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Accueil > L'époque > Débats > Tribunes > « MOI, JE CONSTRUIS. » Et toi ?

« MOI, JE CONSTRUIS. » Et toi ?

17 juin 2025

Alto - MOI, JE CONSTRUIS
@JPC

La pratique du métier d’architecte évolue. Partout des architectes, dans l’industrie, les services, la recherche… mais sur les chantiers, de moins en moins. Chronique de la désertion.

À Helsinki, dans l’atelier d’Alvar Aalto transformé en musée, le visiteur peut acheter un pin’s sur lequel figure le profil droit de l’architecte au chapeau, suivi de l’inscription « MOI, JE CONSTRUIS. », en lettres majuscules. Cette modeste idée marketing permet de repartir de ce lieu de pèlerinage avec un objet de culte, semence de l’architecture moderne que concevait le Finlandais.

Sans aucune certitude, d’espérer dans cette courte sentence une citation de la parole du maître, retrouvée par ses exégètes parmi ses écrits ou confidences. En trois mots, elle transmet l’impérieuse nécessité qui mobilisa l’architecte, urbaniste et designer, pendant plus de cinquante ans. Cette affirmation définitive ne souffre pas de contradiction et contient toute la conviction qu’Aalto investissait dans sa pratique. C’est une exhortation qui laisse penser, comme un reproche, que tout architecte ne construit pas, et qu’il est préférable de construire que de ne pas construire.

C’est une incantation pour que survienne le charme qui trace le chemin, du site au site, et transforme l’intention en projet, le projet en construction et la construction en usages d’architecture ; cette architecture organique de « l’harmonie entre l’humain et la nature », chère à Aalto, et à ses biographes, aujourd’hui est redevenue contemporaine à la faveur de la question environnementale. Encore faut-il la construire ! « MOI, JE CONSTRUIS » est un slogan improbable dans ces temps de doute existentiel qui agite la profession.

Pour tous ceux qui, architectes, ne sont ni accompagnateurs MaPrimRénov’, ni diagnostiqueurs de performance énergétique labellisée RGE, ni formateurs RE2020, il est nécessaire de se convaincre que concevoir ET construire est encore un mode d’exercice possible du métier. Cette volonté, imaginer ET bâtir, qui synthétisait, jusqu’à la fin du XXe siècle, la pratique dominante de la profession, est devenue un engagement contrarié. Le pays construit de plus en plus mais de moins en moins avec les architectes ! Bien sûr, ils participent au process global. Ils gardent une prééminence sur la conception lorsqu’il y a quelque chose à concevoir. Ils sont encore nécessaires à l’obtention de l’autorisation administrative de construire. Mais ils laissent souvent la main à d’autres acteurs dès qu’il faut passer à l’acte et que s’annonce le chantier.

Concevoir ? Sûrement. Construire ? Pas trop !

Construire pour transmettre

Cette réalité est douloureuse pour ceux qui revendiquent le chantier comme une part indéfectible de l’œuvre sociale qu’est l’architecture. Certains en font le constat, amer pour Estelle Poisson dans le Journal d’une jeune architecte,* le 13 mai dernier, ou furieux avec Rudy Ricciotti dans l’ouvrage récent « L’insoumission ». D’autres praticiens, au sein des écoles d’architecture, font de la confrontation collective à la matière un axe essentiel de leur transmission capable de révéler l’enjeu, l’envie et le plaisir de construire.

La déprime de l’architecte et la dépréciation de son personnage auprès du public se comprennent dans cette désertion actuelle du lieu où se construit l’ouvrage. Isolé dans son agence qui n’est à l’évidence pas un lieu de communication des mécanismes et arguments de la conception vers le grand public, l’architecte assume de moins en moins son rôle sur le chantier. Il délaisse ce moment ultime où la gestation de l’architecture est partagée, visible, compréhensible, transmissible. Il disparaît, tranquillement, docilement, de l’assemblée des compagnons qui construisent.

Bien sûr, l’image de l’architecte chef d’orchestre est obsolète. Quelques grands gourous y croient encore, cependant d’aucuns assistent davantage à leurs prêches dans des salles de conférences qu’à des grands-messes sur les sites de leurs projets. Lors de la conférence dans une enceinte professionnelle de l’un de ces papes, que nous aimerions croiser sur site, entouré des compagnons qui construisent ses temples, une disciple disait à sa voisine, dans un rire voluptueux : « C’est la première fois que je le vois en vrai ». La frugalité heureuse n’empêche pas la dévotion gourmande…

Les passants qui déambulent avec toujours autant d’envie autour des grilles des chantiers interdits au public, ne croient pas une seconde que l’architecte puisse être présent dans ce lieu apparemment désorganisé, animé de mouvements incompréhensibles et confus, où le seul qui semble dominer la situation est le grutier. Pourtant ces chantiers sont des lieux incomparables pour transmettre l’architecture, sans doute les meilleurs vecteurs possibles vers le public. Il suffit de mener la visite d’une école en construction, d’une médiathèque, d’une maison en chantier pour percevoir la fascination qu’exercent ces lieux en devenir pour les visiteurs qui en découvrent la genèse.

Missions de démission

Aucun complot dans cette désertion du champ de bataille. D’abord une démission. Celle des architectes eux-mêmes. Si l’architecture est un sport de combat, nombre des belluaires désertent le ring bien avant les rounds décisifs. Ceux qui ont, avec bonheur et surprise, gagné le goût du chantier lors de leurs premiers projets de maisons ou d’appartements en ville et découvert les émotions intenses qu’on y ressent, en sont souvent écartés dans l’exercice des maîtrises d’œuvre actuelles. Avec une indiscutable forme de renonciation, apparaît aussi l’impossibilité de construire qu’entérinent les contrats de maîtrise d’œuvre qui excluent le chantier. Privés du plaisir de construire et de son apprentissage permanent, ils le sont aussi des 35 % d’honoraires que représentent ces missions.

Cette exclusion du chantier, subie ou consentie, témoigne aussi d’une évolution structurelle du milieu de la construction où la division du travail, ici comme ailleurs, parcellise les rôles, divise les interventions et dilue les responsabilités. Dans cet éclatement des tâches, l’architecte qui revendique pourtant l’art de la synthèse n’a plus sa place ou ne souhaite pas la prendre. En d’autres circonstances, une forme de désertion passible de la cour martiale… La loi MOP, malgré toutes ses avancées, en disait déjà quelque chose. Les missions EXE2 et SYN y sont complémentaires, optionnelles, et quasiment jamais confiée à la maîtrise d’œuvre qui pourtant les réalise, par anticipation lors des études ou en urgence en réunion de chantier. Il n’y a pas complot, force est de constater toutefois que cette relégation sert quand même d’autres intérêts.

Ceux des promoteurs, les plus gros d’entre eux, boucs émissaires consentant aux critiques de tous leurs partenaires, qui trouvent dans une maîtrise d’œuvre d’exécution externe, absente des phases de conception, un partenaire sans état d’âme, peu instruit des intentions du projet, qui s’en tient à ses seules contingences. Ainsi, des tableaux, lignes et colonnes réparties sur sept pages, actent la répartition des tâches au sein des équipes d’ingénierie d’opérations de logements. Le maître d’ouvrage fait cocher des cases à chaque partenaire ; dans le chapitre « Exécution des travaux » les colonnes architecte sont vides, seules sont inscrites celles qui engagent le travail et la responsabilité de l’architecte sur la conformité architecturale. Celle-ci, instruite par la compilation des documents chantier réalisés par la maîtrise d’œuvre d’exécution, est lourde d’engagements insoupçonnés jusqu’à l’obtention de l’incontournable permis modificatif.

Quelques projets de logements en ZAC échappent à cette restriction lorsque des collectivités locales organisent les concours conception-réalisation où elles demandent aux constructeurs de confier aux architectes retenus une mission de base au sens de la loi MOP et, parfois même, de dédommager les perdants. Tout n’est pas si sombre dans la conscience du Prince. Sauf en période préélectorale, lorsque s’initient des projets, jamais évoqués en cours de mandat, qui font l’objet de concours dont les images suffiront à attester d’une bonne volonté future auprès des électeurs.

Ces projets seront mis en stand-by, en revendiquant l’honnêteté démocratique, juste avant les élections, ou annulés par les nouveaux élus, juste après. Dans ce contexte, tout espoir de construire est vain, pas question d’un chantier, ni même d’un projet, mais la course à la prime de concours, acquise seulement si le jury désigne un lauréat avant le premier tour. Les municipales en 2026, les présidentielles en 2027, des législatives avant, au milieu, ou après… Quelques années de faux départs en perspective !

Quelques clients privés, qui ne sont pas des maîtres d’ouvrage professionnels, suivent encore la proposition de leur architecte d’une « mission complète », entrée, plat, désert. Sont-ils si nombreux à le faire ? Réduite à peau de chagrin, la commande publique a encore cette qualité de ne pas brader les missions et déqualifier leurs auteurs.

Les industriels des filières bâtiment ont bien compris quel parti tirer de la défection des architectes. Ils élaborent et proposent des produits de second œuvre prêts à l’emploi dont ils vantent les mérites auprès des concepteurs-prescripteurs et des maîtres d’ouvrage. Pour ces travaux, la seule étude d’exécution est le calepinage dessiné par l’entreprise de pose afin d’optimiser les chutes ; pas de travail, pas de rémunération de l’architecte, pas de mission. Dans cette logique du moindre effort et du gros bénéfice, ce sont les artisans qui trinquent, y compris ceux qui ont dû s’engager en entreprises. Ceux qui savent traduire des intentions parfois fumeuses en réalités construites ne sont plus sollicités pour le faire. Bienheureux d’être encore poseur d’un produit contrefait dont ils fabriquaient, en leur temps, l’original.

D’autres à leur place

Les entreprises sont conscientes de cet exode des architectes vers d’autres terrains d’expression. Certes des entrepreneurs le déplorent mais ils font la différence entre architectes et bâtisseurs et ne comptent pas sur les premiers pour assurer le job des seconds. Ils préfèrent discuter avec les ingénieurs qui optimisent les détails plutôt qu’avec les architectes qui les développent. Privés de l’échange avec ces derniers, ils peuvent s’adresser à d’autres intervenants pour être efficaces.

Dans un document récent sur les rôles de l’OPC (Ordonnancement, Pilotage, et Coordination, soit un professionnel intervenant sur les chantiers de construction) et du SPS (coordonnateur en matière de sécurité et de protection de la santé), publié par une fédération départementale du BTP dans une revue d’annonces légales, intitulé « Les chefs d’orchestre de l’ombre qu’il est temps de mettre en lumière », chacun peut lire : « L’OPC doit aussi assurer la mission de l’Exécution des Travaux (DET). Sinon, qui tient la barre ? ». Manifestement, pas l’architecte ! Au début de l’article une phrase annonce la couleur : « Sur un chantier, on célèbre l’architecte, on applaudit l’ingénieur, on loue les compagnons ». Célébrons donc, mais seulement le jour de l’inauguration.

Sur le chantier sans architecte, c’est effectivement l’OPC, le maître du temps à la vision globale, le plus qualifié pour servir le planning et l’efficacité. Mais il ne peut initier le ‘feedback’ permanent qui s’installe entre réalité et intention, celui qui modèle en direct le projet encore malléable dans l’interaction entre les ouvriers et l’architecte. Le dessin des études est pris au pied du trait, celui qui l’a tracé n’est pas là pour le partager et l’améliorer avec les compagnons qui le transforment en architecture. L’improvisation in situ, prolongement de la conception initiale, n’anime plus l’ouvrage en construction. « La part des anges » s’évapore.

Face au caractère provocateur du « MOI, JE CONSTRUIS. », à l’heure du bilan carbone, nouveau nord de notre boussole environnementale, un contrepoint qu’il faut bien entendre : « les m² les plus écologiques (décarbonés, durables, économiques… écrire l’adjectif de son choix), sont ceux que l’on ne construit pas ». Selon le PUCA, les besoins annuels de logements neufs en France divergent entre les 150 000 de l’estimation frugale de l’ADEME et les 520 000 ambitieux de l’Union Sociale pour l’Habitat, 300 000 pour le Plan Urbanisme. Ces logements sont-ils des m² utiles, durables ou simplement nécessaires ? Faut-il les construire ? Est-il permis d’imaginer qu’en les construisant, seront « réenchantés » le métier d’architecte et la vie des mal-logés ? Allez demander leur avis aux familles sur les listes d’attente des bailleurs sociaux et aux occupants des logements d’urgence !

Ce que transmet Alvar Aalto avec son « MOI, JE CONSTRUIS. », c’est qu’il n’est pas indispensable de produire des projets incongrus, des paris constructifs hasardeux, des architectures capricieuses, ni de voir apparaître des Pritzker, des entreprises championnes du monde, des meilleurs ouvriers de France, pour vivre, sur un chantier, le bonheur de construire. Des projets ordinaires, des chantiers ordinaires, menés par des architectes-bâtisseurs ordinaires, permettent de vivre ces émotions intenses. Il faut les revendiquer plutôt que les craindre ou les fuir. Il faut surtout des architectes qui en aient envie.

Jean-Philippe Charon
Architecte**

* Lire la chronique Journal d’une jeune architecte – Une architecture sociale, ça encombre ?
** Lire, du même auteur : Que valent les agences d’architecture ? Chronique de la transmission

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Par La rédaction Rubrique(s) : Tribunes

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