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Accueil > Editos > Le bien-être à l’hôpital sans murs, une gageure ?

Le bien-être à l’hôpital sans murs, une gageure ?

12 juin 2018

No camera, please @ D.R.

L’Union internationale des architectes (UIA) a tenu son 38ème séminaire annuel du 29 au 31 mai 2018 au Parc des Expositions de Paris- Porte de Versailles autour du thème : «Hospital 21». Quels sont les enjeux de conception de l’hôpital de demain ? Visite à la ‘Health Care Week’ pour prendre le pouls de la profession dans ce domaine.

Renouvellement de l’offre et loi de la demande

Des architectes mais aussi des assistants à maîtrise d’ouvrage et les boîtes de conseil spécialisées tendent à expliquer que la conception hospitalière est trop compliquée pour être laissée aux néophytes. Sous couvert de très haute technicité, cela permet surtout de concentrer la construction hospitalière dans l’entre soi commode des sachants.

Mais est-ce si compliqué de construire un équipement de santé ? Peut-être pas tant que ça si l’on en juge par le nombre de nouveaux entrants sur ce marché porteur, l’occasion pour des agences d’architecture petites et grosses de se positionner et de bousculer les hiérarchies bien établies.

Ainsi l’agence Montpelliéraine A+, pour la première fois sur le Village des architectes de l’évènement, multiplie les équipements dans le domaine de la santé depuis qu’elle est lauréate en 2015 du concours de l’extension de l’Hôpital Nord-Ouest de Villefranche-sur-Saône, un projet de 14 000m² doté d’un budget de 27M€.

Ou encore l’agence parisienne A.26, la 9ème agence française en chiffre d’affaires et dont c’est la troisième apparition au Village, qui depuis la livraison en 2014 de son premier EHPAD, à Fargues-Saint-Hilaire (Gironde), jusqu’au Centre multi-accueil livré à Paris en octobre 2017, accumule les projets (au moins sept) pour un budget travaux cumulé d’environ 120 M€, sans compter des projets au Sénégal (150M€), en Lybie (60M€) et en Chine (93.5M€). Le tout en quatre ans à peine ! Cela ne peut donc pas être si compliqué de construire des hôpitaux.

Hôpital au Sénégal @ A.26

Il suffit d’ailleurs de voir comment les grosses structures se jettent désormais sur le moindre projet à 5 M€ en cambrousse… La marge j’imagine. Ce faisant, elles déstabilisent encore un peu plus les petites agences qui en avaient fait un savoir-faire de niche et d’où émanaient souvent les idées les plus innovantes et les recherches architecturales les plus sincères.

Or c’est la concentration de ces gros cabinets spécialisés qui a fini par scléroser la pensée tandis que des logiques de production de plus en plus éloignées de l’univers hospitalier prenaient le pas sur la mise en oeuvre. Pas étonnant que des maîtres d’ouvrage aient eu envie de chercher de nouvelles idées. De fait, «la co-construction dans le domaine hospitalier est un stimulateur de créativité», souligne Caroline Rigaldiès, architecte associée de l’agence Pargade, lors de sa conférence intitulée l’hôpital en réseau et consacrée à la coconstruction dans l’organisation de l’hôpital.

Cela est sans doute vrai aussi longtemps qu’au fil des discussions entre administrateurs et syndicats, médecins, personnels hospitaliers et les associations de patients, de compromis en compromissions, la conception puis la construction ne deviennent une usine à gaz, surtout à la vitesse à laquelle changent les directeurs, au fil des nominations de ministres.

Quid de l’architecte généraliste ? Les différentes conférences ont montré que la spécialisation a de beaux jours devant elle. A tel point d’ailleurs que le département d’architecture de l’université de Clemson, en Caroline-du-Sud, qui envoyait d’ailleurs plusieurs conférenciers à ce rendez-vous annuel, tire sa renommée justement de sa spécialisation dans le domaine de la santé. Une école d’architecture dédiée !

Pensée ou bâtiment évolutifs ?

Pourtant un vent neuf souffle sur le domaine hospitalier, ce dont témoignaient abondamment la plupart des acteurs présents Porte de Versailles, même s’il faut en relativiser la portée et faire la part de la communication obligatoire. «Les maîtres d’ouvrage veulent tous de l’évolutivité mais ils veulent aussi des murs en dur selon des grilles déterminées, ce qui est antinomique», se marre ainsi un architecte. «Il faut décrypter ce que les maîtres d’ouvrage entendent par évolutivité, ce qui n’est pas forcément la même définition que celle de l’architecte», nuance un autre qui souligne que l’évolutivité consiste souvent à permettre un autre usage d’un même espace.

«La tendance aujourd’hui n’est plus de faire par exemple des salles d’opération particulière, le cœur ici, le foie là, mais des salles polyvalentes et rapidement adaptables dans lesquelles toutes les opérations peuvent être effectuées», confirme Sarah Caragiale, associée de Behrend Centdegrés Architectures. «La clef est d’apporter une réponse évolutive car tout projet d’hôpital doit prévoir son évolution. Le challenge est donc de garder l’image et l’esprit du projet tout en admettant une évolution», dit-elle. Et, en effet, cette évolutivité-là, si elle demeure loin des solutions que pourraient proposer les architectes selon une autre définition de l’évolutivité, n’en est pas moins signe d’un changement de paradigme.

Dans ou hors la ville, ou les deux ?

@ Bloom for Art&Build – Pargade

De façon générale, ce sont toutes les circulations, intérieures et extérieures, qui sont réétudiées autour de la question majeure : l’hôpital dans la ville ou hors la ville ? La tendance, de Nantes aux Etats-Unis à la Tunisie semble être à une volonté d’insertion urbaine, avec une volonté marquée d’éviter désormais l’hôpital ‘forteresse’.

«Dessiner un hôpital est fondamentalement dessiner un design urbain», souligne Dina Battisto, professeure associée de l’école d’architecture de l’université de Clemson. «Un hôpital a un impact énorme sur les infrastructures et sur les communautés», dit-elle. Elle explore donc avec ses étudiants le concept d’un hôpital sans mur, «qui permet d’effacer les limites entre l’équipement et la ville et d’instaurer une mixité des usages», dit-elle citant en exemple Northwestern Hospital, dans le centre de Chicago. Au même moment, dans la pièce d’à côté pour une autre conférence, Caroline Rigaldiès de l’agence Pargade expliquait en résonance que «gommer les limites de l’hôpital permet de minimiser son échelle».

Il s’agit donc selon elles, et d’autres, d’imaginer un établissement perméable, avec pourquoi pas des commerces en rez-de-chaussée. Une problématique explorée selon les mêmes axes pour le futur CHU de Nantes par l’agence Pargade et Art & Build qui proposent, à l’opposé des «cathédrales hospitalières» du XXe siècle aux échelles oppressantes, «une structure urbaine et paysagère porteuse d’espaces publics qui s’inscrit dans la matrice de la ville en s’appropriant les enjeux urbains, paysagers et territoriaux».

Christopher W. Kiss, architecte, lui aussi à l’université de Clemson et chercheur dans le département de ‘Planning, Design and the Built Environment (PDBE)’, s’attache pour sa part à étudier la rénovation et les adaptations nécessaires à ces hôpitaux qui furent pendant des décennies construits loin de la ville. «Mettre les malades à la campagne, c’était pour leur bien mais permettait surtout de cacher loin toutes sortes d’indésirables», note l’architecte. «Mais quand l’extension de la ville les a rattrapés, ces établissements doivent laisser entrer la ville dans l’hôpital», dit-il. L’image de l’établissement se transformant alors, l’architecte n’hésite pas à envisager des ‘wellness districts’. En France, dans les années 2000, on construisait encore des hôpitaux à la campagne au milieu de nulle part et il va falloir un moment que la ville, n’importe laquelle, les rattrape.

Wellness ou bien-être ?

Le ‘Wellness’, bien-être en français, est également au cœur de la réflexion des architectes. Si cette exigence n’est pas tout à fait nouvelle de leur part, il est vrai que le monde hospitalier lui-même évolue et voit nombre de ses approches purement techniques et scientifiques remises en question par des considérations plus humanistes, l’hôpital acceptant de plus en plus d’ailleurs des traitements il y a peu encore considérés comme des superstitions. ‘Northwestern Hospital’, encore lui, dispose d’un service de soins et de recherche sur l’acupuncture depuis une trentaine d’années.

La question du bien-être des acteurs hospitaliers mérite également d’être posée tant l’optimisation à tout crin finit par perdre tout sens, voire produit des ‘aberrations’ pour reprendre le mot d’un architecte. «Il faut faire passer le message aux autorités de sortir de leurs tableaux Excel», s’insurge un autre.

D’ailleurs, la question qui taraude les professionnels de l’hospitalier est celui du recrutement tant les contraintes sont multiples : salaires, difficultés du travail, horaires décalés, confrontation au public, transports et logement dans les grandes villes, etc. La question est si pressante que Sabine Georges, recruteur à la direction des ressources humaines du Centre de santé Tulattavik de l’ungava, dans le (très) grand nord canadien, était à Paris ces trois jours pour présenter tous les avantages d’exercer au Nunavik.

White bears not allowed @ D.R.

Le bien-être est une antienne également reprise mais sous un autre angle par les architectes tunisiens Mohamed Gharbi (GM ARCHI) et Hafedh Makni Architecte dont la conférence traitait de la «qualité de l’accueil des patients et des proches». Si beaucoup a été fait pour encourager l’accueil ambulatoire (à des fins purement financières souvent), l’accueil des familles est selon eux le parent pauvre de l’hôpital, quiconque ayant dû attendre des heures dans une salle d’attente sans âme peut en témoigner. Mais les deux architectes vont plus loin. «Un aspect social à prendre en compte dans la conception est que pour un malade, c’est toute une famille qui est concernée. Des gens viennent parfois de très loin pour voir ou accompagner un proche malade ou accidenté. Leur aménager des espaces dédiés leur permettrait de prendre un peu de repos mais aussi de laisser du répit aux malades et patients et de ne pas encombrer les consultations et les couloirs», disent-ils.

Projet à Sfar @ GM Archi

Accueil humain, trop humain

Parmi les stands du salon, il y avait un petit robot, de la taille d’un garçonnet d’une dizaine d’années, présenté fièrement au public. Alors qu’un petit groupe s’est formé, l’animateur, joyeux et fier, après avoir fait s’approcher une dame, dit au robot : «Serre la main». Les yeux bleus du robot clignotent mais rien ne se passe. «Serre la main», reprend l’animateur.

D’évidence, le robot n’a pas beaucoup de vocabulaire car, à nouveau rien ne se passe. Et l’assistance de devenir goguenarde. «SERRE LA MAIN», s’énerve l’animateur en se penchant vers une oreille pourtant inexistante. Et là, miracle, après un nouveau clignotement des yeux bleus, le robot commence à lever le bras mais si lentement que chacun avait le temps de faire une sieste avant de lui serrer sa pince. Bref, quelques instants plus tard le robot avait disparu.

Cette anecdote témoigne que la robotisation promise n’est peut-être pas si inéluctable qu’annoncée, ni même forcément souhaitable selon les usages. D’un autre côté, c’était la première fois qu’un tel robot apparaissait en public sur ce salon. Du labo à la télé au salon professionnel puis à l’hôpital jusqu’à la chambre individuelle chez soi, si la robotisation n’est pas pour demain, elle l’est sans doute pour après-demain. Et un jour le robot il lui mettra sa pince dans l’œil à son créateur pour lui apprendre les bonnes manières mais c’est une autre histoire.

S.O.S. Infirmière innovante

Une dernière anecdote pour finir. Danielle Siarri, une Américaine vivant à Paris, est fondatrice du site innonurse.info. Une infirmière (nurse) innovante ? Si elle fut effectivement infirmière, son travail aujourd’hui consiste à jouer la médiatrice entre les architectes, les maîtres d’ouvrage, les financiers et les usagers pour tout ce qui concerne la conception et l’installation des systèmes informatiques dans les établissements de santé.

La réalité virtuelle comme antidouleur ? Le sujet est sérieux. Comme celui de l’accès au soin en milieu rural ou de l’usage du ‘big data’ et de la sauvegarde des données personnelles du patient, etc. «Les temps de la technologie et de l’architecture ne sont pas les mêmes», dit-elle en souriant, insistant sur la nécessité dans ce domaine d’une approche transversale et collaborative.

Pour ce casse-tête, il faut bien en effet au moins un architecte et une … infirmière.

Christophe Leray

*Pour plus d’info sur le sujet de l’hôpital de demain, consulter nos articles :

– A l’hôpital digital ‘Phase IV’, demain c’est aujourd’hui
– Hôpital 3.0 : quelques clefs de conception
– Hôpital du futur : trois questions à Jean-Philippe Pargade
– Hôpital du futur : trois questions à Sarah Caragiale
– Au CHU de Poitiers, un centre interactif pour une prise en charge globale et plus rapide
– Hôpital du futur : trois questions à Thierry Courbis 

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Chroniques, Editos Mots-clés : Hôpital

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