sarfati
Retrouvez toutes les Chroniques d’Alain Sarfati

*Lire également notre chronique Enfer ou paradis ? Dans le métaverse, rien de réel, sauf les clones de F.L. Wright

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Par Alain Sarfati Rubrique(s) : Chroniques d'Alain Sarfati

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