• S’abonner
  • Mon compte
    • Tableau de bord
    • Mes commandes
    • Telechargements
    • Mes adresses
    • Détails du compte
  • 0 Article0,00 €

Chroniques d‘architecture

Actualité de l‘architecture

MODE D'AFFICHAGE : ClairSombre
  • Editos
    • Editos
  • Politique
  • Chroniques
    • Chroniques-Photos
    • Chroniques de François Scali
    • Chroniques d’Alain Sarfati
    • Chroniques de Stéphane Védrenne
    • Psychanalyse de l’architecte
      • Psychanalyse de l’architecte – Saison 1
      • Psychanalyse de l’architecte – Saison 2
      • Psychanalyse de l’architecte – Saison 3
      • Psychanalyse de l’architecte – Saison 4
      • Psychanalyse de l’Architecte – Saison 5
    • Chroniques d’Erieta Attali
    • Chronique du Philosophe
    • Chroniques de Syrus
      • Secrets d’archi
      • Destins contrariés
      • Les Lettres Persanes
    • Journal d’une jeune architecte
    • Chroniques de Jean-Pierre Heim
    • Chroniques de Dominique Bidou
      • Chroniques de l’intensité
      • Chroniques du Café du Commerce
    • Chroniques de la catastrophe annoncée
    • Chroniques de Jean-François Espagno
      • Lettres de Monmoulin
      • 7 péchés capitaux
    • Chroniques de l’avant-garde
    • Tour de France
      • TDF 2021
      • TDF 2022
        • Les reconnaissances du TDF 2022
        • Les étapes du Tour de France contemporain 2022
      • TDF 2023
        • Les reconnaissances du TDF 23
    • Ils ont collaboré à Chroniques
      • Chroniques d’Eric Cassar
        • Chroniques des n-spaces
      • Chronique d’Outre-Manche
      • Chroniques de Gemaile Rechak
      • Chroniques du Geek
      • Chroniques de Martine
      • Chroniques de Franck Gintrand
      • A l’Est, du nouveau ?
      • Chroniques du candide
      • Chroniques de Mme. B
  • Architectes
    • Portraits
    • Rencontres
    • Contributions
    • Carnets de dessins
  • Réalisations
    • Visites
    • C’est d’actu
      • En France
      • Ailleurs dans le monde
      • Projets
    • Maisons individuelles
    • Logement collectif
    • Culture
    • Education
    • Bureaux
    • Santé
    • Mixte
    • Tours
    • Urbanisme
  • L’époque
    • Débats
      • Au fil de l’eau
      • La presse
      • Tribunes
      • Le dessous des images
      • Le dessous des mots
      • Courrier du coeur
    • Médias
      • Podcasts
      • Vidéos
      • Cinéma / Séries
      • Livres
      • Quizz
  • Le Kiosque
Accueil > Editos > Tour Montparnasse, un pavé de bonnes intentions

Tour Montparnasse, un pavé de bonnes intentions

26 septembre 2017

@ Nouvelle AOM – RSI-Studio-IDA+

Tout a sans doute été dit et écrit par mes confrères à propos de la future tour Montparnasse réinventée par Nouvelle AOM. La presse généraliste s’est montrée dithyrambique, c’est elle que lit et regarde la majorité des électeurs parisiens. La presse spécialisée s’est montrée plus réservée mais globalement contente quand même. Pour ma part, je n’ai que quelques remarques.

La première est quand même de se féliciter que ce soit une équipe française qui ait gagné ce concours prestigieux. Quelle que soit la valeur intrinsèque du projet de Nouvelle AOM (Franklin Azzi Architecture/Chartier-Dalix/Hardel‐Le Bihan architectes), l’image aurait été désastreuse que l’un des projets les plus emblématiques de Paris, dont on nous répète qu’il sera prêt pour les JO, soit confié à une équipe étrangère. Quoi, en France, ils n’ont même pas d’architectes pour refaire leur propre tour ?

Il n’y a que les Français pour se mettre dans de telles situations inconfortables. Ici, parmi les sept équipes finalistes, seulement trois sont françaises, Architecture Studio, Dominique Perrault et celle des petits jeunes qui montent. Pour le nouveau terminal de Shiphol, l’aéroport d’Amsterdam, le maître d’ouvrage avait retenu cinq agences, dont quatre néerlandaises. Et les vainqueurs sont ? KAAN Architects. Alors, oui, peut-être doit-on se réjouir que des Français gagnent parfois à domicile.

Cela écrit, ce qui est gênant est que cette tour reprenne jusqu’à l’écœurement tous les poncifs de la communication de la Ville de Paris dès qu’il s’agit d’architecture et d’urbanisme. Tout y est : la serre sur le toit, l’agriculture urbaine, la récupération des matériaux dans les remblais, l’efficacité énergétique (promise), un hôtel (of course), une boîte de nuit, etc. Ne manque que la champignonnière.

Paraît-il que ce projet était le seul à respecter le PLU parisien. Il est vrai que la serre de 18m qui ne compte pas comme étages construits, c’était rusé. La preuve, aucun des autres candidats n’a respecté le PLU. Ils sont sans doute partis du principe que, de toute façon, la ville a tout loisir de modifier le PLU pour un bâtiment exceptionnel – il s’agit bien d’un bâtiment exceptionnel non ? Bref, que le projet gagnant soit le seul conforme au PLU en dit certainement long sur ses bienséantes qualités d’insertion. Ménager le loup, la chèvre et le chou au nom d’intérêts bien compris est un art.

Cette prudence a pour but, dit-on, d’éviter moult recours et les galères rencontrées par exemple avec la tour Triangle d’Herzog et De Meuron, pourtant pas d’affreux radicaux. Dit autrement, 18 mètres de verdure c’est oui, 18 mètres d’étages courants, c’était non… Et tous ces autres architectes qui n’avaient pas compris l’astuce, ha ha ha…

Les architectes lauréats à Montparnasse avaient-ils le choix de faire autrement ? Eux seuls sans doute savaient sur le bout des doigts, Franklin Azzi notamment, chacune des recommandations chères à la communication de la ville de Paris et son credo urbain. Si le modèle économique avait pu inclure des logements sociaux, ils les auraient faits. De fait ce sont des agences qui chacune construit proprement. Sauf qu’ici il ne s’agit pas de 30 logements à Montreuil et que, sur un tel sujet, se montrer à ce point conforme aux desiderata du maître d’ouvrage, avec la certitude de ne pas se tromper, pose question dès lors qu’il est question d’architecture «innovante».

@ THBZ

Déjà, le nom de marque Nouvelle AOM ressemble à un abus de langage. Au début des années 70, Beaudouin, Cassan et Hoÿm de Marien Saubot avaient choisi de s’appeler AOM pour Agence pour l’Opération Maine-Montparnasse. A l’époque, ficher en plein Paris une tour noire, ces architectes étaient audacieux. La preuve, quarante plus tard, leur tour fait encore l’actualité et passionne les Parisiens.

Or, d’audace, c’est justement ce dont manque cette tour retouchée comme un mannequin de magazine people. Au temps d’AOM, au risque de l’erreur certes, les architectes gagnaient sur des idées, du culot, de la prospective. En guise d’«une identité forte, innovante, dynamique et ambitieuse», nous est servi aujourd’hui un discours complaisant à la sauce écolo garanti sans gluten.

Il est ainsi vanté la transformation de cette «tour énergivore» en Bonanza environnementale. Très bien mais tous les architectes livrent aujourd’hui des bâtiments multi-certifiés. Il est encore heureux que la future tour consommera moins d’énergie demain qu’aujourd’hui, ce n’est pas un exploit même si c’est devenu le passage obligé de la communication institutionnelle. Les architectes lauréats parlent ainsi de «métamorphose bioclimatique» de la façade. C’est joliment dit mais de là à en faire «l’icône de la révolution énergétique du XXIe siècle», il y a de la marge. Comme ‘nouvelle’, révolution est un mot à employer avec précaution.

Pour qui s’intitule Nouvelle AOM, le nom lui-même est déjà une défaite. Quand une nouvelle rue est livrée, ses premiers habitants et le facteur la connaissent sous le nom de rue nouvelle jusqu’à ce qu’elle soit baptisée. La ‘nouvelle’ AOM est par définition déjà obsolète. Oui, de jeunes architectes français ambitieux pouvaient, et devaient, unir leurs forces et s’aligner sur ce concours et chacun comprend bien le rapport au contexte et la joie des ayants droit. Mais qu’est-ce que Nouvelle ‘AOM’ raconte de ce bâtiment censé être «du XXIe siècle» ?

Certes, il correspond tout à fait, jusqu’à la caricature, à l’air du temps façon Réinventer Paris. Peut-être ce pourquoi ces jeunes architectes parisiens, parmi 700 candidatures, ont décidément vu la bonne fortune leur sourire de bout en bout du concours.

Avaient-ils le choix ? Franklin Azzi, Frédéric Chartier et Pascale Dalix, Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan voulaient gagner, évidemment ; c’est bien le moins et c’est la règle du genre. Nul ne peut leur reprocher l’ambition. Ils ont pensé sans doute que cocher toutes les cases du projet politique parisien pourrait suffire. C’est le cas, ils ont gagné, tant mieux pour eux, bravo.

Mais, puisqu’ils évoquent la révolution, n’est-ce pourtant pas chez les jeunes architectes que devraient naître l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace et les idées nouvelles, au travers de ces concours justement ? Quitte à perdre ? Ici le catalogue d’idées reçues vues et revues fait finalement peine à voir. D’autant plus que Nouvelle AOM va devoir bien s’entourer parce que pour rester dans le budget de 300 M€ annoncé par la maîtrise d’ouvrage il va falloir tenir fermement le projet. Il ne serait pas étonnant de voir quelques arbitrages brutaux durant les études car la communication est un piètre outil de construction.

Bizarrement, impossible de trouver la composition du jury qui a décidé du sort de Nouvelle AOM et de Jeanne Gang, finaliste malheureuse. Il n’est mentionné nulle part. Il y a bien un comité de sélection* de neuf personnes dans le dossier de presse. Il ne compte que deux architectes, dont Catherine Jacquot, présidente du CNOA, tandis que la maîtrise d’ouvrage, qui paye, dispose de moins de représentants (trois) que la ville de Paris (cinq si l’on compte Alexandre Labasse de l’Arsenal). Et pas un prestigieux invité extérieur ? Ce comité de sélection a-t-il tenu lieu de jury ? Apparemment.

Pour un projet international de cette envergure, un jury est habituellement constitué, connu et scruté. Sans doute que les copropriétaires de la tour, maître d’ouvrage, sont souverains dans leurs décisions – après tout, c’est déjà bien qu’ils organisent un concours – mais comme tout se passe à l’Arsenal, il est permis de penser que les habituels apparatchiks de la ville de Paris ne sont pas loin. C’est donc ainsi que se gagnent les projets à Paris. Pour l’emporter, Nouvelle AOM pouvait-elle faire autrement ?

Que cela dit-il de «l’architecture du XXIe siècle» promise ? Si, au moment du concours, les jeunes architectes n’ont pas plus d’audace que de faire la cour au prince, quand en auront-ils ? Au-delà des qualités esthétiques de chaque proposition – laissons à ce sujet les exégètes à leurs querelles – les projets les plus radicaux viennent justement d’architectes qui avaient pas loin de 30 ans de plus que les vainqueurs, ce qui ne rajeunit personne. Pour le coup, la déception est grande tant la question de l’architecture du XXIe siècle à Paris et la problématique des IGH que ce concours entendait explorer restent posées.

Le comble est que la rénovation de la tour n’est que le début de la réhabilitation urbaine du quartier, plusieurs concours à venir ayant été annoncés à cette occasion. Dit autrement, on fait la tour Montparnasse d’abord puis on met l’urbanisme autour. Comme la première fois.

Christophe Leray

* Le Comité de sélection était composé de :
Pour la maîtrise d’ouvrage : Frédéric Lemos, président du syndicat des copropriétaires de laTour Montparnasse ; Gilles Vuillemard président du syndicat des copropriétaires de la tour ; Patrick Abisseror, président du comité stratégique de la copropriété de l’Ensemble Immobilier Tour Montparnasse.
Pour la ville de Paris : Jean-Louis Missika, adjoint au maire de Paris chargé de l’urbanisme, de l’architecture, des projets du Grand Paris, du développement économique et de l’attractivité ; Michelle Zaoui, conseillère architecture cabinet de la mairie de Paris ; Marion Waller, Conseillère en urbanisme, Cabinet de Jean-Louis Missika ; Bruno Lambert, architecte voyer en chef.
Catherine Jacquot, présidente du CNOA
Alexandre Labasse, directeur général de l’Arsenal

FacebookTweetLinkedInEpinglerE-mail


Par Christophe Leray Rubrique(s) : Editos, Politique Mots-clés : Chartier Dalix Architectes, Franklin Azzi, Hardel Le Bihan Architectes, Montparnasse, Nouvelle AOM, Paris, Tours

Autres articles...

Franklin Azzi Paris XVII tertiaire
Transformation radicale pour l’îlot Toko par Franklin Azzi
BIG Equateur IQON
En Equateur, IQON la plus haute tour de Quito est BIG
Pascale Dalix Frédéric Chartier tertiare Bassin à Flot
Tertiaire industriel pour Chartier Dalix à Bordeaux
Les Ardoines Logistique
A Vitry Chartier Dalix à la logistique

Adapta Color

LA NEWSLETTER DE CHRONIQUES !

Accédez aux archives >

Merci! Votre adresse e-mail a bien été envoyée. Vérifiez votre boîte de réception ou vos «indésirables» (spam) afin de confirmer votre abonnement.

  Voir le Média-Kit de Chroniques

Parole d’archi | Le podcast

Tous les podcasts >

A la une

Pour Michaël Delafosse, Montpellier à la Folie ?

21 mars 2023

Rêver la ville – Vers de nouvelles urbanités africaines

21 mars 2023

Au Vietnam, marges et interstices de l’architecte !

21 mars 2023

Habitats troglodytiques, ksars et ghorfas dans le Sud tunisien

21 mars 2023

Pour les ENSA, budget frugal ou famélique ?

21 mars 2023

Sondage

Selon vous, la folie architecturale, c’est…

Et pendant ce temps-là…

A Saclay, In’Cube, Centre de Recherche signé Arte Charpentier

Au lycée d’Aubergenville, O-S architectes en demi-pension

A Massy, les Séquoias, une réalisation signée PietriArchitectes

A Lezennes, Hôtel Logistique Urbain (HLU) signé Anne Démians

A Marguerittes, A+Architecture a imaginé un Village des solidarités

Voir toutes les brèves >

Vidéos

Urban Oasis, de Andre Enrico et Regina Fernandes : avenir postpandémie ?

Voir toutes les vidéos >

Samoa

Expositions

  • Le retour scelle l’amitié entre le Cnap et le Mrac

    Le retour scelle l’amitié entre le Cnap et le Mrac

  • Hangar Y – Dans l’air, les machines volantes

    Hangar Y – Dans l’air, les machines volantes

  • Ici et ailleurs célèbre RCR au musée Soulages

    Ici et ailleurs célèbre RCR au musée Soulages

  • XTU – Recherches et réalisations exposées au Centre Pompidou

    XTU – Recherches et réalisations exposées au Centre Pompidou

  • Prendre la clé des champs à la Belle de Mai.

    Prendre la clé des champs à la Belle de Mai.

  • Rétrospective David Hockney au musée Granet

    Rétrospective David Hockney au musée Granet

  • François Azambourg, Designer – Légèretés manifestes

    François Azambourg, Designer – Légèretés manifestes

  • Notre-Dame de Paris, des bâtisseurs aux restaurateurs à la Cité de l’architecture

    Notre-Dame de Paris, des bâtisseurs aux restaurateurs à la Cité de l’architecture

  • Comment allons-Nous ? La santé collective au cœur de l’aménagement de nos villes

    Comment allons-Nous ? La santé collective au cœur de l’aménagement de nos villes

  • Willy Ronis : se retrouver à Pont-Aven

    Willy Ronis : se retrouver à Pont-Aven

Voir toutes les expositions >

Construiracier

Concours

Lancement de la 9ème édition du concours SNBPE et CIMbéton

Voir tous les concours >

Gantois

Livres

Livres – Villes sobres : de la maison de la culture au gratte-ciel ?

Voir tous les livres >

Métal Déployé

Buildinglab

Adapta Color

À propos

Les chroniques sont le recueil de faits historiques regroupés par époques et présentés selon leur déroulement chronologique.

L’architecture, au cœur de toute civilisation, est indubitablement constituée de faits historiques et sa chronique permet donc d’en évoquer l’époque. Les archives du site en témoignent abondamment.

En relatant faits, idées et réalisations Chroniques d’Architecture, entreprise de presse, n’a d’autre ambition que d’écrire en toute indépendance la chronique de son temps.

Suivez Chroniques d’architecture

Facebook

Flux RSS

Communication

Nous contacter

Pour nous contacter, pour nous poser une question ou même vous plaindre ;-) accédez à notre formulaire en ligne en cliquant sur le lien ci-dessous.
Nous vous répondrons rapidement.
Accédez au formulaire de contact

Rubriques

  • Editos
  • Politique
  • Chroniques
  • Architectes
  • Réalisations
  • L’époque
  • Le Kiosque de Chroniques (boutique)
  • Toutes les newsletters
  • Politique de cookies
MODE D'AFFICHAGE : Clair Sombre

Copyright © 2015-2023 Chroniques d'architecture SAS + Clubbedin® - Tous droits réservés

Politique de confidentialité (RGPD) | Conditions Générales d’Utilisation (CGU) | Mentions Légales

Chroniques d‘architecture
Gestion du consentement des cookies

Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et nos services.
Fonctionnel Toujours activé
Le stockage ou l'accès technique est strictement nécessaire dans le but légitime de permettre l'utilisation d'un service spécifique explicitement demandé par l'abonné ou l'utilisateur, ou dans le seul but d'effectuer la transmission d'une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l'accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l'accès technique est nécessaire pour créer des profils d'utilisateurs pour envoyer de la publicité ou pour suivre l'utilisateur sur un site Web ou sur plusieurs sites Web à des fins de marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Partagez cet articleVous appréciez cet article ? Envoyez-le par courriel à un ami !

Votre message à bien été envoyé !