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Accueil > Chroniques > Chroniqueurs > Chroniques d'Eric Cassar > Chroniques des n-spaces > A tout lieu sa formule, écriture de circonstance et ar(t)chitecture

A tout lieu sa formule, écriture de circonstance et ar(t)chitecture

20 avril 2021

ar(t)chitecture  Enoncé
@E.C

La formule aide à lire et agit sur le lieu, elle le compose temporairement. Son écriture participe à la conception de l’œuvre. Elle aura une incidence sur l’apparence du bâtiment mais aussi sur son écho, son utilisation (faire résonner l’instrument) et la manière dont il est perçu, approprié. (Fin)*

Formulation

La structure de la formule est composée d’énoncés dont une partie est associée au bâtiment et à son architecture. Souvent fixe dans le temps et dans l’espace, cette partie fixe concerne, a minima, ce qui est en lien avec le climat, le site, l’apprentissage de son usage, la relation au quartier, l’optimisation de ses consommations et la spécificité architecturale du lieu (esthétiques immatérielles).

Une autre partie est associée aux occupants ou visiteurs (des habitants individuels, une entreprise, un gestionnaire) qui peuvent la faire évoluer par leurs découvertes ou leurs aménagements. Partiellement transformable, elle peut alors faciliter la mise en place de nouveaux usages, un peu à l’image d’un téléphone qui accueille une interface et ses préférences. Ainsi, une conception d’énoncés appropriés aiderait l’utilisation et l’identification d’un ensemble de bâtiments en réseau : hôtels, espaces sportifs, entreprises multisites, etc.

Lorsque sa construction fait appel à différents acteurs (informaticiens, designers, etc.), l’architecte assure la cohérence entre la formule et l’instrument et aussi la conservation et la continuité des systèmes. Il est attentif à la bonne inscription et exploitation de toutes les données liées à l’apprentissage du bâtiment, que cela concerne la mémoire du lieu, sa relation aux vivants et aux environnements proches ou son bon usage de l’énergie et des espaces. Visible ou invisible, la formule s’inscrit sur différents supports physiques ou virtuels : un cahier, un smartphone ou dans l’une des couches des espaces augmentés.

L’exploitation entraîne certains réajustements. Il est, en ce sens, souhaitable d’accompagner le « rodage » du bâtiment, durant les premières années, de manière à réajuster certains énoncés en fonction de l’expérience des lieux nouvellement construits.

Exemples

Le pavillon Phillips (1) de l’exposition universelle de 1958 à Bruxelles est en ce sens intéressant car l’architecture ne peut, dans ce cas, se dissocier d’un semblant de formule à travers son statut de poème électronique (visuel et sonore). Ce projet est une installation de Le Corbusier, qui délègue la partie architecturale à Iannis Xenakis, musicale à Edgard Varèse, concevant lui-même les parties visuelles et textuelles. L’œuvre s’étend au-delà d’une architecture matérielle : tout est né ensemble et tout a disparu ensemble. La formule est ici indissociable du bâtiment.

Dans mon habitat (2), lieu de recherche architecturale, j’expérimente à petite échelle quelques effets infinitésimaux capables de surprendre et de faire vibrer, chanter l’espace en fonction du climat et des envies. Les actions-réactions ne sont ici aujourd’hui que physiques (question de moyens). Elles se sont constituées de manières organiques avec le temps.

Typologie d’énoncé n° 1 (mode d’emploi qui explicite fonctionnement, adaptabilité climatique et usage)

1.1 – La cuisine est un volume avec une enveloppe extérieure indépendante, orientée plein sud. Elle joue le rôle d’une serre bioclimatique. Les actions y sont multiples : ouvrir ou fermer les stores, les baies vitrées, un « Velux » ou la porte d’accès au reste de la maison. La température de chaque espace est mesurée et visible. En hiver et mi-saison, garder (si possible) la porte en lien avec le reste de la maison et le velux fermé, les stores levés. En cas d’ensoleillement important, ouvrir la porte pour que le surplus de chaleur s’évacue vers la maison. L’été, abaisser les stores en cas d’absence, et ouvrir le vélux en partie haute pour créer un courant d’air et évacuer l’air chaud le soir ou en journée, etc.
1.2 – Aménagement : la table se glisse en partie sous le meuble bibliothèque ou se déploie.
1.3 – Le banc et le rebord de fenêtre au-dessus servent tous les deux à la fois d’assise et de seuil (escalier).
1.4 – A l’étage, selon le nombre d’habitants, deux chambres peuvent communiquer à travers un espace interstitiel. Refermé, il peut aussi servir de rangement commun. Ouvrir les deux portes de placards pour laisser circuler l’air et la lumière.

Pour se réchauffer

1.5 – Se rapprocher du poêle. Sa mise en fonctionnement nécessite l’ouverture de la grille d’aération à proximité immédiate.
1.6 – S’assoir sur le banc situé au-dessus d’un radiateur et augmenter l’intensité de ce chauffage.
1.7 – Se déplacer en hauteur au-dessus d’un des meubles habitables (3).

Pour rafraîchir

1.8 – Créer un courant d’air est/ouest au R+1 ou R+1 et R+2 en utilisant les ouvertures de fenêtres à l’italienne.
1.9 – Installer la toile d’ombrage sur la terrasse.

Typologie d’énoncé n° 2 (des clés de compréhensions et de sensations du lieu)

2.1 – Depuis le haut des meubles habitables, deux personnes ne peuvent pas se voir, sauf si elles regardent en direction du miroir situé au-dessus du bureau. Le champ de vision s’accroît (4).
2.2 – Un trou dans la demi-cloison garde-corps laisse apparaître un rayon lumineux dans l’escalier bas le matin à la fin du printemps.
2.3 – De mai à septembre, en laissant la porte d’une chambre du R+2 ouverte, en fin de journée, le soleil couchant se reflète dans les miroirs brisés de l’escalier haut.
2.4 – Durant le printemps, l’été et l’automne, en fin de journée, les rayons du soleil se réfléchissent dans les miroirs de la terrasse et produisent à l’est des éblouissements accompagnés de taches de lumière épaisses en mouvement à l’intérieur du salon ou sur la terrasse.
2.5 – Au même moment, le soleil couchant se réfléchit dans un miroir haut de l’entrée (RdC) orienté pour produire un parallélogramme de lumière mouvant sur le mur opposé.
2.6 – Les canalisations colorées visibles et audibles laissent entendre les mouvements d’eau en cascade dans la salle de bain et les escaliers.
2.7 – Des films dichroïques rectangulaires changent de couleur selon la luminosité, matin et soir. Ils sont visibles de l’intérieur et l’extérieur sur certaines fenêtres, portes et parois vitrées.
2.8 – Regarder le ciel en prenant sa douche.
2.9 – Découvrir un message sur la porte du poêle.
2.10 – Ecouter les variations sonores de la pluie dans la cuisine.
2.etc – Quelques espaces cachés et autres mystères.

Typologie d’énoncé n° 3 : descriptifs d’actions possibles à finalité sensible

3.1 – Positionnements d’un carillon à vent.
3.2 – Description des modes d’utilisation des meubles habitables : position du corps, effet avec le miroir de la salle de bain en ouvrant la porte, vue en plongée sur l’extérieur, ouverture / fermeture d’éléments mobiles.
3.3 – Lumière artificielle : description des variations de couleurs et d’éclairages.
3.4 – Positionnement d’un hamac.
3.5 – Variation des ombrages.
3.etc – Orientations autour du vivant : entretien et/ou plantation de végétaux, parfum, accueil des oiseaux ou des insectes…

Typologie d’énoncé n° 4 (organisation des actions-réactions (programme informatique))
Néant (à ce stade)

ar(t)chitecture
@E.C

Typologie d’énoncé n° 5 (description de certaines règles d’usage ou de rituels)

La formule énonce certains préceptes qui cadrent et organisent. S’il est autorisé d’écrire sur les murs, il a vite semblé évident que des règles, simples, devaient être mises en place. Elles ne devaient pas être les mêmes dans toutes les pièces et sur toutes les surfaces. Même s’il est accueilli, toujours le chaos s’organise (5) ; ainsi un cadre peint regroupe les inscriptions que voudraient laisser les invités ou visiteurs (5.1).

Proche du plafond, il y a un lieu où l’écriture est autorisée, pour les connaisseurs (les habitants) mais en finesse, avec des petites lettres pour des messages lisibles seulement à quelques cm de la surface (5.2), un autre accueille le nom de certains films visionnés dans le lieu (5.3), un autre des souvenirs du confinement (5.4).

Encore ailleurs, il y a des aplats obscurs de « tableaux noirs » qui accueillent des messages à la craie plus ou moins éphémères. L’un est un mémo utile, les autres sont des surfaces associées chacune à un habitant, un lieu pour lui adresser un message (5.5).

Ces règles d’usage, ces actions ou orientations du regard ne sont pas strictes, elles évoluent, invitent et colorent le lieu, organisent son mûrissement.

La conception architecturale et l’écriture de l’instrument d’environnements, accompagnée d’une formule, constituent un tout, une expérience, un environnement singulier où des situations (scénarios) se répètent, émergent, s’enrichissent quelques fois, aux rythmes des saisons, du ciel ou des passages, jamais exactement les mêmes, jamais exactement autres. Elles se renouvellent. Des histoires apparaissent, les murs parlent.

Mi-paysage, mi-œuvre d’art, pleine de signes, l’ar(t)chitecture inscrit pour ensuite se laisser découvrir et accroître ses possibilités de résonances. Combinée aux écosystèmes, elle oriente les regards et livre les premiers signes d’un possible pistage. Des angles morts s’éclairent.

Ensembles, formule et ar(t)chitecture peuvent orienter voire tordre le réel, renverser des idées préconçues, pour interroger, voir sans être vu, toucher, éveiller, faire sentir, désirer, fantasmer, rêver.

Elles exaltent une écriture de circonstance, qui se modifie selon l’atmosphère, produisant une (méta)écriture, pérenne cette fois, qui marque les mémoires et transforme le décor.

Combinés aux nouveaux outils numériques, formule et ar(t)chitecture nourrissent les n-spaces et démultiplient encore les possibles. Elles tissent des liens qui élargissent le champ des sensations et les degrés de liberté. Elles accueillent et laissent s’épanouir l’imprévu. Elles initient une poétique du lieu, enrichissent l’expérience et caressent les vies de leurs habitants et passeurs.

Eric Cassar
Retrouvez toutes les Chroniques d’Eric Cassar

* Ce texte est le quatrième et dernier volet de la série A tout lieu sa formule. (re)Lire les trois chapitres précédents : Ecriture composite et complexe ; Clefs de compréhension… Enoncés… ; A tout lieu sa formule et ses modalités d’action. Cette série est le troisième ensemble d’un triptyque intitulé « Mouvement dans l’immobilité ». Elle fait suite à :
                – Du champ de traces au chant des traces
                – L’ar(t)chitecture est un instrument d’environnement

(1) http://www.nhusser.com/College/cham3/Pavillon.html
(2) http://www.arkhenspaces.net/fr/portfolio/2018-paysage-habite-_-saint-quentin-france/
(3) http://www.arkhenspaces.net/fr/meuble-relief/
(4) Effet visible dans cette vidéo : https://vimeo.com/409881361
(5) http://www.arkhenspaces.net/fr/architecture-chaos/

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Par Eric Cassar Rubrique(s) : Chroniques des n-spaces

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