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Accueil > Chroniques > Prix européen Mies van der Rohe : l’avenir, ce n’est pas pour demain

Prix européen Mies van der Rohe : l’avenir, ce n’est pas pour demain

21 février 2017

@ Kevin Dolmaire

Mies van der Rohe considérait, pour citer son biographe Peter Carter, que l’architecture, même dans sa forme la plus riche, ne peut être plus que le reflet des forces régissant le monde. Aujourd’hui, en février 2017, que le jury du prix européen qui porte son nom a désigné les cinq finalistes de l’édition 2017, que reflètent ces cinq projets de l’Europe en général et de la France en particulier ?

Pour départager 40 projets et en garder cinq, un jury international composé de sept membres, dont une majorité d’architectes. Parmi, eux, la française Dominique Jakob (Jakob&Macfarlane) entourée de Stephen Bates, architecte à Londres et Zurich, de Gonçalo Byrne, architecte portuguais, de Pelin Derviş, architecte turque, de Peter Cachola Schmal, directeur du Deutsches Architekturmuseum (DAM) à Frankfort, de Juulia Kauste, directrice du Museum of Finnish Architecture (MFA) à Helsinki et de Małgorzata Omilanowska, historienne de l’art, professeur en sciences humaines et femme politique polonaise. Un jury qui a de la tenue mais qui va devoir composer cependant avec les subtilités européennes.

En effet, ce prix est depuis 2001 cofinancé par la Fondation Mies van der Rohe et la commission européenne. D’où son nom officiel depuis cette date : the European Union Prize for Contemporary Architecture – Mies van der Rohe Award. Mais l’idée originale de ce prix européen est née en 1983, à l’initiative de la mairie de Barcelone.

Au fil du temps, ce prix très sélectif a gagné en prestige, ne serait-ce que pour la difficulté à le gagner. Parmi les promus, Alvaro Siza Vieira (1988), Norman Foster (1990), Peter Zumthor (1998), Zaha Hadid (2003), OMA (2005), David Chipperfield (2011). De fait, depuis sa première édition en 1988, un seul Français l’a obtenu, Dominique Perrault en 1996 pour la bibliothèque nationale de France. Il faut dire que, doté d’un prix de 60 000€, la compétition est rude.

Cependant, le déroulement en trois phases – plus de 300 propositions, une short-list de 40 projets, puis cinq finalistes – le vainqueur sera proclamé en mai 2017 – permet de se faire une idée de l’architecture européenne à cet instant T.

Que voit-on parmi les quarante projets sélectionnés par un comité de plus de 80 experts et les cinq finalistes nommés par le jury ? En tout cas, pas de salades vertes, pas d’arbres qui grimpent sur les bâtiments. Quoi, quasiment pas un mur végétal ? Quoi, le reste de l’Europe ne partage pas l’engagement quasi institutionnel en France à maquiller en vert les bâtiments construits ? Voilà un premier enseignement.

Ce qui n’empêche pas une attention constante pourtant aux enjeux environnementaux. La France se félicitait de ses 28 candidats, plus gros contingent avec celui des Anglais, et cocorico. Mais le Danemark, quatre millions d’habitants, en proposait à lui seul 17. S’il avait fallu compter tous les projets scandinaves… Et chacun de ceux-là parle de développement durable sans ‘green washing’. Et nul ne peut soupçonner les Scandinaves d’inattention à ce sujet !

Au final, parmi les cinq finalistes, une agence Française, une Danoise, une Anglaise, une Néerlandaise et une Polonaise.

L’occasion peut-être de s’interroger sur le grand nombre des projets français proposés, 28 donc. Le ‘pool’ général est constitué, en première phase, par les propositions pour chaque pays de l’union – au sens européen très large, la Georgie était heureuse de présenter sept projets cette année – des instituts et associations nationales d’architecture. Pour la France l’IFA et l’UNSFA. L’UNSFA ? Voilà qui ne nous rajeunit pas.

Chacun des projets présentés par la France a sans doute un intérêt en soi mais 28 ? Diplomatie franchouillarde sans doute et du coup une extension de restaurant côtoie une grosse commande publique. Certes les règles du concours indiquent bien que le prix est décerné tous les deux ans à des ouvrages réalisés et achevés au cours des deux années précédentes et il n’est certes pas fait obligation de programme ou de taille.

Mais il suffit de regarder les récents lauréats – trois grandes salles de musique et deux musées prestigieux pour les cinq derniers – pour comprendre que la petite extension dans la liste des 28, ça ne le fera pas. L’important est de participer ?

Cela montre encore la difficulté, voire l’incapacité, en France, dans le domaine de l’architecture au moins, des institutions de faire des choix forts. Pour l’Equerre d’argent déjà c’est manigances et petits bras… Pour le Prix Mies van der Rohe, qui a une autre portée, pourquoi l’IFA et L’UNSFA, au lieu de se gargariser du nombre de ‘proposals’, n’ont-ils pas osé trancher et, afin que chaque projet compte, décidé de n’en présenter que 10, ou 8 ou 12 ou 5 ? Avec 28 projets, chacun comprend que c’est la paresse intellectuelle qui l’emporte. Et que dire du jury pusillanime de l’Equerre qui ne retient pas le mémorial de Rivesaltes signé Rudy Ricciotti, lequel pourrait gagner à l’échelle européenne…

Au final, 356 projets furent donc proposés et la France n’est pas la seule à avoir ratissé très large. Sans doute que la commission européenne peut se féliciter d’une vaste participation mais vraiment, pour un pays comme la France, l’important c’est de courir ? Made for sharing ?

Il y avait certes vraiment du beau monde dans la liste des 28 mais, justement, en garder autant, c’est faire plaisir à tout le monde. N’en garder que dix aurait imposé de réfléchir, de débattre, de choisir, de réaliser un vrai travail de jury et de proposer à la commission européenne un choix argumenté, significatif de l’évolution de l’architecture en France.

De fait, plutôt que laisser le soin à la fondation Mies van der Rohe de s’occuper de la communication – les délibérations à Paris se sont tenues à huis clos – ce travail de sélection pourrait peut-être justement être l’occasion de s’interroger sérieusement, dans le cadre d’un débat public pourquoi pas, afin de déterminer quels seront les projets devant représenter la France. Si le ou la candidate à l’Eurovision intéresse tout le pays, les candidatures françaises au Prix Mies devraient intéresser tous les architectes et susciter un débat. En plus le prix est tous les deux ans à dates fixes, ce n’est pas comme si la France était prise par surprise…

A moins peut-être que l’IFA et l’UNSFA ne misent justement sur le grand nombre, comme la pêche au chalut. Peut-être ont-ils raison puisque cinq projets français étaient retenus parmi les 40 nominés (les logements de Lacaton&Vassal à Mulhouse, le théâtre Elisabéthain du Château d’Hardelo par Studio Andrew Scott, le complexe sportif gymnase futsal de l’Ariane par CAB, le Musée Memorial du Camp de Rivesaltes de Rudy Ricciotti, les Ateliers communaux de Poigny-la-Forêt par Boidot Robin architectes). De plus, sans doute que la profusion des dossiers, dans tous les pays, permet à l’Europe de la diplomatie de faire jouer tout le monde.

Cela écrit, maintenant que les cinq finalistes sont connus, que penser justement des choix de ce jury ? Notons d’abord qu’il y a deux lieux de mémoire, le camp de Rivesaltes et le musée de Katyn à Varsovie. Plus généralement, ce jury semble décidément sensible à l’histoire. Au Danemark, elle est sublimée jusqu’à l’archéologie, un bâtiment œcuménique étant bâti au-dessus des vestiges du premier cimetière chrétien du Danemark, vers l’an 800, dans la plus ancienne ville du pays. Aux Pays-Bas, hommage inattendu aux CIAM et au mouvement moderne. Nostalgique le jury ?

@ Paul Riddle

Le cinquième finaliste est un bâtiment de logements collectifs dans un quartier populaire de Londres. Rien qui casse des briques, c’est le cas de le dire, car il fallait de toute façon un projet de logements dans le tableau final, ne serait-ce que parce que ce sujet ne peut pas être évité. Mais celui de Londres, la moitié des agences en France qui font du logement serait parvenue à un projet contextuel au moins équivalent en qualité. Bon, la moitié peut-être pas mais beaucoup sans doute. Même là, dans sa présentation de ce bâtiment, le jury fait encore référence à l’histoire. Dans ce domaine, l’architecture n’est-elle jamais qu’une réinterprétation ? C’est la question que semble poser le jury.

La nostalgie donc. Pourtant ce choix du jury pour les cinq finalistes interpelle le citoyen français lambda à plusieurs titres. La rénovation de DeFlat Kleiburg, une barre de 400 m de long pour 500 appartements à Amsterdam, par exemple. Non seulement il n’est pas question de la détruire mais l’intervention des architectes est tout à fait originale. Certes des agences en France rénovent nos grands ensembles, et d’aucuns se souviennent des tentatives de Roland Castro de transformation des barres issues des trente glorieuses en résidence gracieuse – une transformation miraculeuse à laquelle nul n’est encore parvenu. Ici les architectes de NL Architects et XVW architectuur, estimant que DeFlat est «le dernier homme debout dans la guerre contre le modernisme», proposent une alternative décomplexée.

@ Stijn Spoelstra

Ce qui fait d’ailleurs penser à ce projet d’urbanisme de tours en Norvège, non retenu dans les cinq finalistes mais nommé dans les quarante. Il démontre qu’il n’est pas interdit de poursuivre la réflexion à ce sujet. En France, loi ANRU et tout le tralala, on aime bien raser et reconstruire des écoquartiers de basse altitude. Du coup, la question de la barre dans le logement collectif est presque devenue un gros mot.

Pourtant, d’aucuns ont montré, ici en France, dans le XVIe arrondissement de Paris par exemple, que la question de la barre, du grand ensemble, méritait encore d’être posée. L’occasion de se souvenir que le même Francis Soler avait déjà proposé il y a quelques années, à Rouen je crois, non pas de détruire des tours dans un «quartier» mais au contraire d’en ajouter une ou deux. Il argumentait que ces quartiers de tours sont trop peu denses pour soutenir toute activité et qu’il suffit de densifier, en ajoutant des tours par exemple, pour en améliorer la qualité de vie. Mais qui pour écouter un tel discours en France ? Le projet de Soler ne s’est bien évidemment pas fait. En Norvège, apparemment, les architectes et maîtres d’ouvrage réfléchissent sans tabou.

Autre enseignement du jury, cette passion des mémoriaux, pour lesquels la France apparemment excelle*. On se souvient par exemple que Philippe Prost fut le seul finaliste français nommé au RIBA international Prize 2016 pour son mémorial à Notre-Dame-de-Lorette. A peine quelques mois plus tard, parmi cinq finalistes de toute l’Europe, au moins deux mémoriaux, celui de Ricciotti à Rivesaltes et celui commémorant le massacre de Katyn à Varsovie ?

@ BBGK Architekci

A noter d’ailleurs pour ce dernier une étrangeté. En effet, la très grande majorité des mémoriaux sont bâtis sur les lieux du crime, qu’il s’agisse de celui de Philippe Prost, de celui de Jean-Jacques Raynaud à Compiègne ou de celui de Ricciotti donc à Rivesaltes. Celui de Katyn est à Varsovie, à des centaines de kilomètres de l’endroit où furent assassinés plus de 20 000 officiers polonais par l’armée russe. Au-delà des documents historiques réunis en cet endroit, l’architecture se devait donc de figurer un drame qui n’avait jamais eu lieu dans son contexte. Les architectes ont utilisé les douves de la citadelle de Varsovie pour évoquer la forêt de Katyn, l’armurerie et l’arsenal de l’ancienne forteresse faisant le reste. L’architecture n’est-elle qu’interprétation ?

En l’occurrence je vous garantis que la Russie n’a pas participé au financement de ce mémorial et que ce dernier ne prône pas, comme les mémoriaux des grandes guerres, la réunification et la paix pour tous. A Varsovie, nul n’a oublié. Et le jury international d’un prix de la commission européenne, à l’heure où Poutine se fait toujours plus menaçant, d’évidence n’oublie pas non plus. La fondation Mies van der Rohe a d’ailleurs salué cette année la participation de l’Ukraine, un pays qui en ce moment voit plutôt ses bâtiments détruits que construits. L’architecture est toujours un témoin des soubresauts du monde.

@ Anders Sune Berg

Enfin, qu’a voulu dire le jury en sélectionnant le projet danois ? Peut-être qu’une approche collaborative entre hommes de l’art peut donner lieu à une architecture inventive. La paroisse avait besoin d’un bâtiment pour son conseil et ses fonctionnaires. Au premier coup de pioche, des vestiges remontant à l’an 800. Sans autre drame ou explication de texte, les architectes de l’agence danoise Lundgaard & Tranberg ont construit leur bâtiment sur pilotis, au-dessus des vestiges, cet espace devenant un lieu public et un lieu de recherche. Peut-être que le message est là encore d’une architecture décomplexée. Quand le maître d’ouvrage et le maître d’œuvre sont tous deux guidés par l’intérêt général, peut-être faut-il comme au Danemark simplement les laisser faire…

Surtout, sans occulter le savoir-faire et la détermination des architectes retenus, parmi les cinq finalistes de cet éminent jury international si anxieux d’histoire et de patrimoine, pas un bâtiment tourné vers le futur, pas une utopie, pas un espoir de lendemains triomphants, mais un retour incessant au passé. Ce qui signifie sans doute que la France n’est pas seule à connaître un repli sur soi, que c’est bien l’Europe entière qui semble se recroqueviller sur elle-même, cherchant dans le passé une énergie qu’elle ne trouve pas dans le futur.

Du coup, quel est le message de cette édition 2017 ? Que confrontée à sa propre désillusion, l’Europe se montre désormais incapable de reconstruire une pensée critique ? Quel que soit le lauréat, qu’est-ce que l’Europe, la commission européenne elle-même mécène de ce prix, dit-elle au monde ? Qu’elle a peur de lendemains qui déchantent et qu’elle peine à imaginer le futur ?

Oui il y a des raisons à l’optimisme, mais le politiquement correct n’y suffira pas.

Christophe Leray

*Lire à ce sujet notre article La mémoire à l’échelle du temps

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Par Christophe Leray Rubrique(s) : Chroniques Mots-clés : Prix Mies van der Rohe

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